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robert downey jr

  • AVENGERS : L'ÈRE D'ULTRON de Joss Whedon *(*)

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    Synopsis : Alors que Tony Stark tente de relancer un programme de maintien de la paix jusque-là suspendu, les choses tournent mal et les super-héros Iron Man, Captain America, Thor, Hulk, Black Widow et Hawkeye vont devoir à nouveau unir leurs forces pour combattre le plus puissant de leurs adversaires : le terrible Ultron, un être technologique terrifiant qui s’est juré d’éradiquer l’espèce humaine.

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  • LE JUGE de David Dobkin **(*)

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    Henry Palmer est un avocat de renom qui ne s'embarrasse pas de moralité. L'essentiel pour lui est de gagner. Lorsque sa maman meurt, il se rend contraint et forcé dans la petite ville où il est né et retrouve son père qu'il n'a pas vu depuis 20 ans pour cause d'incompatibilité d'humeur et de moralité, et ses deux frères dont il n'est pas plus proche.

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  • IRON MAN 3 de Shane Black **(*)

    Iron Man 3 : Affiche

    Il paraît que le synopsis c'est ça : "Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?"

    Je veux bien, mais en fait on s'en fiche un peu. De l'histoire je veux dire. Que d'ailleurs le synopsis n'évoque même pas. Pourtant, il y  a deux super méchants. Un type autoproclamé LE Mandarin au look Ben Laden qui est en route pour détruire la planète à petits feux... à coups d'attentats perpétrés sur des innocents. Et un scientifique autrefois évincé par Tony Stark qui ne l'a pas pris au sérieux et qui revient 15 ans plus tard avec des arguments (Guy Pearce, très très méchant, ce que sa puissante mâchoire laissait supposer). Et puis Pepper Potts vit avec Iron Man. Ils ont une maison... oumpf la maison !!! Mais Iron/Tony ne parvient plus à dormir. Il bricole non stop dans son atelier high tech et il a de super méga grosses crises d'angoisse et Robert simule super bien les crises d'angoisse !

    Je me souviens que le second opus (pour ne pas dire épisode qui ferait trop cheap pour un blog aussi distingué) était décevant. Celui-ci me semble être le meilleur des trois. Pourquoi ? Parce que. La réponse est dans le nom de l'acteur. Non, la réponse c'est le nom de l'acteur. Non, la réponse C'EST L'ACTEUR : ROBERT DOWNEY Jr. Ce type est exceptionnel et si vous ne l'appréciez pas : fuyez en sens inverse pauvres fous ! Car c'est un festival. Lancé en mode "je fais ce que je veux", il lâche les chevaux. Si tant est qu'il les ait retenus un jour ! Drôle, sexy, élégant, amoureux, angoissé, découragé, agacé, désespéré... l'acteur n'a pas besoin de partenaire pour faire le show car il s'adresse souvent à une machine, et qu'il est un effet spécial à lui tout seul. Néanmoins, les trop rares échanges avec sa moitié Gwyneth sont les moments les plus charmants du film. On peut donc être Iron Man et être complètement à côté de la plaque au point d'offrir des fraises à sa chérie qui y est allergique... entre autre balourdise. Et puis, rarement il aura été donné de voir un super héros aussi vulnérable qui se trompe, se fait capturer, prend des bûches et s'écrabouille comme une lavette !

    Cela dit on se demande pourquoi le réalisateur a mis dans les pattes d'Iron un moutard aussi singe savant qu'exaspérant, forcément sans papa et délaissé par sa môman. Y'a vraiment des baffes qui se perdent.
    On pourrait également se demander ce que sa Majesté Ben Kingley vient faire ici en cruel Ben Laden mais on finit par le comprendre... et l'acteur se fend d'une grande performance...

    Quant à Robert/Tony-Iron, il rend cette troisième aventure hilarante et irrésistible.

