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  • ALBERT NOBBS de Rodrigo Garcia vs/ SHERLOCK HOLMES 2 : JEU D'OMBRES de Guy Ritchie

    Quel étrange titre êtes-vous en train de vous dire à l'intérieur de vos petites têtes interloquées !!! Je vais tout vous expliquer. Voilà deux films que j'ai vus... Enfin oui et non. Deux films en tout cas dont je ne peux pas vraiment vous parler. Vous saurez tout en lisant la suite. Pour l'un d'entre eux, j'ai un peu honte mais comme je vous dis TOUT...

    Albert Nobbs : photo Glenn Close, Rodrigo Garcia

    Durant trente années une femme s'est faite passer pour un homme pour ne pas perdre son emploi. Nous sommes au XIXème siècle en Irlande dans un hôtel très chic dirigé d'une main de fer par une grosse dame très aimable avec sa distinguée clientèle, beaucoup moins avec son personnel. Albert Nobbs est donc une femme et personne ne le sait. Il (ou elle) économise sou par sou sur ses pourboires afin de pouvoir s'offrir une petite boutique. Et il (ou elle) se met en tête d'épouser une jeune soubrette qui n'a d'yeux que pour un jeunot de son âge.

    La singularité de l'objet aurait pu donner un film assez étourdissant mais très rapidement rien ne s'en dégage. Ni âme, ni mystère, ni dynamisme. Et c'est là que je vous l'avoue tout de go. Je me suis endormie mais comme jamais je ne m'étais endormie au cinéma ! La preuve, le 1er rôle masculin est tenu par Aaron Johnson, garçon que j'adore, et bien j'ai à peine eu le temps de voir qu'il arborait une jolie cicatrice sur la joue que Morphée m'avait recueillie dans ses bras moelleux. J'ai vu au générique (vous aussi vous vous réveillez toujours pendant le générique ?) qu'il y avait Jonathan Rhys Meyer garçon que j'adore, et franchement, j'en doute, je ne l'ai pas vu. Je présente mes excuses auprès des deux personnes que je ne connais pas et qui m'encadraient car il paraît que parfois j'ai le sommeil sonore.

    Que dire de Glenn Close ? Pour ce que j'en ai vu, son masque cireux est plutôt effrayant et ridicule. Sa démarche et son expression unique de terreur, pas mieux.

    Si quelqu'un veut bien me raconter le film, j'accepte.

    Sherlock Holmes 2 : Jeu d'ombres : photo Guy Ritchie

    En ce qui concerne Sherlock, c'est une toute autre histoire. Impossible de dormir de toute façon car le nombre de décibels dépasse sans nulle doute le degré de tolérance autorisé. Il ne manquerait plus que la 3D et il y aurait sans doute des syncopes durant la projection. Pendant un certain temps je dois dire que je me suis accrochée aux branches et mis tous mes neurones en état de marche pour tenter de comprendre. Rien à faire, l'énigme dépasse absolument les compétences et les limites de mon intelligence, je n'ai STRICTEMENT RIEN compris. Tout ce que je peux dire c'est que ce film est entièrement dédié, voué, consacré à la gloire du très joli garçon ci-dessus. Robert Downey Jr lâché comme un chien tout foufou dans un poulailler, ou conscient de la nébulosité du scenario a décidé d'occuper le terrain. Plus de place pour rien, ni pour une quelconque histoire dont le... réalisateur (?) semble se foutre ni surtout pour ses partenaires réduits, contraints de lui servir une soupe tiède. Le pauvre Jude Law, déjà pas terrible acteur par ailleurs est transparent et la merveilleuse Noomi Rapace fait peine à voir même si elle porte joliment le costume de gitane.

    Robert Downey Jr est le plus grand cabotin de tout hollywood et parfois c'est pas bien gentil pour les copains. Heureusement, il est très beau et très drôle !