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  • M.I. 3 de J.J. Abrams **

    Ethan court ( à Shangaï)...

    C’est l’histoire d’une patte de lapin qui vaut 753 millions de dollars… Ethan, ça le fait courir de Berlin à Washington et de Rome à Shangaï et il court, vite, très bien et longtemps et ça nous laisse à peine le temps de visiter ces belles villes. Depuis Forrest Gump, personne n’avait autant couru, et si vite et si longtemps. Ethan est amoureux, ça le fait beaucoup courir et beaucoup pleurer. Ethan a un nouvel ennemi très cruel, très imperturbable, très implacable. C’est Philip Seymour Hoffman, acteur luxueux, et c’est réjouissant. Cet ennemi fait beaucoup courir Ethan.
    C’est un film pyrotechnique qui vous laisserait en apnée deux heures durant si quelques scènes romantico-niaiseuses ne venaient permettre de reprendre le souffle (et en même temps de ralentir l’action).
    Bilan : 354 voitures, 3 avions, 2 hélicoptères, 4 éoliennes, quelques humains… Et Ethan ??? mâchoire carrée et palpitante, 3 égratignures, 5 litres de sueur, 12 litres de larmes, une crise cardiaque, une résurrection : ce type est immortel.
    Au fait, c’est quoi une patte de lapin ??? Nous le saurons dans M.I. 4.
    Cerise sur le feu d’artifice, LA réplique du siècle :

    « ce type est dangereux car il est le symbole de l’embauche anti-évolutionniste » !!!???...

    Il court et des fois il tombe...

  • C.R.A.Z.Y. suite ...

    Petit lexique à usage des chanceux qui embarqueront vers C.R.A.Z.Y. Land : .

    - J’ai oublié mon sac de pot à la taverne

    (j’ai oublié mon shit au bistrot).

    - Manger des graines

    (tailler une pipe).

    - T’es pas parlable

    (on ne peut pas te parler).

    - Système de son

    (chaîne hi-fi).

    - Ça se peux-tu !

    (tu le crois pas)...

     

    Please : lisez la suite ci-dessous.

  • ANTARTICA de Frank Marshall **

     

    J’avais zappé les gouingouins qui marchent, j’avais snobé les nounours… pas question de louper les toutous !

    Alors voilà : un top modèle (Paul Walker) égaré sur la banquise en tant que guide est chargé d’aider un scientifique à mener à bien sa quête du Saint Graal : retrouver une météorite extra-terrestre tombée pile poil là où personne ne va, où sévissent des machins rampants/panthères, un éternel hiver, des crevasses, des tempêtes…

    Autour du mannequin (tablettes de chocolat là où il faut, sourire ultra-brite…) s’agitent Jason Biggs (pour la caution comique) Moon Bloodgood (pour assurer la partie bluette sentimentalo-niaiseuse et prévisible) et Bruce Greenwood (avec sa tête de Président des U.S.A. ou de scientifique, on ne sait jamais s’il va jouer le rôle du méchant ou du gentil : ici, c’est pas dur, il assure les deux). Tout ce joli monde équipé de dialogues indigents et pour tout dire bébêtes (ah ah) va vivre des aventures qui ne risquent pas de nous arriver… en tout cas pas à moi !

    Reconnaissons à Paul Walker un sacré bon sens et une lucidité désarmante puisqu’il admet dans une interview : « je ne suis pas à l’aise dans le registre de l’émotion ». Bien vu mon gars, rien que pour cette clairvoyance, tu mériterais le Prix Nobel.

    Notons au passage quelques aberrations scénaristiques qui devraient mettre une scripte au chômage. Lorsque les chiens sont abandonnés (oui, c’est horrible mais les chiens sont abandonnés) c’est l’hiver. Quinze jours plus tard quand Paul/Jessy dit qu’il DOIT aller les récupérer : c’est l’hiver, normal. Trois mois plus tard, quand il voyage de bureau en bureau pour demander qui c’est ti qui pourrait l’aider à financer son voyage, on lui répond : « non, gars, pas en plein hiver, on peut pas !! ». Six mois encore plus tard… « pas question, fiston, c’est l’hiver là-bas, personne voudra t’emmener »… Etc etc… Désolée, moi ça me fait rire le comique de répétition.

    Bon passons, vous l’aurez compris la partie humanoïde de l’aventure c’est du sans plomb mais la partie canine : c’est du super !!! Et là, en avant l’épopée : ça bouge, ça déménage, c’est beau, c’est drôle, c’est émouvant, c’est surprenant, c’est triste et ça finit pas trop mal mais pas complètement. Ces chiens sont des acteurs : expressifs, attachants, cabots of course, efficaces et dès qu’ils quittent l’écran, ils nous manquent. Cette partie (la plus importante heureusement) aventure animalière en terrain hostile est une vraie réussite.

    P.S. : une scène a fait décoller la salle entière de son fauteuil !

  • CANNES

    Mai, c'est Cannes et rien d'autre !

    Quelle affiche !!!

    Et peut-être avez-vous eu l'occasion de voir la bande-annonce dans les salles : un miracle.

    Pour tout savoir au jour le jour : Sandra y sera aux premières loges (accréditation professionnelle) et nous révèlera, nous commentera, nous donnera envie et nous éblouira de ses commentaires documentés et pris sur le vif.

    A partir du 17 Mai 2006, retrouvez sur le blog de Sandra son compte-rendu quotidien en direct du festival du film de Cannes de l'ouverture à la clôture avec ses critiques de tous les films en compétition officielle mais aussi, à l'image de celui effectué sur son blog l'an passé, son récit personnel des coulisses du festival.

    Cinéphiles : c'est ici que vous cliquez http://monfestivalducinema.hautetfort.com

  • S . O . S .

    "Allo Papa Charly... Ici Delta... Papa Charly, répondez...

    PC ??? répondez. Pas de salles obscures en vue.

    PC ??? transmettez !!!

    Maydé... Maydé...

    M

         a

              y

                   d

                        é !!!..."