Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BRÈVES DE COMPTOIR de Jean-Michel Ribes *

045698_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

Synopsis : Une journée de la vie du Café L’Hirondelle, sur une petite place de banlieue, en face d’un cimetière. De l’ouverture à 6h30 du matin jusqu’à la fermeture à 22h30, les clients entrent, boivent, parlent, sortent, rerentrent, re-boivent et reparlent de plus belle. Ils composent un drôle d’opéra parlé, une musique tendre et cocasse, un cantique de pensées frappées au coin du plaisir d’être ensemble, un verre de vin blanc à la main. Le génie populaire danse.

Oh la la la drôle d'idée de tenter de mettre en images des brèves de comptoir ! D'autant que l'image est particulièrement laide, le décor bien moche et le défilé d'acteurs dont la plupart sont dans la catégorie "on-sait-jamais-comment-ils-s'appellent", un peu systématique et mécanique. Enchaîner les mots d'esprit en tentant de faire croire à des dialogues est un peu casse-gueule. Et ça ne fonctionne pas à quelques très rares exceptions près. On a l'impression que les acteurs récitent leur petite phrase chacun leur tour sans cohérence. Au s'cours !

 

Pourquoi avoir pris le parti aussi de faire de tous les participants (ou presque) des alcooliques qui se commencent au blanc dès le petit déj' ?



Quant aux scènes censées apportées de l'émotion, elles sont ridicules. Le vieux monsieur inconsolable et la vue sur le cimetière laissent l'électro cardiogramme plat...

 

Le seul qui m'ait vraiment fait hurler de rire est Antoine Gouy en jogger qui ne s'arrête pas de courir pour boire. Et le comble est qu'il ne parle pas... donc, il n'a même pas une brève à énoncer !

 

Alors si vous vous sentez de taille à supporter Chevalès et Lespalier : INSUPPORTABLES, et des petites saillies du style :

 

"L'égalité homme femme, je veux bien, si ça leur fait plaisir à ces connasses !"...

 

go !

Commentaires

  • Ouille.

  • Chevalès et Lespalier, non je ne peux pas ! Dommage pour François Morel, que j'ai vu lundi dernier à Paris (avec J.M. Ribes) et qui est adorable.

  • ah mon dieu... François Morel... déguisé en hamburger... ce sera sans doute pas son titre de gloire !

Les commentaires sont fermés.