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Duplicity de Tony Gilroy **

Duplicity - Paul Giamatti et Tom WilkinsonDuplicity - Julia Roberts et Clive OwenDuplicity - Clive Owen

Claire est agent de la CIA (prononcez « si aie hé », ça le fait) et Ray, agent du MI6 (dites « aime aïe sixe », that will do). Ils se rencontrent à Dubaï lors d’une mission chabadabadaboum et avant qu’il n’ait le temps de lui prouver son amour, Ray finit saucissonné (drogué) par la belle qui lui vole les secrets cachés dans sa chaussette. MDR.

Les deux tourtereaux se retrouvent, (hasard ou coïncidence ?) se font des yeux de crapauds morts d’amour en se balançant des vacheries, Claire ôte son string, Ray sa chemise, craque boum hue , ils démissionnent et montent un coup qui devraient les mettre à l’abri du besoin pour le reste de leurs jours et leur permettre de se compter fleurette les pieds dans l’eau !

L’arnaque, on s’en bat l’œil, il s’agit de piquer la formule d’un produit pharmatico capillaire révolutionnaire et ainsi prendre de vitesse deux maousses multinationales costaudes qui se tirent la bourre sans concession. Mais ce qui compte vraiment c’est le duo de charme qui sévit à l’écran et dégaine ses répliques cousues bouches plus vite qu’ils n’enlèvent le bas et grâce à leurs mines d’innocents, on ne sait jamais qui dit vrai et qui ment ! C’est un régal pour l’oreille mais aussi pour les yeux. Julia Roberts très en formes (y’a une justice, je vous le dis, Julia Roberts a des bourrelets… et le cheum qui m’accompagnait a dit élégamment « elle n’a jamais si bien porté son nom… ») mais en petite forme (voyez ce que je veux dire !) est associé à Clive Owen qui alterne les mines déconfites, réjouies… tout frais, un peu idiot parfois, un petit air « canaille » craquantissime et fou d’amour comme jamais est sexissime même quand il a sa chemise.

Ça va vite, on voyage beaucoup, il y a du soleil (et peu de nanas)… la scène d’ouverture avec Tom Wilkinson et Paul Giamatti (les deux patrons) est le top model des scènes de cinéma au ralenti : HILARANTE et la fin que l’on sent arriver comme un gros patapouf est déconcertamment bien envoyée…

Vite vu, vite oublié mais réjouissant !

Commentaires

  • C'est pas un petit bourrelet qu'on aperçoit sur la photo de Clive d'ailleurs ?

  • ça s'appelle pas un bourrelet ! Je l'expliquerai quand tu seras grande !

  • Oh lalala l'esprit mal tourné, moi qui suis si prude...

  • Bé oui Marine, ça s'appelle des Robertsssse.

  • Je viens de m'apercevoir que c'est des bourrelets du Clive que vous parliez. Pas de ceux de la Julia.
    Je me suis grillé tout seul.
    Si ma femme passe par là, elle va me faire une scène comme quoi j'ai l'impression rétinienne sélective. Damned.

  • hervé : Marine parlait DU bourrelet de Clive pas des excroissances de Djoulia !

  • Minute décodage du jour :
    - JE parlais du petit ventre pas très plat de Clive
    - Pascale a enchaîné sur son excroissance naturelle et m'a choquée pour plusieurs années (en même temps, sans toi j'aurais oublié de regarder + bas)
    - Hervé est resté vissé sur la Robertssssss

    Quelle bande d'obsédés...

  • Ben va voir le film... tu verras le Clive torse poils et si tu trouves un poil de gras, tu me fais signes... par contre ces fuckings plans américains ça descend pas plus bas que la ceinture !!!
    Mais cette coupe de pantalon, ça lui va pas trop en fait. Je le verrais bien dans un ptit jean à la James Bond !

  • Première expérience cinéma aux Etats-Unis pour ce film que j'ai trouvé fort sympathique.
    Je ne suis pas un grand fan de Julia (même si, je le reconnais, c'est une bonne actrice, c'est plutôt physiquement que ça ne passe pas - et là, j'ai été gâté, depuis qu'elle s'est prise une porte dans la lèvre supérieure, elle est encore plus horrible !) et je ne connaissais pas très bien Clive (même si j'avais vu Sin City et La Mémoire dans la peau) mais j'ai bien aimé leur duo.

    De plus, le scénario n'est pas trop mauvais (un peu tiré par les cheveux mais bon, on est à Hollywood, on y croit) et la fin assez surprenante !

    Le charme anglais est effectivement une bonne force de frappe, j'adore la scène dans le bar où Clive aborde Barbara et se fait passer pour Georges Clooney :)

    A voir en effet, c'est un bon moment de divertissement avec des répliques sympathiques et un double jeu de la part des deux qui nous enchante !

  • LOL, le roman
    Désolé :s

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