UN PEU DE PUB
un peu géniale et MDR-ANTE !
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N.B. :
- un jeu à finir ICI,
- et des news sur la rubrique annexe... que certains connaissent (prévoir une demi heure de lecture :-))
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un peu géniale et MDR-ANTE !
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Alors zou, des images de films décolorisées pour certaines. Vous me trouvez le titre du film et hop c'est gagné ! En fait, il n'y a rien à gagner mais c'est bien quand même.
Evidemment comme d'hab', vous ne donnez qu'une réponse à la fois et il y a UN POINT commun.
Mais vous vous magnez le popo, parce que demain, jme tirailleur :-)
1
AMADEUS trouvé par flo
2
LES CONVOYEURS ATTENDENT trouvé par olivier
3
ED WOOD trouvé par marion
4
HONKYTONK MAN trouvé par damss
5
LENNY trouvé par voiturebalais
M. NOBODY trouvé par jg81
7
VAN GOGH trouvé par v.b.
8
TOUS EN SCENE trouvé par Aifelle
BENDA BILILI trouvé par marion
10
SIMON WERNER A DISPARU trouvé par Grégoire
pour démarrer la semaine en beauté.
Vous trouvez un titre de film. C'est hyper dur, je sais !
UNE SEULE REPONSE A LA FOIS.
Attendre que j'ai dit GOOD ou BAD pour retenter.
GAME OVER. MERCI.
Le point commun était : PARIS.
1
TIREZ SUR LE PIANISTE trouvé par damss
2
LA TRAVERSEE DE PARIS trouvé par marion
3
CLEO DE 5 A 7 trouvé par marion
4
LE SAMOURAÏ trouvé par marion
5
SI TU MEURS JE TE TUE trouvé par Fred
6
DOMICILE CONJUGAL trouvé par La Pyrénéenne
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LE CHAT trouvé par damss
8
LES CHANSONS D'AMOUR trouvé par damss
9
BEFORE SUNSET trouvé par marion
10
LE LOCATAIRE trouvé par le mec qui passe
HYPER FASTOCHE, sinon vous allez couiner hurler.
Une seule réponse à la fois par personne.
Attendez que j'ai dit si la réponse est bonne avant de retenter votre chance.
GAME OVER. Merci.
1
L'ARMEE DES 12 SINGES trouvé par sopel
2
FLIGHT 93 trouvé par Benji
3
AU NOM DU PERE trouvé par sopel
4
DETENTION SECRETE trouvé par maion
5
MENSONGES D'ETAT trouvé par marion
6
LIONS ET AGNEAUX trouvé par sopel
7
PARADISE NOW trouvé par Mister Loup
8
DES HOMMES ET DES DIEUX trouvé par jg81
9
THE DARK KNIGTH trouvé par Grégoire
10
V POUR VENDETTA trouvé par Jordane
2009
Un prophète de Jacques Audiard *****
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2008
Le cahier (Bouddha s’écroule de honte) d’Hana...
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2007
L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert...
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2006
The fountain de Darren Aronofsky*****
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2005
MILLION DOLLAR BABY de Clint Eastwood*****
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2004
LOST IN TRANSLATION de Sofia Coppola
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2003
NOS MEILLEURES ANNEES de Marco Tullio Giordana
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2002
LE PIANISTE de Roman Polanski
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2001
MULHOLLAND DRIVE de David Lynch
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2000
IN THE MOOD FOR LOVE de Wong Kar Waï
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1999
TOUT SUR MA MERE de Pedro Almodovar
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FESTEN de Vintenberg
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1997
MARIUS ET JEANNETTE de Robert Guédiguian
1996
UNDERGROUND de Emir Kusturika
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1995
Sur la Route de Madison de Clint Eastwood *****
vous fera t'il sortir de votre estivale torpeur ? Ce jeu se décompose en trois temps :
1) donnez-moi le titre des films dont j'ai extrait un morceau d'affiche,
2) dites-moi quel est leur point commun (oui, ce sont tous des Palmes d'Or au Festival de Cannes) et,
3) pourquoi je les ai choisis (ce sont 10 parmi mes Palmes D'Or préférées) ?
