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j'invente rien -

  • J’invente rien de Michel Leclerc*

    Paul (Kad Merad, bof), rêveur, claustrophobe, agoraphobe, hypocondriaque et paresseux aime Mathilde qui le lui rend au centuple. Il vit à ses crochets et comme il l’a fait rire, elle l’entretient en souriant. Elle supporte ses excentricités jusqu’au jour où elle ne les supporte plus (« on se dispute de moins en moins bien » lui dit-elle) et lui demande de trouver du boulot. Comme Paul n’en est pas à une bizarrerie près, il décide de devenir « inventeur » !!!

    Que la comédie est un exercice difficile !!! Après une demi-heure un peu drôle et un peu  inédite… la répétition, et donc l’ennui, s’installent. Il est vrai que déjà les trentenaires irresponsables et immatures ne me faisaient pas trop rire mais les quarantenaires… pas du tout ! Ajoutez à cela un discours profondément misogyne et il n’en faut pas plus pour avoir raison de ma patience et de mon indulgence.

    Cela dit, il y a Elsa Zylberstein, belle et drôle, ce qui n’est pas incompatible, et Claude Brasseur (quoiqu’il fasse, je le trouve touchant) en beau-père qui clame « je n’aime pas la vulgarité ! » mais qui appelle sa fille « petit cul » et son gendre « branleur ».

    Pour eux deux, éventuellement !