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timothy oliphant

  • ONCE UPON A TIME... IN HOLLYWOOD

    de Quentin Tarantino ****

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    Avec Leonardo DiCaprio, Brad Pitt, Margot Robbie, Emile Hirsh, Margaret Qualley, Timothy Oliphant, Austin Butler, Don Johnson, Al Pacino, Kurt Russel, Damian Lewis, Dakota Fanning, Bruce Dern... et les autres que je salue.

    Synopsis : En 1969, la star de télévision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carrières au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus. 

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  • THE CRAZIES de Breck Eisner **

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    Les habitants d'une petite ville tazunienne deviennent des crazy tueurs les uns après les autres. Le shérif marié à une femme enceinte de 3 heures (j'ai calculé approximativement, on n'est pas à une heure près, compte tenu de la minceur de la dame ! c'est quoi RadHa ton régime?) et son adjoint vont essayer de comprendre le pourquoi du comment. Mais l'armée intervient et met la ville en quarantaine. Oulala !
    Ce film est le remake d'un film de 1973 "La nuit des fous vivants" de George A. Romero grand spécialiste des zombies, morts vivants, qu'évidemment je n'ai pas vu parce qu'il y a peu (je dirais une semaine) que j'arrive à me faire peur au cinéma.  Ce film en est donc un avec beaucoup de sang, de plaies, de morts à l'intérieur et quelques survivants inside. Les vilains sont d'une part les "infectés" qui ne sont pas des zombies quoiqu'ils réagissent un peu au ralenti, surtout quand ils s'approchent des acteurs principaux et c'est tant mieux parce que sinon il n'y aurait pas de film... d'autre part l'armée qui va intervenir casquée, bottée, très armée et ne pas hésiter à tirer sur tout ce qui bouge. Ce qui me semble t'il est une vraie rareté car ce sont souvent les affreux et les survivants qui s'entre bouffent mais là, l'autorisation, que dis-je les ordres du gouvernement de tirer sur des civils (non contaminés) fait un peu froid dans le dos. Par ailleurs, la terre n'a pas été dévastée par une catastrophe naturelle, surnaturelle ou bactériologique mais garde au contraire toute sa beauté parfois sauvage, et la campagne profonde américaine est vraiment bien belle (et magnifiquement éclairée). Je vous laisse le soin de découvrir d'où provient la meurtrière épidémie et le sort réservé à tous ceux qui s'approche d'un peu trop près de la ville interdite.
    Evidemment, il y a des passages obligés que manifestement on retrouve dans tous les films de ce genre et notamment une série de "jump care" en cascade absolument indénombrable dans la première partie... qu'au bout d'un moment on se demande même, quand va t'il falloir sursauter au son d'un ampli poussé à 24 plutôt que de se demander qui va surgir après le coup de cymbale retentissant. J'avoue même qu'au bout d'un moment j'ai annoncé fièrement à Jules : "t'ô vu Jules ? même plus je sursôte !"
    Evidemment je n'ai pas beaucoup de références inside moi-même (même si j'ai vu récemment d'autres "Infectés") pour vous dire ce qui rend ce film fréquentable mais je dirais qu'il n'y a pas une fin optmiste avec un chien sauvé des eaux, que j'ai fait la connaissance de deux velus qui mériteraient de figurer en bonne place ici-même (Joe Anderson et Timothy Oliphant) et qu'un champignon atomique c'est très joli...
    Sinon j'ai lu cette critique et franchement j'espère qu'un jour je serai aussi intelligente : "The Crazies souffre d'avoir évacué tout iconoclasme politique et social au profit d'une frontalité spectaculaire mais vide d'enjeux".