Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Monde de Narnia - Prince Caspian de Andrew Andamson ***

 

Le Monde de Narnia : chapitre 2 - Prince Caspian - Georgie Henley, William Moseley, Ben Barnes, Anna Popplewell et Skandar Keynes
Le Monde de Narnia : chapitre 2 - Prince Caspian - Skandar Keynes, William Moseley, Ben Barnes, Anna Popplewell et Peter Dinklage

Les Telmarins sont un peuple d’humains qui a exterminé le Monde de Narnia. Le trône du jeune Prince Caspian a été usurpé par son oncle le tyrannique Miraz. Victime d’une tentative d’attentat, le Prince est obligé de fuir. Il se réfugie dans la forêt magique où il découvre que tous les narniens n’ont pas disparu. En soufflant dans une corne magique, le Prince fait revenir les quatre rois et reines qui s’étiolent en Angleterre depuis qu’ils sont repartis dans leur monde… Tous unis ils partent à la recherche d’Aslan, le puissant lion afin de combattre les telmarins.

Bon, comme ça, ça a l’air compliqué, mais c’est limpide et le réalisateur est assez malin pour remettre progressivement en mémoire tranquillement tout ce qui s’est passé lors des mille ans qui se sont écoulés, mine de rien et sans faire un résumé lénifiant. Donc, que vous n’ayez jamais plus entendu parler de Narnia depuis un an, que vous n’ayez pas lu les chroniques dont les films sont tirés, c’est sans problème que vous pourrez suivre ces nouvelles aventures. Elles démarrent sur les chapeaux de roue illico presto et ne vous lâchent plus pendant plus de deux heures qui passent à la vitesse du grand huit (ça ne veut rien dire mais c’est la nouvelle expression familio-estivale donc je vous en fais profiter, ne me remerciez pas c’est cadeau bonux).  

Donc, je disais, rien ne manque, et même plus, tout y est : les nains, les reines blanches qu’on croyait mortes, les elfes, les centaures, les animaux qui parlent, les licornes, les aigles qui volent (ah non, ça c’est normal !), les créatures fantastiques, les sortilèges, les méchants très méchants, les combats homériques, les balrogs (heu, non pas de balrog, pardon), les dragons, les sorcières… Les quatre moutards qui se la pètent et qui sauvent le monde sont très très chouettes, le Prince du titre est très joli. Ça rappelle le Seigneur… mais sans l’envie de partir vivre en Comté. Ce spectacle épatant et trépidant est formidable de 7 à 77 ans, et puis visuellement il tient plus que bien la route, que du bonheur comme ils disent... pas question de le bouder !

Commentaires

  • Faut qu'ADMV trouve quelqu'un pour y aller, parce que moi, m'était ennuyée au premier, j'ai pas trop envie. Mais j'imagine que pour les adeptes de ce genre, c'est du lourd.

  • Je l'ai trouvé meilleur que le premier, mais il est vrai que j'adore l'heroïc fantasy mizote alors ! Cela dit certains films sont complètement ratés, moches et ennuyeux comme "Eragorn" par exemple... tout le contraire de celui-ci.

  • Je vois que je ne suis pas la seule à avoir aimé ce film (j'avais presque eu honte de l'apprécier) ! Beaucoup mieux que le premier en effet car beaucoup plus crédible.

  • Bin ça alors...
    Tellement détesté le premier (2h30 de vide cosmique) que je n'ai pas eu la force de m'infliger ça. Pourtant, tu dois commencer à savoir que je vais voir vraiment n'importe quoi. Question : combien de litres de rouge faut-il avoir absorbé pour supporter la fadeur des quatre héros, la laideur de la mise en scène et la cucuterie de l'histoire ? Hein ? Comment ça je sors ?

  • Marine La Bretonne : faut jamais avoir honte ! Mais c'est vrai qu'il est mieux que le premier.

    Rob : je t'échange sans plier les genoux deux Narnia contre un seul "Ma vie, mes amours"... et pourtant j'adore Lindon et Elbé !!! Mais puisqu'on te dit qu'il est mieux que le premier !!! Quant à la fadeur des quatre héros : pas d'accord ! Pour une fois qu'on n'a pas droit à un casting de premier de la classe, top modèle et têtes à claques... Moi, je suis partante pour le troisième.
    Quant à te dire que tu vas voir n'importe quoi : jamais de la vie ! On ne peut jamais vraiment savoir tant qu'on n'a pas vu : Et il y a de bonnes surprises parfois non ?

Les commentaires sont fermés.