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arthur et les minimoys -

  • Arthur et les Minimoys de Luc Besson***

     

     

    Arthur 10 ans vit avec sa grand-mère dans une ferme qui semble tout droit sortie du « Magicien d’Oz ». Un promoteur véreux veut acquérir la maison et le jardin pour y construire des immeubles bétonnés. Arthur a 36 heures pour venir en aide à sa grand-mère. Pour cela il doit rejoindre le monde fantastique des Minimoys, créatures minuscules qui vivent sous le jardin et récupérer le trésor que son grand-père y a caché avant de disparaître mystérieusement.

    Je ne peux faire l’impasse sur le premier quart d’heure particulièrement éprouvant où on se dit : « oulala, dans quelle galère me suis-je embarqué ? ». Si les décors et l’environnement d’Arthur sont magnifiques, la « performance » de Mia Farrow, ridicule et monstrueuse, atteint des niveaux d’exaspération rarement atteints au cinéma !!!

    Dès qu’on plonge dans l’univers des Minimoys : tout s’arrange, pour le meilleur. Luc Besson a dû prendre tout le plaisir qu’il fallait pour enfin pouvoir créer un monde à sa démesure dans lequel il peut assumer sa naïveté et le fait de refuser de grandir. Les trouvailles, les rebondissements et les aventures se renouvellent en permanence et c’est un enchantement ininterrompu. Le personnage (délicieux) de la Princesse Selenia est un mix de Nikita, Leeloo et Jeanne d’Arc, guerrière sensible, boudeuse et amoureuse !

    Les références cinéphiles pleuvent en cascade : « Le Seigneur des Anneaux », « La fièvre du Samedi soir », « Pulp fiction »…

    Quant au « message », on ne peut l’ignorer : sauvegarde de l’environnement.

    Cerise sur le clafoutis, le casting de voix est un régal : Mylène Farmer, Alain Bashung, Marc Lavoine, Sergio Castellito, Stomy Bugsy, Dick Rivers, José Garcia…

    Allez-y, accompagnés ou pas d’un « Mini » !