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  • Elizabeth, l’âge d’or de Shekhar Kapur °°

    Elizabeth : l'âge d'or

    Voici donc la suite de l’histoire d’Elizabeth, dont le premier volet datant de 1998 racontait la jeunesse et l’ascension de la jeune reine d’Angleterre. C’était un film magnifique. Ici, la reine vierge, qui vit ses amours par procuration, et protestante doit faire face à Philippe II d’Espagne, fervent catholique qui considère son règne comme une imposture… puisque Marie Stuart, qu’Elizabeth fera décapitée est emprisonnée.

    Pour la vérité historique, il faudra sans doute se replonger dans les livres d’histoire, mais ce n’est pas gênant, en ce qui me concerne je ne demande pas au cinéma de me dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité dites je le jure… mais autant l’avouer sans ménagement, en premier lieu, j’ai trouvé ça d’une laideur à faire fuir.

    Pour le reste : pas mieux ! Le montage à la hache et à la scie circulaire fait qu’on passe d’une scène à l’autre sans transition sous mes bâillements. Aucun personnage n’accroche l’attention.

    Le roi Philippe II d’Espagne, titubant, menace tous les quarts d’heure sa petite fille muette de devenir reine d’Angleterre (oui, l’Europe est une grande famille, on le sait). Son invincible Armada se résume à trois rafiots qui voguent sur une mer en plastique. L’équipage est composé de trois guguss lookés à la mode talibans et au regard souligné de khôl qui se fera ratatiné en deux temps trois mouvements par des pirates enragés.

    Geoffrey Rush en conseiller trop zélé est mou et vieux.

    Clive Owen, regard d’acier, sourire en coin et culottes bouffantes est ridicule.

    Même l’interprétation consciencieuse et zélée de Cate Blanchett, tout en cris puis en chuchotements, en sourires complices et clins d’œil canailles, finit par lasser.

    Au final on trouve deux bandes de fanatiques religieux qui se font la guerre au nom de leurs superstitions, comme d'hab'. Pouah !

    Le tout est emballé, enseveli devrais-je dire, sous une musique tonitruante hideuse sans doute censée nous faire croire qu’un spectacle trépidant se déroule sous nos yeux.

    Affligeant !

  • Les femmes de ses rêves des Farelly Brothers°/*(pour Ben Stiller)

    Les Femmes de ses rêves - Ben Stiller et Michelle Monaghan

    Eddie, quarantenaire sentimental (ça doit être bien une femme à la maison) mais égoïste (c’est drôlement bien la vie de célibataire) difficile à caser, rencontre Lila, grande tige blonde qui se révèle rapidement être la femme idéale… parfaite. Dès la lune de miel au Mexique où Eddie va croiser le regard de la douce Miranda, Lila devient une véritable harpie. Comment se débarrasser d’elle pour vivre enfin le grand amour ?

    Grâce à Ben Stiller, qui, ô miracle !, se sort de toutes les situations, le naufrage est évité mais on n’est pas loin du navet poussif (c’est looooooooong), beauf (le club du voyage de noces est digne des « Bronzés »), et misogyne (les filles sont des tyrans, les hommes des victimes). Comment trouver sympathique ce garçon (comme TOUS les garçons il se marie avec un flingue sur la tempe…), alors qu’il ne peut vivre que de mensonges et de malentendus ? Que dire du père libidineux, repoussant et antipathique ? Rien. Comment ne pas plaindre l’actrice Malin Akerman (mais c’est bien fait pour elle finalement) clone de Cameron Diaz (elle n’était pas libre ?) qui se voit, après avoir joué les pucelles effarouchées devenir une furie SM au lit (scènes ridicules), qui doit se faire sortir des tas de choses du nez suite à une déviation de la cloison, passer la moitié du film avec des cloques sur le visage et le corps à cause d’un coup de soleil et devenir brusquement (dès que la bague au doigt lui a été passée évidemment : LE REVE de toutes les filles est le mariage forcément, on ne le répètera jamais assez !) une idiote, menteuse, ex-droguée, jalouse, hurlante, hystérique… Quant à Michelle Monaghan, un peu moins caricaturale (quoique la fille parfaite, douce, drôle, gentille, intelligente qui comprend tout… c’est fatigant aussi), elle sera également « sacrifiée » dans la toute dernière scène qui prouve que si les filles sont soumises aux garçons, les garçons sont irrécupérables. Quant aux scènes de passage entre la frontière mexicaine et américaine, il vaut mieux les passer sous silence tant elles sont déplacées...

    Mais le pire de tout : ce n’est pas drôle !

  • T'as d'beaux yeux tu sais !

    Vous pouvez tenter de dire à qui sont ces jolis yeux.

    BRAVO A POMEPOME(girl) QUI A TROUVE LA MAJORITE DES REPONSES !

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