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LES POINGS CONTRE LES MURS de DAVID MACKENZIE ****

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Synopsis : Jeune délinquant particulièrement violent, Eric passe de façon prématurée de l’environnement carcéral pour adolescents à celui, beaucoup plus sinistre, de la prison pour adultes. Alors qu’il lutte pour s’affirmer face aux surveillants et aux autres détenus, il doit également se mesurer à son propre père, Nev, qui a passé la majeure partie de sa vie derrière les barreaux. Eric, avec d’autres prisonniers, apprennent à canaliser la rage qui est la leur, tout en découvrant les nouvelles règles de la survie en prison. Certaines forces y sont à l’œuvre et, constamment, menacent de le détruire…

(vu au dernier Festival du Film policier de Beaune).

Quand je pense que j'ai failli faire l'impasse sur ce film me disant qu'un énième film de prison n'apporterait rien. Mais dans un festival je tiens à voir le maximum de films de la compétition officielle. Quel choc !

 

On ne sort pas un instant de la prison. Contrairement à Un prophète auquel ce film peut faire penser et où l'on allait s'aérer de temps à autre. Ici jamais. Et l'on reste accroché au destin d'Eric (Jack O'connell, impressionnant), tout jeune homme de 19 ans, petite gouape sans cervelle que peu à peu on apprend à connaître, à comprendre et à plaindre. Ce garçon agressif n'a connu que la brutalité et la maltraitance et ne peut s'exprimer par rien d'autre que la violence. Un psychiatre bénévole (Ruper Friend, exceptionnel) tente d'offrir une porte de sortie à Eric. Mais le jeune homme doit aussi faire face à un autre détenu Nev (Ben Mendelsohn, étonnant), son propre père, lui aussi enfermé à perpétuité.

 

Un choc je vous dis.

Commentaires

  • Non mais Ben Mendelsohn, faut qu'il arrête.
    Je l'ai vu dans le film de Ryan. Dès qu'il arrive ça devient hyper glauque.
    Brrrr

  • Ouais mais Rupert merde !

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