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LES AUTRES FILMS DE JUILLET 2017 (1)

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les autres films de juillet 2017,valerian de luc besson,the circle de james ponsoldt,wonder woman de patty jenkins

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VALERIAN ET LA CITÉ DES MILLE PLANÈTES de Luc Besson *

550722.jpg-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgAvec Dan de Haan, Cara Delevingne, Rihanna

Sur une planète à l'esthétique que ne renierait pas My little Pony, des aliens elfiques beaux, doux, parfaits et pacifistes vivent d'amour, d'eau fraîche et de perles. Malgré cet univers aux teintes guimauves écoeurantes, c'est pourtant avec ce peuple chaleureux et doux que j'aurais eu envie de passer plus de temps. Hélas...

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Avant d'en arriver au 28ème siècle le réalisateur nous fait comprendre par une scène identique et répétitive que les univers intergalactiques ont été peuplés de créatures de plus en plus étranges qui s'entendaient parfaitement entre elles, vivaient en harmonie et se serraient cordialement la main, la pince ou la tentacule. Je n'ai pas bien compris à quel moment cette entente cordiale est partie en sucette mais forcément ça ne pouvait durer des millénaires. La planète des pearls est détruite obligeant les sublimes créatures à errer à travers l'univers dans une moche carlingue non sans avoir préalablement abandonné à son sort la jolie princesse à cause que la poignée de la porte s'est cassée de l'intérieur. A quoi ça sert une intelligence supérieure pour en arriver là !

C'est à ce moment qu'interviennent Valérian et sa co-équipière Laureline, agents gouvernementaux du 28 (ou 29ème, les intervalles c'est compliqué) millénaire. Les deux agents se courent après et se chamaillent. Le premier veut épouser la seconde qui le trouve un peu trop coureur de jupons à son goût. Elle le fait cavaler comme il est pas permis. Le Ministre de la Défense les recadre un peu, leur fait quitter la plage idyllique où ils se reposaient et les envoie remettre un peu d'ordre dans la galaxie. Et notamment sur la Cité des Mille Planètes "une métropole en constante expansion où des espèces venues de l'univers tout entier ont convergé au fil des siècles pour partager leurs connaissances, leur savoir-faire et leur culture". Mouais.

A partir de là, je n'ai strictement plus rien compris et le film s'est appliqué à vouloir nous en mettre plein les mirettes et les esgourdes à grand renfort de combats aero-spatio-temporo. Une sorte de fast and furious de l'espace en quelque sorte où on ne sait jamais vraiment ni tout à fait qui tire sur qui et pourquoi.

Je pensais que Luc Besson qui m'a tant fait rêver je l'avoue allait enfin me ravir à nouveau. Après l'impeccable Dernier Combat et le punk Subway, j'avoue m'être fait complètement avoir par le désormais irregardable Grand bleu. Je me suis prise d'amour pour Nikita puis Leon et encore Leeloo-bigbadaboum-Dallas. Mais depuis Le 5ème élément, je suis allée de déconfiture en déconvenue. Et ce film ne redresse hélas pas la barre. Très long et agité, ça lorgne énormément du côté de Star Wars, ce qui n'est pas pour me déplaire. Et je dois reconnaître que le marché géant uniquement visible par ceux qui portent un casque et des lunettes spéciales est le grand moment de bravoure du film, visuellement époustouflant.

Si Dan de Haan réussit à se montrer tour à tour séducteur, enfantin, casse-cou et sérieux dans le rôle de Valérian. J'ai trouvé que sa Laureline avait bien de la difficulté à montrer qu'elle était censée être amoureuse du garçon. Elle préfère sautiller partout. Il faut dire que les deux moquettes qu'elle a au-dessus des yeux m'ont sans doute empêché d'apprécier à sa juste valeur ce qui se passait en dessous. Et puis ce film n'est certes pas fait pour les performances d'acteurs.

Quoique... en plein milieu du film déboule Rihanna dont je ne connais que le nom et elle nous éblouit littéralement d'une chorégraphie transformiste ahurissante et son joli personnage de sans papier galactique apporte une touche émouvante au machin survolté.

Tout n'est donc pas à jeter avec l'eau du bain, mais franchement tout ce bruit pour ça ? Personnellement j'ai trouvé le temps long.