I
(très casse-tête) que je vous invite à pratiquer… soit sur votre blog soit directement ici en commentaires… C’est cinématographico-proustien, très amusant, très difficile et sans doute très révélateur !!! Les mêmes questions posées demain trouveraient peut-être des réponses différentes mais c’est ainsi, avec le cinéma tout est subjectif, fonction de l’humeur et de la direction du vent !!!*
1- Plaisir(s) inavouable(s) :
2- Classique(s) ennuyeux :
3- Adoré(s) à l'adolescence et abandonné(s) :
4- Chef(s) d'œuvre(s) méconnus :
5- Navet(s) génial(iaux) :
6- Film(s) détestable(s) :
7- Pleurer à chaque fois :
8- Mourir de rire à chaque fois :
9- Etre émoustillé à chaque fois :
10- Cahiers du Cinéma ou Positif :
11- Cinéaste trop vanté :
12- Sainte trinité :
13- Entrée en cinéphilie :
*J’ai trouvé ce quizz sur un blog, mais il m’est impossible de me souvenir lequel. Si son propriétaire passe par ici, qu’il m’en excuse et me laisse ses coordonnées je les mettrai en lien bien volontiers !
Les bougnouls, les nègres, les pédés (les juifs et les bouddhistes on sait pas), Marco et ses copains bas de plafond ne les aiment pas et ils leur font savoir.
Dès qu'ils le peuvent et le plus souvent à trois contre un, ils en chopent un et lui font comprendre à coups de pieds, de poings, de ceinture et éventuellement parfois Marco sort sa hâchette, que la France ce n'est pas chez eux. Ils laissent leurs victimes incrédules, "on ne vous a rien fait !" tente l'une d'elles, sur le bitume. Ils peuvent aussi entrer dans un bistrot et s'en prendre à un groupe qui joue tranquillement aux dominos, leur faire chanter la Marseillaise, terroriser du regard une famille de maghrébins au point de lui faire quitter le bus, forcer un homme noir à ingurgiter des sommes astronomiques d'alcool ou autres produits chimiques... Parfois être simplement heurté dans la rue suffit à les mettre en rogne. Ces types n'ont pas de message, pas de théories, pas de projets... ils ont la haine. C'est elle, et la violence et l'agressivité qui les agitent. Lorsque Marco rentre chez lui, on comprend, mais ça ne l'excuse pas, dans quelle misère sociale, affective et sexuelle il se trouve. Faire partie d'un groupe est sans doute tout ce qu'il a trouvé pour s'échapper de son quotidien.
Et puis Marco de plus en plus souvent se retourne sur les victimes que ses amis et lui laissent parfois sans connaissance. Il trouve du travail, rencontre une fille dont il ne prend pas la peine de se méfier lorsqu'elle lui annonce ravie et fière : "c'est rare de rencontrer quelqu'un qui a des convictions". Il l'épousera et paiera bien cher de ne pas avoir compris que tout le monde n'est pas comme lui car Marco se rachètera une conduite au fil des ans, abandonnera sa haine et sa violence.
Diastème évoque par le biais de la rédemption de son personnage principal, plus de trente années des faits et de l'évolution des membres et sympathisants d'un parti à l'idéologie et aux pratiques rances qui hélas font aujourd'hui partie de notre quotidien. On a l'impression que le nationalisme, le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie n'ont jamais été aussi présents. Il aborde le parcours de 4 anciens skin heads qui doit refléter la réalité : l'un s'amendera donc, l'autre mourra du sida, un troisième purgera une peine de prison pour crime raciste ("Pourquoi tu leur as pas dit au tribunal que c'était pour rire ?" dira Grand Guy à Marco qui lui rend visite au parloir. "Parce que c'était pas drôle" lui répond Marco) et le quatrième cloué dans un fauteuil roulant suite à une rixe de jeunesse mettra ses talents d'orateur au service du parti qui pue.
Servi par de bons dialogues et un acteur principal étonnant Alban Lenoir, le film manque malheureusement d'ampleur et malgré la violence du début, on ne sort pas de la projection aussi révolté qu'on aurait dû l'être.
Est-ce que l'amour fait mal ?
« Oui, l'amour fait mal : comme les grands oiseaux rapaces, il plane au-dessus de nous, il s'immobilise et nous menace. » François Truffaut.
Voilà,
un an a passé et je me demande où est passée cette année, cette première année sans Ma Mouche à moi ! Plusieurs personnes m'ont dit à plusieurs reprises qu'au cours d'un deuil il fallait un an... Un an pour quoi ? Je n'ai toujours pas compris.
Pour aller mieux ? Je vais aussi bien que possible, malgré tout ce qui est apparu depuis un an (hypertension, cholestérol, hypothyroïdie...).
Un an pour quoi ?
Pour ne plus penser à lui sans pleurer ?
Pour comprendre ?
Pour admettre enfin ?
Pour ne plus embarrasser personne avec mon chagrin ?
Mais est-ce que j'embarrasse qui que ce soit avec mon chagrin ?
Je pense que non.
J'espère que non ! Je m'efforce le plus possible d'être "normale", même si parfois mon esprit s'échappe et je me dis :
"mais pourquoi il - elle - ils - on, ne me parle(nt) pas de Mouche là, maintenant ?"
