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Benjamin Gates et le Livre des Secrets

  • Benjamin Gates et le Livre des Secrets de Jon Turteltaub*

    Benjamin Gates et le Livre des Secrets - Nicolas Cage

    L’arrière arrière arrière (et peut-être encore une fois arrière) grand-père de Benjamin Gates (Nicolas Cage marrant comme un bidet !) est soupçonné d’avoir été impliqué dans l’assassinat d’Abraham Lincoln. Vous autres de Lefrincoucke sur Sambre, vous vous rendez sûrement pas compte mais c'est un président cher au cœur des américains.

    Benji doit et veut venger l’honneur perdu de papy et pour cela il doit reconstituer le mystère de la page manquante !!!

    Les aventures de cet Indiana Jones du pauvre se passe en ville : New-York (mais pas trop), Washington, Paris (au cas où vous ne le sauriez pas, la statue de la Liberté est au jardin du Luxembourg) et Londres. On voyage donc un peu et on se marre bien même si le comique de ce film est involontaire, enfin je crois. De toute façon ce n’est pas grave, les acteurs étant assez intelligents pour avoir décidé de faire comme si… en ne se prenant pas au sérieux une seconde. Devant tant d’incongruité et d’invraisemblance on ne peut évidemment que se marrer. Benjamin Gates et ses acolytes (papa, maman, fiancée et copain) mettent moins de temps à décrypter, déchiffrer, analyser et comprendre des indices alacon qu’il n’en faut pour dire « Da Vinci Code ». Il faut reconnaître que parler l’amérindien, le hiéroglyphe couramment, ça aide. Et les potes à Ben ils savent tous faire ça, sans plier les genoux. Mais c’est pas ça le plus comique de l’affaire. Figurez-vous qu’il y a un machin hyper méga plus important dans le Bureau Ovale. Vous saviez vous que c'était "le bureau du résolu" ? Pas moi. Et puis,  bande de béotiens, vous vous dites, ‘tain visiter le bureau du Président sans qu’il y ait personne : c’est pas facile. Détrompez-vous, mais je ne vous dis pas tout, c’est sexuel !!! Ensuite, pour en savoir encore plus, il suffit d’enlever le Président… Fastoche aussi ! Moi j’avais envie de lui dire à Benji « flingue l’otage pendant que tu y es, ça nous débarrassera le plancher d’une belle engeance ». Tu parles le Président, c’est Bruce Greenwood, et avec son sourire à la JFK t’as tout sauf envie de le flinguer. En plus, au début, il fait genre celui qu’est vénèr qu’on l’a enlevé… et puis, il se souvient qu’il a fait des études d’archéologie. Ça tombe pile poil et du coup les histoires à Benji ça le passionne et du coup encore, il lui donne tous les codes pour aller chiper des trucs à la Bibliothèque du Congrès. De toute façon comme les gens qui travaillent là-bas regardent toujours ailleurs, y’a pas de lézard, tu y entres comme dans un moulin, mais avoir les codes, ça aide aussi. Bon, sinon ajoutez comme tirelipimpom sur le chihuahua Harvey Keitel en agent du FBI à qui on a fini de la faire et Ed Harris en méchant pas si méchant que ça… et la température monte d’un cran non ??? Ah oui, ça se termine au Mont Ruhsmore, mais pas de panique c’est pas du Hitchcock pour autant mais c’est beau quand même et puis sous le mont y’a une cité en or massif… Et là, fou rire terminal, on dirait un machin en carton peint en doré : c’est hyper moche mais heureusement le réalisateur l’a vu et il casse tout avant le générique. C’est le décorateur qui a dû se prendre un sacré fumant, moi je dis. Mais j’en sais rien ! De toute façon, no panic, j'ai beau me creuser le ciboulot, j'ai pas l'impression qu'on nous ait donné le résultat du mystère de la page 47... Alors il y aura une suite !

    Vivement eul vinte !