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THE CIRCLE de James Ponsoldt *

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avec Emma Watson, Tom Hanks, John Boyega

Synopsis : Les Etats-Unis, dans un futur proche. Mae est engagée chez The Circle, le groupe de nouvelles technologies et de médias sociaux le plus puissant au monde. Pour elle, c'est une opportunité en or ! Tandis qu'elle prend de plus en plus de responsabilités, le fondateur de l'entreprise, Eamon Bailey, l'encourage à participer à une expérience révolutionnaire qui bouscule les limites de la vie privée, de l'éthique et des libertés individuelles. Désormais, les choix que fait Mae dans le cadre de cette expérience impactent l'avenir de ses amis, de ses proches et de l'humanité tout entière…

Vous n'avez rien pigé au synopsis ? Normal, il est à l'image du film. Cette histoire devrait nous mettre en garde contre les dérives et dangers des réseaux sociaux mais finit par laisser aussi froid qu'un plat de brocolis. On n'y comprend rien. Dès lors que Mae se retrouve plonger, avec son consentement, dans une expérience à la Truman Show (elle est filmée H 24) on ne sait plus très bien où tout cela va nous mener. Plus grave, on ne comprend pas non plus les motivations de l'héroïne. Comme si de supérieurement intelligente elle devenait la plus parfaite crétine qui soit, incapable de réaliser ce dans quoi elle s'embarque. Sans compter que ce qui arrive à son meilleur ami... bon, je ne dis rien.

C'est comme si le scenario se prenait les pieds dans le tapis, incapable d'expliquer les dangers des réseaux en en montrant que les aspects positifs !

Quant à la résolution finale en un claquement de doigt, elle tient véritablement de la prouesse miraculeuse. Comme si brusquement le réalisateur avait manqué de pellicule et dit : "c'est bon les gars, on arrête là !".

Mais il y a Emma Watson, épatante comme à son habitude, et Tom Hanks toujours impeccable et incapable d'être ridicule malgré un rôle qui ne lui convient pas du tout. 

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WONDER WOMAN de Patty Jenkins °

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Avec Gal Gadot, Chris Pine, Connie Nielsen

C'était avant qu'elle ne devienne Wonder Woman, à l'époque où elle était encore Diana, princesse des Amazones et combattante invincible. Un jour, un pilote américain s'écrase sur l'île paradisiaque où elle vit, à l'abri des fracas du monde. Lorsqu'il lui raconte qu'une guerre terrible fait rage à l'autre bout de la planète, Diana quitte son havre de paix, convaincue qu'elle doit enrayer la menace. En s'alliant aux hommes dans un combat destiné à mettre fin à la guerre, Diana découvrira toute l'étendue de ses pouvoirs… et son véritable destin.

J'avais dit que je ne perdrais pas de temps à vous parler de ce machin que j'ai trouvé visuellement très laid et tout à fait grotesque. Et me voilà à vous le dégommer en règle !

Je ne connaissais pas la Wonder des années 70 et ne savait donc pas qu'elle avait été pétrie dans l'argile et qu'elle était une amazone ! Je ne parviens pas à me souvenir si l'intérêt de ses origines a une quelconque importance dans l'histoire. Sauf qu'évidemment dès qu'elle arrive dans les tranchées, puis à Londres (ou l'inverse) elle doit ouvrir des yeux de béotienne face aux découvertes qu'elle fait. Puisqu'elle a vécu depuis toute petite sur une île préhistorique uniquement peuplée de femmes où elle n'avait pour seule ambition que d'apprendre à se battre et à tenir un arc. En sœurs siamoises dont l'une veut et l'autre pas que Diana devienne Wonder, il faut apprécier le grand numéro totalement lol de Connie Nielsen et Robin Wright. Sous vos applaudissements.

L'île n'est simplement séparée de la guerre 14/18 que par un épais brouillard. Il n'est pas interdit de pouffer. C'est là qu'intervient Chris Pine déguisé en allemand pour les besoins de sa cause d'espions. Ce qui fait croire à Diana que les allemands sont les méchants, ce qui n'est pas faux quand on se replace dans le contexte. J'ai dû m'assoupir car je serais bien incapable de dire comment Diana se retrouve à devoir gagner la guerre à elle seule en abattant le vilain Arès, Dieu de la guerre ou approchant. Je vous en passe et des meilleures.