  • ALBERT NOBBS de Rodrigo Garcia vs/ SHERLOCK HOLMES 2 : JEU D'OMBRES de Guy Ritchie

    Quel étrange titre êtes-vous en train de vous dire à l'intérieur de vos petites têtes interloquées !!! Je vais tout vous expliquer. Voilà deux films que j'ai vus... Enfin oui et non. Deux films en tout cas dont je ne peux pas vraiment vous parler. Vous saurez tout en lisant la suite. Pour l'un d'entre eux, j'ai un peu honte mais comme je vous dis TOUT...

    Albert Nobbs : photo Glenn Close, Rodrigo Garcia

    Durant trente années une femme s'est faite passer pour un homme pour ne pas perdre son emploi. Nous sommes au XIXème siècle en Irlande dans un hôtel très chic dirigé d'une main de fer par une grosse dame très aimable avec sa distinguée clientèle, beaucoup moins avec son personnel. Albert Nobbs est donc une femme et personne ne le sait. Il (ou elle) économise sou par sou sur ses pourboires afin de pouvoir s'offrir une petite boutique. Et il (ou elle) se met en tête d'épouser une jeune soubrette qui n'a d'yeux que pour un jeunot de son âge.

    La singularité de l'objet aurait pu donner un film assez étourdissant mais très rapidement rien ne s'en dégage. Ni âme, ni mystère, ni dynamisme. Et c'est là que je vous l'avoue tout de go. Je me suis endormie mais comme jamais je ne m'étais endormie au cinéma ! La preuve, le 1er rôle masculin est tenu par Aaron Johnson, garçon que j'adore, et bien j'ai à peine eu le temps de voir qu'il arborait une jolie cicatrice sur la joue que Morphée m'avait recueillie dans ses bras moelleux. J'ai vu au générique (vous aussi vous vous réveillez toujours pendant le générique ?) qu'il y avait Jonathan Rhys Meyer garçon que j'adore, et franchement, j'en doute, je ne l'ai pas vu. Je présente mes excuses auprès des deux personnes que je ne connais pas et qui m'encadraient car il paraît que parfois j'ai le sommeil sonore.

    Que dire de Glenn Close ? Pour ce que j'en ai vu, son masque cireux est plutôt effrayant et ridicule. Sa démarche et son expression unique de terreur, pas mieux.

    Si quelqu'un veut bien me raconter le film, j'accepte.

    Sherlock Holmes 2 : Jeu d'ombres : photo Guy Ritchie

    En ce qui concerne Sherlock, c'est une toute autre histoire. Impossible de dormir de toute façon car le nombre de décibels dépasse sans nulle doute le degré de tolérance autorisé. Il ne manquerait plus que la 3D et il y aurait sans doute des syncopes durant la projection. Pendant un certain temps je dois dire que je me suis accrochée aux branches et mis tous mes neurones en état de marche pour tenter de comprendre. Rien à faire, l'énigme dépasse absolument les compétences et les limites de mon intelligence, je n'ai STRICTEMENT RIEN compris. Tout ce que je peux dire c'est que ce film est entièrement dédié, voué, consacré à la gloire du très joli garçon ci-dessus. Robert Downey Jr lâché comme un chien tout foufou dans un poulailler, ou conscient de la nébulosité du scenario a décidé d'occuper le terrain. Plus de place pour rien, ni pour une quelconque histoire dont le... réalisateur (?) semble se foutre ni surtout pour ses partenaires réduits, contraints de lui servir une soupe tiède. Le pauvre Jude Law, déjà pas terrible acteur par ailleurs est transparent et la merveilleuse Noomi Rapace fait peine à voir même si elle porte joliment le costume de gitane.

    Robert Downey Jr est le plus grand cabotin de tout hollywood et parfois c'est pas bien gentil pour les copains. Heureusement, il est très beau et très drôle !

