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TERMINATOR GENISYS d'Alan Taylor **

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Synopsis : Le leader de la résistance John Connor envoie le sergent Kyle Reese dans le passé pour protéger sa mère, Sarah Connor et préserver l'avenir de l’humanité. Des événements inattendus provoquent une fracture temporelle et Sarah et Kyle se retrouvent dans une nouvelle version du passé. Ils y découvrent un allié inattendu : le Guardian. Ensemble, ils doivent faire face à un nouvel ennemi. La menace a changé de visage.

Voilà, 30 ans après le premier Terminator de James Cameron tellement encensé par la critique et le public que le vilain T800 est par la suite devenu un gentil qui renaît de ses boulons : Alan Taylor reprend les mêmes et recommence tout à zéro. Why not ?  Mais il garde Schwarzie, et là, tant mieux. Un Terminator sans Arnold : next. Ce serait comme un Spiderman sans Tobey Maguire, ils oseraient quand même pas ! vade retro Andrew Garfield t'es moche comme un pou en plus de jouer comme une patate, et à cause de ta sale tronche je vais plus voir les Spider.


C'est donc tout pareil ou presque. Nous sommes en 2029, l'holocauste nucléaire a bien eu lieu en 1997 et les survivants continuent de se battre contre les machines. L'homme a presque réussi à mettre fin à son espèce, mais pas tout à fait : John Connor (le fils de Sarah Connor) et Kyle Reese (le père de John... mais ils ne le savent pas) veillent et luttent. Et ne peuvent finalement arriver à leur fin : la paix, qu'en faisant des allers retours entre passéS et futurS.

 

Excepté quelques réflexions qu'il faut pêcher à la sauvette, sur les dangers de l'hyper-connexion (Skynet c'est le mal), ce nouvel épisode est surtout l'occasion d'une surenchère de scènes très très mouvementées, d'effets spéciaux en pagaïe (on finit par ne plus en pouvoir que les T1000, plus forts que les T800 puisqu'ils peuvent prendre l'apparence de n'importe quel humain, renaissent de leur métal liquide, même si c'est un bonheur de voir le sublime Byung-hun Lee revenir, revenir, revenir)... oulala que cette phrase est longue, je considère qu'elle est finie !

 

Sinon, l'humour de Schwarzy, papy Terminator aux cheveux gris, "vieux, pas obsolète", son sourire flippant, son combat contre lui-même 30 ans plus jeune, tronche en physique quantique, incollable sur les phénomènes abscons des voyages spatio-temporels et sa tendre association avec une Sarah Connor toute jeunette mais déjà combattante, valent le voyage.

 

Même si j'avoue que Jai Courtney en Kyle Reese ça le fait pas du tout. Le pauvre bouh qu'il est vilain avec ses frisettes, sa patate au bout du pif, est aussi sexy est séduisant qu'une friteuse. Michael Biehn était beaucoup plus choupinou. Quant aux sauts dans le temps 1997, 2029, 2013, 1973... j'ai parfois dû faire une mise au point mentale assez fatigante pour reconnecter les morceaux et les personnages... lorsque parfois le fils devient plus vieux que ses parents... ou que la mère rencontre son fils enfant alors qu'elle ne l'a pas encore conçu ou qu'il est censé avoir 30 ans. Chaud les marrons !


Mais sinon, ça va, c'est cool.

Commentaires

  • Bon, j'irai pas parce que j'ai manqué trop d'épisodes.
    Mais si tu es larguée par les paradoxes temporels, je te conseille les saisons 5 et 6 de Doctor Who, ça soigne bien.
    J'aime bien les effets spéciaux en pagaïe :-)

  • Oh la la me fais pas baver avec tes séries.
    Doctor Who j'ai vu....

    ZERO EPISODE !!!

    ça fait peu, ça fait guère.

  • ataguiz, mais vraiment ça reconnecte les synapses quant aux histoires de voyage dans le temps.
    Ou alors peut-être que Terminator Genisys est juste bordélique et que c'est normal d'être paumé.

  • Y'a TROP de séries.
    Et elles sont TROP longues.
    J'ai bien vu mon addiction à Walt Heisenberg... je n'en suis pas encore remise et je dors avec lui toutes les nuits (c'est mon Tich( pyj').

    Quant à Terminator, il est bordélique je crois.

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