Chris Pine dans le rôle du héros au sacrifice beau comme l'antique est entouré de trois baltringues censés sans doute être la caution comique du bousin. Le jour où les faire-valoir me feront rire n'est pas né. Quant à la Super, je l'ai trouvée interprétée par une actrice dépourvue de charme et totalement inexpressive. Contrariée/pas contrariée voilà ses nuances de jeu.

Lorsque j'ai entendu parler de féminisme à propos de ce personnage, j'ai failli hurler mais n'ai pas voulu réveiller Simone Veil, elle a fait du bon boulot, RIP. En quoi une nana habillée comme Madonna, un rien bécasse (gentille quoi), plus belliqueuse qu'une armée de teutons est-elle féministe ?

Et en plus c'est d'une laideur ! Je l'ai  déjà dit ? Ah oui, pardon ! Mais c'est tellement laid, il faut que vous le sachiez.

Et, une fois n'est pas coutume, je comprends ce que disent Libération et Olivier Lamm

"Intensément laid et brouillon dans ses moments d’action, inepte, voire insupportable, dans sa représentation de la Grande Guerre, c’est in fine dans son incompréhension de l’héroïsme (...) que le film achève de révéler son cœur secret : "Wonder Woman" ne parle de rien, ni de condition de la femme, ni de mythologie, encore moins de civilisation".

Fermez le ban.

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SONG TO SONG de Terrence Malick °

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Avec Ryan Gosling, Rooney Mara, Michael Fassbender, Natalie Portman, Cate BlanchettSynopsis : Une histoire d'amour moderne, sur la scène musicale d'Austin au Texas, deux couples - d'un côté Faye et le chanteur BV, et de l'autre un magnat de l'industrie musicale et une serveuse - voient leurs destins et leurs amours se mêler, alors que chacun cherche le succès dans cet univers rock'n'roll fait de séduction et de trahison.Si j'avais pensé qu'un jour Terrence Malick que j'ai vénéré, se retrouverait dans la même rubrique que Wonder Woman !!! Il faut pourtant noter que Song to song est aussi visuellement lumineux que Wonder est sombre.Qu'est devenu le réalisateur des Moissons du ciel, de la Balade Sauvage, de la Ligne Rouge, du Nouveau Monde et de The tree of life ? Depuis 2011, il semble empêtré dans un charabia mystico vaporeux que je ne comprends plus. Et pourtant je pensais qu'ici il y aurait une histoire à se mettre sous la dent et au vu de son casting somptueux j'imaginais le meilleur.

Je ne devrais pas vous parler de ce film car je ne suis pas restée jusqu'au bout. Il ne restait qu'un quart d'heure, mais je n'en pouvais plus de cette langueur, de cette fausse douceur, de ces rapports merdiques et lorsque Fassie se dirigeait droit vers une partouze, j'ai dit STOP ! Je ne sais donc pas si lors de cette partouze on voit un peu de chair. Car du sexe dans ce film, il y en a, beaucoup, énormément. Mais Malick réussit la prouesse de faire baiser tout son TRES JOLI monde sans jamais le dénuder. Il s'attarde certes intensément sur le joli ventre impeccable, la peau somptueuse de Rooney Mara mais tous ces gens font l'amour habillés. Vous me direz, et alors, au cinéma tout est possible ! Mais je n'ai strictement rien compris à cette histoire...
 
Rooney Mara, magnifique, fait tourner la tête des garçons comme des filles et s'offrent à tous avec indolence et application. Comme si elle ne voulait chagriner personne mais elle fait finalement souffrir tout le monde. Malick doit être fou d'elle car il la filme amoureusement comme peu de réalisateurs savent le faire.
 
So what ?
 
Pas grand chose, tout le monde s'ennuie et est malheureux dans des intérieurs très chics où les voilages s'envolent et dissimulent. L'amour c'est difficile.La musique dans tout ça ? Pas grand chose à dire et à voir. Patty Smith fait même une apparition  dont on ne comprend pas le but et l'intérêt.Je ne sais pas jusqu'où va ce film alambiqué et incompréhensible mais je peux vous parler des acteurs. Rooney Mara s'en sort forcément bien puisqu'elle est au centre de l'attention et que son petit visage parfait, ses grands yeux étonnés, ses manières élégantes sont filmés, je me répète, amoureusement. Ryan Gosling me semble être le seul du reste du casting de luxe à être à la hauteur. Il a toujours un petit air absent, au-dessus de la mêlée, un petit air de dire "je suis comme vous, j'y comprends queud, mais je fais comme si...", et ça c'est LA bonne méthode face à ce machin abscons sans queue ni tête. Par contre j'ai trouvé Michael Fassbender mauvais pour la première fois, Cate Blanchett et Natalie Portman complètement à côté de la plaque parce que franchement mal à l'aise !
 