  • IRON MAN 2 de Joel Favreau **

    Iron Man 2

    Iron Man 2 

    Iron Man 2

    J'aime les super héros. Même pas honte. L'amour ça ne s'explique pas, heureusement. Mais je dois vous avouer, qu'un super héros, j'en ai un à la maison. Voici la preuve en images :

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    alors parfois il faut que j'aille comparer, vérifier sur l'échelle de richter des super où il se situe. C'est humain. Mais il faut bien que je vous l'avoue, ce film, il sert à rien, mais à rien du tout, du tout. On dirait une grosse boursouflure du premier. Comme s'il était resté des bobines et qu'on nous les montrait maintenant pour nous faire patienter jusqu'à Iron Man 3 qui va déchirer. Donc là, Tony Stark va mal, je veux pas vous faire peur, mais il est mourant. Son bidule qu'il a dans son sternum fume et rouille et du coup son sang est tout contaminé à plein de pourcentages toxiques mais il le dit à personne. Il préfère faire sa déprime tout seul et filer les clés de Tony Stark enterpraïse à Pepper qui devient calife à la place du calife. Elle aime bien, elle dit merci et elle passe son temps à être désagréable au téléphone comme un homme, un vrai.

    Tony/Iron a d'autres soucis. L'armée voudrait pouvoir utiliser sa super armure à des fins que la morale réprouve mais lui il veut pas vendre. Il dit sans rire "J'ai privatisé la paix mondiale". Fuck zi army. Trop fort, trop drôle, trop Iron. Il ne veut pas non plus que sa super invention tombe en de mauvaises mains. Sauf que trop tard, un gros vilain russe qui a une tête et tout le reste de Westler vient lui couper sa voiture de course en deux avec de grands fouets en fer qui font des étincelles et tout. En plus il a une nouvelle secrétaire belle et mince comme Scarlett Johansonn qui lui fait des yeux comme ça mais il s'en fiche un peu, il préfère les Gwyneth. Mais c'est pas tout, Sam Rockwell veut construire des armures brillantes sans mettre des hommes dedans. C'est trop un méchant mais beau, donc ça va qui a un peu forcé sur l'autobronzant. Il est orange. J'ai compris le truc, les hommes bleu sont gentils, les hommes orange méchants.

    Bon on comprend rien, ça n'a ni queue ni tête, il y a beaucoup trop de combats de ferrailles qui s'entrechoquent. Samuel L. Jackson ne sait plus quoi faire pour se ridiculiser mais moi je ne suis pas venue là pour les accessoires. Je suis là pour voir du Robert Downey Jr. Ce type là est un grand malade. Je ne connais pas d'autre acteur qui cabotine avec autant de génie. Il faut voir la première scène et son arrivée de rock star sur scène pour le croire. Et après il nous sort toute sa panoplie de Robert Downey, les clins d'oeil, les sourires fatigués, l'air de chien battu, le bagout infernal et les muscles et l'humour aussi.

    Robert Downey Jr, je l'aime d'amour, basta.

  • SHERLOCK HOLMES de Guy Ritchie ***

    Sherlock HolmesSherlock Holmes

    En attendant la soirée de clôture qui ne va pas tarder à arriver, je suis allée voir ce que faisait "mon" Robert dans le rôle de Sherlock. On peut dire qu'il le dépoussière lestement et qu'il n'en reste que la pipe et le violon. Et c'est tant mieux.

    Ce film est formidable, il démarre pied au plancher, ne rate aucun virage et ne se plante pas dans le premier platane. Il est tape à l'oeil, bruyant, survolté et évidemment, je me suis fichue éperdument de l'enquête mystico-ésotérique car ce qui compte (pour moi) c'est Robert/Sherlock. Il est en roue libre, déchaîné, cabotin comme jamais, complètement clown... en un mot, il est lui-même !

    Les sublimes décors d'un Londres humide dont le fameux Pont est en constuction et les savoureux dialogues, parfois délicats ou guindés mais toujours chargés d'humour et de sous-entendus font le reste.

