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Là-haut de Pete Docter et Bob Peterson ***.

 Bob Peterson, Pete Docter dans Là-haut (Photo) Bob Peterson, Pete Docter dans Là-haut (Photo) Bob Peterson, Pete Docter dans Là-haut (Photo) Bob Peterson, Pete Docter dans Là-haut (Photo)

 Bob Peterson, Pete Docter dans Là-haut (Photo)

Carl est un rêveur fasciné depuis son enfance par un explorateur dont il suit les exploits aux "actualités" du cinéma Tout jeune, il rencontre Ellie, une fillette très délurée et mignonne comme tout. Seule la mort pourrait les séparer. Les années passent, Carl épouse Ellie et lui promet, croix de bois, croix de fer, de l’emmener en haut des chutes spectaculaires qui les font rêver depuis toujours. Ils économisent toute leur vie et à cause de tous les aléas qui empêchent parfois que la vie tourne rond et de réaliser ses projets… Ellie mourra avant que ce rêve ait pu se concrétiser.

Carl est inconsolable et décide de faire le voyage seul. Pour s’échapper de son quotidien brisé et solitaire, il accroche des centaines de ballons multicolores et sa maison s’envole. Sans le savoir, il embarque Russell avec lui, un petit scout rondouillard de 9 ans.

Ensemble, ils vont vivre de multiples, dangereuses, trépidantes ou drôlatiques aventures, rencontrer des animaux étranges un peu couillons, d’autres plus malins, des gentils et des méchants. Carl va même croiser le héros de son enfance au milieu de nulle part.

Beaucoup moins inventif que le merveilleux  Wall-E mais cent fois mieux que Coraline, le moment venu (sortie de ce film le 29 juillet) si vous ne devez choisir qu’un film d’animation et emmener vos enfants, choisissez celui-là car il peut à la fois ravir les petits et plaire aux plus grands.

Vives, énergiques et bouillonnantes, on ne s’ennuie pas une seconde pendant les aventures de Carl et Russell. Les couleurs éclatantes, les décors fabuleux font pétiller les yeux. La première partie, quasi muette et plutôt réaliste, n’élude pas les petites misères et gros chagrins qui parcourent une vie d’homme. Quant à la seconde, menée tambour battant et virevoltante, elle fait la part belle aux péripéties et au danger. Ajoutez à cela pas mal d’humour et le personnage du petit Russell vraiment craquant et vous ne résisterez plus.

On peut aussi s'amuser à trouver quelques beaux et sages messages/conseils : l'amour, l'amitié, les sentiments sont plus précieux et essentiels que les biens matériels.

 

Ne vous impatientez pas, je vous parlerai demain de la soirée "Allociné"...

Commentaires

  • Bon alors ? ça vient oui !

  • Et avec plein de belles photos comme on aime à en voir souvent sur ce site j'espère...

  • Oh my gode ! it's trou ! Je compatissions as usual...

  • J'y suis allé avec Lily et sa reum,
    J'ai adoré, les 10 premières minutes sont excellentes, dommage pour la dernière demi-heure qui a fait pleurer 5, 6 mioches dans la salle à cause du son un peu fort des scènes de poursuites... j'ai trouver ça trop "méchants pas jolis contre gentils fleur bleue"... mouarf !
    Sinon, Doug est excellent...ecureuil !!!... trouvé le nom Kévin au "taboo", ingénieux... et Carl et Russell sont bien tordant.

    C'est fou ce qu'une gosse de 5 ans peut bouger son derche en 1h30 sur son siège !!!

  • Ben dis donc tu fais une cure de rattrapage.
    Elle a toujours gigoté la Lily, c'est pas le cinoche qui va la calmer !

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