LE JOUR OÙ JE SUIS TOMBÉE AMOUREUSE POUR TOUJOURS DE
LE CAMERAMAN de Edward Sedwick et Buster Keaton *****
Festival International du Premier Film d'Annonay 2011
Ciné-Concert en partenariat avec "La Presqu'Île", salle de spectacles d'Annonay. L'accordéoniste hors pair et cinéphile passionné Marc Perrone a posé sa musique inventive sur ce chef d'oeuvre du cinéma muet.
Luke est photographe dans les rues de New-York. Lors d'une bousculade il aperçoit Sally. Il la prend en photo et en tombe instantanément amoureux ou l'inverse. La jeune fille travaille dans une société qui réalise des films documentaires. Elle encourage Luke à s'acheter une caméra et à postuler auprès de la compagnie. Luke va réaliser un reportage dans Chinatown puis lors d'une régate. Il va dans un premier temps égarer la bobine, puis la retrouver. Il sera la risée des autres reporters professionnels avant de gagner ses galons de cameraman et de finir au bras de la belle.
Ce qui compte ici n'est pas tant où le personnage se rend et souhaite aller mais la façon dont il s'y prend pour y parvenir. C'est tout simplement GENIAL, et le mot ici n'est pas employé de manière abusive comme souvent. Tout, absolument TOUT ce que fait Buster Keaton tient du génie. Chaque scène, le moindre de ses déplacements est un gag, une occasion de hurler de rire tant ce qu'il réalise tient souvent de la prouesse même s'il ne s'agit que de descendre ou de monter un escalier. Toutes les scènes de ce film sont « anthologiques » et voir ce petit bonhomme évoluer avec souplesse et énergie tient du miracle. C'est constamment inventif, prodigieux, délirant. Luke/Buster, par sa finesse et ses astuces s'impose face aux malabars qui convoitent sa belle. La scène de la piscine est un moment désopilant comme il est rarement donné d'en voir au cinéma.
Le timing comique délirant de Buster Keaton, la virtuosité inventive de Marc Perrone ont rendu cette soirée de qualité exceptionnelle absolument inoubliable.
Ma connection quelque peu hésitante et chaotique du jour m'empêche de vous en dire plus et de joindre à ces quelques mots photos et vidéos que j'avais réalisées... mais je n'ai pas dit mon dernier mot !
18 heures : connection lancée à 100 à l'heure... voici la petite vidéo concotée par mes soins pour vous donner un aperçu :
Luke est photographe dans les rues de New-York. Lors d'une bousculade il aperçoit Sally. Il la prend en photo et en tombe instantanément amoureux ou l'inverse. La jeune fille travaille dans une société qui réalise des films documentaires. Elle encourage Luke à s'acheter une caméra et à postuler auprès de la compagnie. Luke va réaliser un reportage dans Chinatown puis lors d'une régate. Il va dans un premier temps égarer la bobine, puis la retrouver. Il sera la risée des autres reporters professionnels avant de gagner ses galons de cameraman et de finir au bras de la belle.
Ce qui compte ici n'est pas tant où le personnage se rend et souhaite aller mais la façon dont il s'y prend pour y parvenir. C'est tout simplement GENIAL, et le mot ici n'est pas employé de manière abusive comme souvent. Tout, absolument TOUT ce que fait Buster Keaton tient du génie. Chaque scène, le moindre de ses déplacements est un gag, une occasion de hurler de rire tant ce qu'il réalise tient souvent de la prouesse même s'il ne s'agit que de descendre ou de monter un escalier. Toutes les scènes de ce film sont « anthologiques » et voir ce petit bonhomme évoluer avec souplesse et énergie tient du miracle. C'est constamment inventif, prodigieux, délirant. Luke/Buster, par sa finesse et ses astuces s'impose face aux malabars qui convoitent sa belle. La scène de la piscine est un moment désopilant comme il est rarement donné d'en voir au cinéma.
Le timing comique délirant de Buster Keaton, la virtuosité inventive de Marc Perrone ont rendu cette soirée de qualité exceptionnelle absolument inoubliable.
Ma connection quelque peu hésitante et chaotique du jour m'empêche de vous en dire plus et de joindre à ces quelques mots photos et vidéos que j'avais réalisées... mais je n'ai pas dit mon dernier mot !
18 heures : connection lancée à 100 à l'heure... voici la petite vidéo concotée par mes soins pour vous donner un aperçu :