    La relation d'amitié/amoureuse qui unit Sherlock à son cher Watson, les oeillades qu'ils se lancent, les allusions à leur vie commune sont un régal. Jude Law et Robert Downey Jr forment un couple idéal, parfait.

    Sherlock Holmes

  • Le soliste de Joe Wright***

    Le SolisteLe SolisteLe SolisteLe Soliste

    Steve Lopez traverse une mauvaise passe. Le journal pour lequel il travaille, le Los Angeles Times, est en perte de vitesse. Sa patronne n’est autre que son ex femme bien qu'il n’ait toujours pas compris les raisons de leur séparation. Il ne parvient pas à communiquer avec son fils parti loin pour ses études. Des ratons laveurs envahissent son jardin. Cerise confite sur le clafoutis, il se plante en vélo, se retrouve un bref temps à l’hôpital et en ressort le visage complètement boursouflé et couturé.

    Alors qu’il est attiré par des notes de musique dans la rue, il fait la connaissance de Nathaniel SDF un peu dérangé qui joue du violon sur deux cordes. En panne de sujet pour la rédaction d’un article, Steve se sert de Nathaniel pour raconter son histoire pas banale. Peu à peu, les deux hommes vont se lier d’une amitié inattendue qui va bouleverser leurs vies.

    Loin de la success story hollywoodienne parfaitement prévisible, ce film s’éloigne progressivement du chemin balisé, attendu ou redouté du mélo à fort pouvoir lacrymal estampillé « histoire vraie », pour finir par s’en écarter définitivement. Et c’est tant mieux. Car si l’émotion n’est pas absente ici, notamment dans les dernières minutes absolument vibrantes, à aucun moment le récit n’est encombré par une quelconque emphase. Le réalisateur évite aussi toute leçon de morale et se débarrasse, je dirai même qu’il anéantit radicalement le prêchi prêcha religieux qui encombre si souvent les films. Joe Wright réussit un film pétri d’humanité où il est question d’une amitié qui s’insinue tout en douceur dans le cœur de deux hommes que tout semble opposer sauf l’émotion et l’exaltation intenses que leur procure la musique et plus précisément la musique de Beethoven.

    Mais pas seulement, il réalise un film profondément social en abordant un sujet d’autant plus inattendu qu’il se situe à Los Angeles : la place des SDF dans la cité des anges où naissent et meurent les rêves de gloire. On sait peu que le nombre de sans abri y est effarant et qu’il y existe une véritable cour des miracles peuplée de laisser pour compte, de malades, de vagabonds… et aussi d’un surdoué tel que Nathaniel. On savait déjà que Joe Wright « responsable » d’un plan séquence extravagant et admirable dans son bouleversant « Reviens-moi » était capable du meilleur. Il le confirme en évitant tous les pièges et en filmant des scènes musicales dans les endroits les plus improbables tels un parking souterrain, un pont sous un échangeur d’autoroutes.

    Il aborde également le thème de la schizophrénie, cette maladie infernale qui vous impose des voix dans la tête et vous rend totalement inadapté au monde qui vous entoure. Il prouve aussi que la "normalité" n'est pas une notion si simple. Qu'il ne suffit pas de vouloir le bonheur ou seulement le bien de ceux qu'on aime pour leur apporter. Comment savoir ce qui est bon pour l'autre d'ailleurs ?

    Dans le rôle parfaitement casse gueule du génie méconnu, entre schizophrénie et autisme, Jamie Foxx, contrairement à ce que j’ai lu ici et là, reste sobre et touchant.

    Quant à Robert Downey Jr, s’il cabotine toujours, reconnaissons qu’il le fait avec génie comme l’un des plus grands acteurs américain actuel qu’il est (c’est MON avis). Mais comme délivré de son éternelle (et jouissive) ironie habituelle, il fait preuve de beaucoup d’aisance et d’inspiration dans les scènes d'émotion.

