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Mr Brooks de Bruce A. Evans *

Mr. Brooks - Kevin Costner

Mr Brooks est un homme heureux. Il est un riche homme d’affaires, maniaque de la propreté et marié à une gourde décervelée qui (entre deux séances de body building) a deux rêves dans la vie : avoir un chienchien et devenir grand mère. Quand sa fille de 17/18 ans (un nouveau clone de Keyra Knighley… au secours !!! faites qu’elle ne soit pas repérée…) lui annonce qu’elle est enceinte, elle pleure (de joie) et promet d’élever le bébé comme le sien. Ça promet. Mr Brooks aime à la folie ces deux idiotes.

Néanmoins, il a besoin régulièrement d’un orgasme qu’il ne peut obtenir qu’en tuant des gens. Ce qu'on peut comprendre (la compassion, c'est bien) quand on connaît sa femme et sa fille. Cette addiction (il fréquente les A.A.A. : « Bonjour je m’appelle Earl et je suis addict… ») est entretenue par son Géminy Cricket (William Hurt, grotesque) qui lui mène la vie dure alors qu’il voudrait raccrocher.

Par ailleurs, la personne  chargée de découvrir l’auteur des meurtres en série est une fliquette (Demi Moore s’acharnant comme toujours a anéantir toute féminité en elle)  multi millionnaire en instance d’un divorce glauque à souhait est poursuivie par un serial killer (un autre) barbare qu’elle a fait coffrer mais qui s’est évadé de prison et qui entend bien lui faire payer cher. Il y a aussi un photographe aussi con qu’antipathique qui a surpris un meurtre et souhaite faire chanter (plus ou moins) Mr Brooks mais ce serait trop long à expliquer !

La grande question du film est : est-ce que les déviances (psychiatriques, sexuelles etc…) sont solubles dans la génétique ; en d’autres termes est-ce qu’un enfant de serial killer devient serial killer ? La réponse est OUI !!! Je vous laisse quelques surprises.

Donc, c’est clair, pas une seconde de répit ni d’ennuie pendant ce polar-thriller où il n’est pas interdit de sourire tant les ficelles sont colossales. La bonne surprise vient de Kevin Costner (oui, j’aime aussi cet acteur que j’ai hâte de revoir) qui s’est obstiné à interpréter des rôles de gentil alors qu’il est un tordu, psychopathe de première. Le voir prendre son pied quand il tue quelqu’un est un régal. D’ailleurs, je trouve qu’il ne tue pas assez à mon goût !

Commentaires

  • Ah oui... je l'ai vu aussi.
    Les comportements déviants déterminés par la génétique. ça rappelle beaucoup de choses. On devrait peut être même les rechercher à la maternelle.
    Bon ... Hurt et Moore sont pitoyables.
    Et Costner... (mais qu'il retourne danser avec les loups) dans sa scène d'orgasme post murder implore la pitié.

    Alors... pitié !
    Même pas une étoile. Une bulle pointée.

  • Les vacances n'ont pas été à la hauteur de tes attentes Doc ? T'as l'air faché ??? :-)

  • [bonjour, je m'appelle Agla, et j'ai arrêté… d'arrêter]

    bé ! vu comme ça, ça donne envie d'aller tuer son voisin plutôt que d'aller au ciné.

    je file.
    il vient de rentrer.

  • Mauvaise nouvelle !
    Mauvaise nouvelle !
    Mauvaise nouvelle !

  • Vu le message contenu dans ce film, on va encore nous imposer de le montrer à nos élèves !

    En tous cas ce qui me plait, c'est que plus tu détestes un film, plus tu es drôle. Je souhaite donc que tu croises encore plein de films nazes.

  • Tu es mon meilleur public... Je m'inflige ce genre de films pour te faire rire, tu le sais !

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