Peut-être comprendrez-vous mieux où Malick a voulu en venir en lisant Lucien Halflants de Cultoropoing qui m'a bien fait rire : "Se fier au rythme, au son, à l’image. Exploiter le cinéma jusque dans ses tréfonds primitifs et ramener le terreau à la surface pour atteindre un point aussi exigeant que parfois hermétique où ne peuvent subsister que le sens profond et la patronne émotion. Il y va, ici, d’un acte d’amour"…
 
Malick aime le rock et les jolies filles, tant mieux mais j'attends toujours, j'y crois encore qu'il me nous revienne avec autre chose que des sensations métaphysiques lourdingues, car il est responsable de mes plus grandes émotions au cinéma. Je n'ose croire que ce géant du cinéma s'effondre en filmant de jolies filles comme David Hamilton !

Commentaires

  • tu es très courageuse... moi je suis un froussard. Aucun de ses films ne me tentent même pour aller me rafraîchir au cinéma pendant la canicule !

  • Je les ai tous vus car j'espérais en tirer quelque chose... Je ne pensais pas m'ennuyer autant.
    Malick quand même.

  • Moi, je prends toujours autant de plaisir à revoir le Grand Bleu, même si après une dizaine de fois, j'ai arrêté de compter. Le Grand Bleu, Le Dernier Combat et Subway... Voilà la grande époque Besson que j'aime. Le 5ème élément aussi mais parce que j'ai toujours eu un faible pour Bruce Willis. Depuis, j'avoue plus grand chose. Ce Valerian n'a pas vraiment d'histoire, mais c'est un voir comme une longue quête onirique. Je m'en fous du scénario, je suis en plein rêve éveillé. Je voyage et dès cette magnifique introduction. Bowie, toujours. Ce titre, ça me bouscule. Et puis après il y a le numéro de Rihanna... Je garde mon bémol pour Herbie Hancock... Pourquoi il est là. Si au moins il avait composé une musique, car ce coté funk psychédélique, c'est aussi son univers jazz.
    Bref, j'ai vu Valerian, j'ai aimé comme une pina colada sur la planète des Pearls...

  • Passons donc maintenant, après Besson, a un autre grand réalisateur, Terrence Malick. Je n'ai pas vu celui-là, j'étais tenté, vu son passé, mais moi, vu ce que je peux en lire. Pourtant, Terrence, c'est comme tu le dis, Les moissons du Ciel, La Ligne Rouge et surtout Tree of Life. 3 films magnifiques (je n'ai pas encore vu la ballade sauvage). J'ai même aimé (dans une moindre mesure) son Knight of Cups. C'est dire que ce réalisateur est pour moi... Alors, je le verrais certainement, celui-là aussi, si ce n'est pas en salle, cela sera probablement au rayon DVD... Parce que je ne peux quand même pas passer à côté d'un Mallick, cela ne se fait pas, surtout après Tree of Life, l'un des plus grands films vu...

  • Dans ce cas tu peux y trouver ton compte je pense.
    Je n'ai pas vu Knights of cup mais A la merveille que je n'ai pas aimé. Il semble que ce dernier film fasse partie d'une trilogie qui inclue ces trois films... si c'est ça l'amour ??? Mais bon c'est vrai que les gens heureux n'ont pas d'histoire !

    Moi c'est La ligne rouge que je trouve indépassable.
    La balade sauvage est INCROYABLE.
    J'espère que tu as vu Les moissons du ciel. Un chef d'oeuvre. Malick semblait s'intéresser à l'espèce humaine avec compassion.

  • La dernière fois que j'ai zappé sur le Grand bleu j'ai trouvé ça pénible. L'hystérie de Rosanna... Ça ne marche plus.
    Mais j'aime toujours le côté rêveur de Barr et le comique de Reno.
    Ah oui j'ai oublié cette ouverture de Bowie... Je me suis dit que ça commençait plutôt bien ! Quel titre !!!
    Et le quart d'heure Rihanna est le meilleur du film avec le quart d'heure Pearls.
    Herbie n'a rien à faire là.
    Il y a des scenarii qui tiennent sur un ticket de subway et que j'aime. Mais tout ce barouf pour ça. ..