    En un mot, il est PARFAIT.

    Je le répète, les dernières minutes frémissantes, laissent le cœur battant au rythme du triple concerto pour violon et violoncelle de Beethoven, rappellent et confirment le pouvoir mystérieux et miraculeux de la musique, sur ceux qui la font comme sur ceux qui l’écoutent.

    Le Soliste

  • Des places de cinéma à gagner pour LE SOLISTE

    Grâce à Mathieu de Studio Canal, je peux vous offrir 5 X 2 places pour

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    de Joe Wright avec Robert (je t'aime d'amour) Downey Jr et Jamie Foxx qui sort le 23 décembre.
    Voici les règles du jeu :

    1) trouvez LE TITRE EXACT D'UN FILM dont j'ai extrait un morceau d'affiche (le plus malin peut aussi me dire quel est le point commun entre tous ces films mais il n'aura rien de plus que mon admiration...),

    2) donnez votre réponse ICI dans les commentaires (si votre message ne s'affiche pas immédiatement comme cela arrive parfois... il me parviendra avec son heure d'arrivée donc, je saurai qui a donné la bonne réponse en premier),

    3) ne donnez qu'un titre dont vous êtes absolument certains, car je n'accepterai qu'UNE SEULE BONNE RÉPONSE à la fois par personne (même si vous en donnez deux qui sont bonnes, je ne les accepterai pas, UNE c'est UNE...). Par contre, si et seulement si (pas avant) je vous ai dit dans les commentaires que votre réponse est fausse, vous pouvez retenter votre chance en faisant une autre proposition (et toujours une seule à la fois),

    4) lorsque j'aurai annoncé le nom des gagnants (PAS AVANT), ils pourront me donner leur adresse à uupascale@gmail.com pour que les places leur parviennent.

    5) lorsque les 5 gagnants auront été révélés, vous pourrez continuer à trouver les réponses restantes.

    Non, parfait. Bon amusement.

    LES GAGNANTS SONT : Ed, pipelette 07, Michèle, Mailis2003 et Marine.

    ET GLOIRE A MISTER QUI ARRIVE A PAS DE LOUP, NE JOUE QUE POUR ELLE (la gloire) ET TROUVE DES REPONSES QUE JE NE VOIS PAS. IL A DONC TROUVE QUE LE POINT COMMUN EST MON CHER WOLFGANG ADORé.

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    BARRY LYNDON - Marine
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    AMADEUS - Michèle
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    LA FLÛTE ENCHANTEE de Kenneth Brannagh - pipelette 07
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    LA FLÛTE ENCHANTEE de Ingmar Bergman - sternelle
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    OUT OF AFRICA - MISTER LOUP
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    DON GIOVANNI - Ed
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    L'ACCOMPAGNATRICE - Mailis2003
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    EYES WIDE SHUT -
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    LA MAITRESSE DU LIEUTENANT FRANCAIS - MISTER LOUP
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    THE BARBER - Jordane

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    Synopsis : Steve Lopez est dans une impasse. Le journal pour lequel il travaille est en pleine crise, son mariage est un échec, et le temps où il aimait son métier de journaliste est bien loin. Et puis un jour, dans la rue, il entend de la musique. Un étrange vagabond, Nathaniel Ayers, joue de toute son âme, et même si son violon n'a que deux cordes, une émotion unique surgit. Pour Steve, l'étonnant violoniste est d'abord un bon sujet pour sa chronique, et il va peu à peu percevoir tout le mystère qui entoure ce personnage. Le journaliste décide de sortir Ayers de la rue et de le rendre au monde de la musique. Alors qu'il s'acharne à sauver la vie de ce sans-abri hors norme, Steve Lopez se rend peu à peu compte que c'est finalement Ayers qui, à travers sa passion dévorante, son obstination à rester libre et ses tentatives courageuses pour nouer des liens avec les autres, va profondément le changer...