Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Luigi Comencini

8 Juin 1916 - 6 Avril 2007

Architecte de formation, Luigi Comencini s'intéresse tout d'abord au patrimoine du cinéma italien, participant à un programme de conservation des films (dont il est par ailleurs un grand collectionneur), avant de devenir scénariste, et assistant réalisateur. Il s'essaie ensuite à la réalisation avec quelques courts métrages. En 1948, il met en scène son premier long une fiction intitulée « Des nouveaux hommes sont nés ». En 1954 son film "Pane, Amore e Fantasia" remporte l'Ours 'Argent au Festival de Berlin". En 1966, « L’incompreso » ramène le cinéaste sur le terrain des rapports père-fils, présenté à Canens, le film est malmené par la critique, avant de prendre sa revanche quelques années plus tard.

Il est le père des réalisatrices Cristina Comencini (dont le film « La bête dans le cœur » est actuellement à l’affiche) et Francesca Comencini (son film « A casa nostra » est actuellement à l’affiche), et de la costumière et décoratrice, Paola Comencini.

Retrouvez toute la filmographie de Comencini, ici.

 

Commentaires

  • J'ai arrosé la Place de la Nation et le Cours de Vincennes en sortant de l'Incompris en 1976... Aujourd'hui, je suis moins bouleversée, mais triste quand même.

  • Moi, faute de place de la Nation à proximité, c'est ma chambre que j'ai failli inonder après avoir vu ce film à la télévision, une vingtaine d'années plus tard.
    Mais à propos d'incompréhension, une chose m'échappe : les médias ont annoncé la mort de Comencini le vendredi saint, mais ils ont oublié d'annoncer sa résurrection le dimanche suivant. L'actualité, avec les élections, était trop chargée peut-être... Pourtant, une petite dépêche, du genre "Rassurez-vous, Luigi Comencini est toujours bien vivant et à 90 ans, il se porte comme un charme", cela n'aurait pas été long.
    Merci à la taulière d'avoir pensé à lui rendre ce petit hommage.

  • Ed. : pauvre Dada !

    Pépin : Tu sais ce qu'elle te dit la taulière ???
    Enlève ta barbe, arrête de te cacher dans tes collines, on t'a pas oublié, on t'a reconnu !!!

  • Et pour Stuart Rosenberg, t'a pensé à réciter un chapelet mécréant !!! C'est quand même un peu à cause de lui que je suis amoureuse de Paul Newman (bon, ce qu'il est reste, d'accord...).

Les commentaires sont fermés.