  • Je me demandais justement ce que tu avais pensé de Song to Song. J'ai tenu jusqu'à la fin mais rarement un film ne m'a semblé aussi long ! Comment ce film peut-il être aussi raté avec un tel casting ? Quel ennui ! En tous cas je suis in love de Rooney, et ça fait déjà un petit moment que ça dure

  • Raconte moi la fin. Après la partouze :-) Il ne se passe rien de plus ?
    Qui reste avec qui.
    Oui Rooney : ON CRAQUE !

  • Y'a une partouze ? Mais fallait commencer par ça de suite...

  • Attention spoiler : Nathalie se fout en l'air, Ryan a une brève aventure avec Cate, se prend la tête avec Michael, mais revoit Rooney à une soirée et ils se remettent ensemble

  • Ah oui Natalie n'avait pas l'air en forme. Je ne sais même plus si elle était avec Michael ou Ryan...

  • Juste pour dire que c'est Simone Veil. Pas Weil.
    Voilà, voilà… ma chronique (mitigée) de "Valérian" viendra, mais pas tout de suite...

  • Rebonjour Pascale, je n'ai vu que The Circle pour les acteurs qui sont bien. Sinon le film ne casse pas trois pattes à un canard. Je fais l'impasse sur les trois autres. Bonne après-midi.

  • REbonjour Dasola. les acteurs sont bien mais quelle casse-tête sans grand intérêt.

  • Qu'il est moche ce Valerian ! Près de 2h20 qui en paraissent le double pour une histoire de ragondin qui pète des billes pour des fainéants qui passent leur vie à faire bronzette près de la grande bleue, non merci. My little poney c'est bien vu, je n'aurais pas dit mieux. Côté casting Rihanna wtf ? Chabat heureusement qu'il est là (un petit revival Objectif Nul), Dehaan non, Cara ok.

  • Le cafard multicolore qui chie des perles j'ai trouvé ça too much comme façon de survivre effectivement. Ils ne font pas que bronzette. Ils pêchent et ils draguent. Franchement ça change de ne penser qu'à la guerre.
    J'ai bien aimé le show Rihanna même s'il n'est là que pour faire plaisir à Besson et aux fans.
    Chabat tout craspec : mouais...
    De Haan : oui.
    Delevingne : définitivement non.

  • Bonjour Pascale,
    "LEs moquettes" m'ont fait rire. Effectivement, ce film présente des aspects négatifs et positifs...L'un des aspects négatifs, c'est tout de même le mauvaise jeu des acteurs principaux ( peu crédibles...).
    Je comptais aller voir The circle, mais je commence à avoir peu de tous ces billts négatifs... Je verrais...

  • ces moquettes m'ont beaucoup gênée, j'avais l'impression qu'elle allait les retirer pour dire : mais non je ne suis pas un allien. Quant à son jeu... ben oui, c'est du jeu de défilé :-)
    J'ai trouvé un article plutôt positif chez tinalakiller (https://tinalakiller.com/)

  • Terence Malik a l'art de faire de l'image pour faire de l'image,je n'irai plus voir ses films depuis que je n'ai rien compris à The tree of life !
    Pour Wonderwoman, j'ai bien aimé même si je comprends tes arguments.
    Les autres films que tu dégommes ne me tentent pas ahah.
    C'est triste mais je ne trouve pas franchement de films qui me tentent depuis quelque temps, j'ai vraiment la flemme d'aller au cinéma voir tout et n'importe quoi :(

  • Question images il est champion mais on est pas là pour voir ses diapos photos. Ça va être dur de voir ses prochains films.
    Oui la Wonder m'a TOTALEMENT échappée.
    C'est l'été chaque fois c'est pareil.
    Les singes sont vraiment bien et Crash test Aglae vaut le détour. Ah mais oui tu l'as vu :-)

  • J'ai pas vu Song to Song (il ne passe plus chez moi et je suis partie entre temps) mais ça a l'air d'un chiant (je le rattraperai chez moi pépouze, ça sera plus simple)... Et là tu parles de partouze, je me demande ce que prend Malick comme drogue...

  • Oui c'est TRÈS chiant. Je ne connais personne qui ait aimé.
    Pepouse ?? C'est du dialecte local ?
    Tu vas te régaler à décortiquer chaque image :-)

  • Si je m'endors, je ne pourrais riennnn analyser :o :o

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