Je pense, j'espère n'avoir jamais mis mon chagrin, mon drame personnel en avant, en concurrence ou en balance par rapport à ce que d'autres vivent. Je m'en voudrais d'avoir fait ressentir ça. Si c'est arrivé, et d'ailleurs c'est arrivé, je sais que certaines personnes ne me supportent plus parce qu'elles me pensent incapable de penser sans "comparer" les situations. Ce qui est faux, je ne fais pas ça, et pourtant je m'en excuse auprès de ceux qui l'ont ressenti. Pour moi aussi, cette situation est nouvelle, inédite, inattendue...
Je me sens la même, amputée et bancale, mais la même.
Un an Pour Quoi ?
Une personne un peu moins imprécise à propos de cette fameuse première année nécessaire pour... , m'a dit que plus jamais il n'y aurait de premières fois. Le premier Noël, le premier anniversaire etc... tout ça, c'est passé. Effectivement, c'était plus précis et j'ai compris. Mais je ne pense pas qu'il se va se passer quoi que ce soit aujourd'hui ou demain où j'entamerai la deuxième année du reste de ma vie sans Mouche. Il y aura le deuxième été sans lui, le deuxième Noël... Mouche reste irremplaçable et moi inconsolable. Je me réveille encore et toujours parfois en pleurant.
En un an, j'ai rêvé quatre fois de Mouche. C'était merveilleux et en me réveillant, je n'avais qu'une envie, me rendormir pour retourner dans mon rêve, le rejoindre. ça ne marche pas comme ça...Face aux gens pas corrects que j'ai côtoyés et que je côtoie encore mais de moins en moins... je demande parfois à Mouche de m'envoyer sa force, son calme, son détachement, sa force. Son détachement surtout. Le fameux "prendre de la distance" qui ne fait pas partie de mon ADN.
Parfois ça marche.
Si vous avez suivi ce que j'ai raconté cette année, vous savez que Mouche est venu me rendre visite récemment et que ça m'a "portée" pendant plusieurs jours. Quand quelque chose d'étrange ou d'inexpliqué se produit, mais jamais rien de négatif évidemment, je me dis que c'est Mouche qui est là... comme l'autre jour lorsque l'énorme ballon qui me sert -parfois- à faire des exercices de kiné s'est déplacé vers sa photo sur une table basse, j'ai immédiatement pensé que Mouche voulait jouer au ballon avec moi, pas qu'il y avait eu un courant d'air ou je ne sais quoi.
Je peux regarder des photos la plupart du temps et parfois c'est insupportable. Les vidéos, j'ai arrêté, même si c'est pénible de ne plus "entendre" sa voix dans ma tête, sa voix que j'aime tant.
Je peux aller dans certains endroits où nous allions souvent et pour d'autres c'est impossible. Je n'ai jamais pu remonter dans sa voiture qui appartient à Amaury désormais. Parfois la voir arriver au loin ou entendre le moteur reconnaissable me produit encore un choc. Je peux encore écouter certains chanteurs qu'il aimait tant mais d'autres comme Lou Doillon (il a écouté son album en boucle pendant les dernières semaines de sa vie) ou Arno, c'est impossible.
Je "revis" toujours en pensées, souvent le soir avant de m'endormir, cette dernière terrible journée où "on" ne m'a pas aidée ou prévenue que c'était ou que ce serait éventuellement les dernières fois, même si j'ai bien compris que personne n'a de certitude absolue en la matière... Le dernier yaourt que je n'ai pas pu lui donner, le dernier massage, le dernier mot, le dernier regard. Je "leur" en veux toujours de leurs manquements, de leur maladresse, de leur "distance"... même si j'ai arrêté de "leur" écrire pour "les" empêcher d'oublier Hervé !
Des témoignages reçus de personnes soignées ou qui ont vu un proche mourir dans le même service, prouvent qu'hélas, rien n'a changé. Le malade, l'entourage ne sont toujours que des anonymes qu'ils soignent. C'est leur boulot. Basta. L'humanité, la compassion ne font pas partie du package (sauf chez Cécile P.).
J'ai parlé récemment avec une infirmière qui accompagne les malades en fin de vie. Elle m'a dit que ce que j'avais fait était exceptionnel et rare. Je n'arrive franchement pas à réaliser que ça l'est. Avoir été là, et plus que là, pendant toute la maladie, avoir été là jusqu'au tout dernier instant, jusqu'au dernier souffle, être restée le jour et la nuit près de lui, lui parler, lui tenir la main... Il paraît que c'est absolument exceptionnel dans le sens où peu de gens le font à l'hôpital. La maladie, la mort font peur. Elles me font peur évidemment. La maladie surtout. Mais ne pas être là avec la personne qu'on aime... Bref, autre débat.
Pour vous les fidèles qui êtes toujours là, certains ont disparu et je ne leur en veux pas car je crois que ce qu'ils préféraient en moi c'est Mouche... Comment leur en vouloir ? Je suis tellement contente que Mouche ait plu à toutes les personnes que je lui ai présentées, la majorité issue des blogs... alors que je n'ai réussi à plaire strictement à aucune de celles qu'il m'a présentées lui (ah si, Joëlle et Bruno, les seuls), à vous donc, qui ne m'oubliez pas, qui ne L'oubliez pas, j'ai envie de vous montrer des photos de Mouche au temps de l'insouciance et du bonheur. Que d'amour en 22 ans ! Je "travaille" toujours sur cet aspect de la réalité, avoir pu vivre cet amour là avec cet homme là, avoir eu cette chance, ce bonheur, cet honneur. Jamais il ne m'a fait de mal, enfin volontairement bien sûr... parce que depuis son absence je déguste. Mais son but, son objectif : me voir heureuse, m'entendre pouffer, m'esclaffer. Je pense, je crois, j'espère que je lui ai rendu.
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Vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir.
Mouche petit, avec celui qu'il a toujours appelé "mon petit frère"
et Haut et Fort s'obstine à mettre la photo ainsi... il vous faut pencher la tête.
Le petit frère, "disparu" tragiquement à 28 ans...
Mouche quand je l'ai rencontré... Comment ne pas tomber amoureuse ?
Nous, tous jeunots, trentenaires, l'année de notre rencontre...
J'ai toujours aimé le déguiser, le maquiller, avec Baptiste :
Le mariage (nous étions 9 :-)) et le spectacle Full Monty du mariage avec Amaury et Baptiste :
Venise, le Sénégal, le Maroc, Paris avec les enfants :
Les années 2000 : des travaux, des grimaces, des bêtises et des cascades pour me faire rire :
de Pascal Chaumeil ***
Avec : Romain Duris, Michel Blanc, Alice Belaïdi, Gustave Kervern
Jacques accumule les poisses. Il perd son emploi suite à la fermeture de l'usine dans laquelle il travaille. Sa fiancée le quitte. Il se met à jouer et à beaucoup perdre. Il lui reste ses deux meilleurs potes Tom et Jeff avec qui il boit des bières.
Mais pour survivre ou simplement vivre, ce n'est pas suffisant. Bien qu'il se vante d'avoir toujours été honnête jusque là, Jacques accepte la proposition de Gardot le petit mafieux local, de tuer contre une somme d'argent sa femme qui le trompe. Malgré une préparation approximative du crime et une conscience qui le chatouille très discrètement, Jacques se tire très bien de sa mission. Devant cette réussite, Gardot lui propose de poursuivre leur association. Dans un premier temps Jacques refuse mais finalement estime qu'il y a quand même des types qui méritent d'être éliminés. Et puis il veut absolument aider son meilleur copain Tom, employé/gérant d'une station-service qui craint de perdre son emploi parce qu'un inspecteur tatillon le harcèle à propos de sa façon de gérer.
Alors bien sûr, il y a une légère satire sociale et l'on voit que des entreprises à force de "dégraisser" ferment et engraissent finalement les actionnaires qui ne prennent aucun risque. On voit que de petits gratte-papier minables mais zélés (Alex Lutz génialement médiocre) prennent un plaisir sadique à brandir le spectre du déclassement ou du renvoi à des employés qui n'ont d'autre choix que de s'écraser pour conserver leur emploi. Mais ce qui domine surtout ici est l'aspect comédie française. Pas franchouillarde hein, non, de qualité, "à la papa" je dirai presque, puisque j'ai parfois eu l'impression de me retrouver devant un bon vieux Audiard où les personnages, bien que chevauchant des cadavres, restent éminemment sympathiques, voire face à du Blier un peu light. On a beau se dire que ce type, Jacques/Romain Duris tue des gens... on n'arrive pas à lui en vouloir, on s'attache à lui, on veut qu'il s'en sorte et il reste aimable quoiqu'il fasse.
La fin délicieusement amorale ne vient même pas titiller notre bonne conscience car on a passé un trop bon moment en compagnie de ces types un peu losers, un peu poissards mais franchement drôles. Que ce soit volontairement ou par accident, Jacques tue des gens et se tire des situations les plus embrouillées de façon quasi miraculeuse.
Autour d'un Romain Duris à la quarantaine séduisante et à la coolitude enviable, on retrouve Michel Blanc bien servi par un rôle de petit truand placide et implacable. Gustave fait son Kervern, Alex Lutz jubile en bureaucrate servile.
Et, prime sur le gâteau, des dialogues aux petits oignons : "Tuer c'est affreux... Surtout pour les oreilles."