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LOCK OUT de James Mather et Stephen St. Leger **

Lock Out : photo Guy Pearce, James Mather, Stephen St. LegerLock Out : photo Guy Pearce, James Mather, Stephen St. Leger

En 2079 aux Etats-Unis les criminels sont placés dans un sommeil artificiel dans une prison spatiale. La fille du Président se rend sur place pour s'assurer des conditions humaines de détention. Alors qu'elle interroge un détenu remis en état de veille, il parvient à se libérer et prend la fille en otage. Les services secrets envoient sur place un de leurs meilleurs agents, Snow (il faut rester jusqu'à la toute fin pour connaître son prénom...) accusé d'un meurtre (qu'il n'a pas commis) et qui a le choix entre ramener la fille du Président ou croupir en zonzon. S'ajoute à ce bousin bruyant, agité et méchamment burné la recherche d'une malette mystérieusement disparue dans le premier quart d'heure.

Autant le dire, ce film bourrin enflé à la testostérone où les réalisateurs (ils se sont mis à deux !!) cassent tous leurs jouets ne sert strictement à rien et on ne sort ni grandi ni transformé de la salle. Mais il faut reconnaître que l'humour, l'ironie et l'énergie de Guy Pearce se chargent du spectacle. La toute première scène, survoltée et hilarante laisse présager du meilleur. Hélas, ni le rythme ni le scénario ne tiennent les promesses. Cela dit, la bande de furieux complètement tarés n'hésitent pas à tirer dans le tas sans sommation et Guy Pearce prend des beignes, fait des chutes et se relève toujours avec le sourire sans presque une égratignure. Il aurait été judicieux de lui octroyer une comparse féminine un peu moins fadouille.

Ah oui, l'acteur qui joue le Président est à mourir de rire. Rarement, en l'absence de Gérard Butler, il est donné de voir un si mauvais acteur !

Commentaires

  • Hum§ Comment dire? je passe mon tour!

  • On peut.

  • son prénom c'est White ?
    mouarf
    je suis trop lolesque moi quand je renifle les vacances de près

  • J'adore Guy Pearce (j'ai même vu son film avec Nicolas Cage en début d'année :c'est dire!) mais le seul moyen de supporter ce film c'est de se dire que c'est une parodie de Los Angeles 1999 de John Carpenter sinon c'est très mauvais

  • Fred : ton humour est un festival de feu d'artifice !
    Mais non il ne se prénomine pas White.

    caro : alors disons cela.

  • son prénom c marion

  • :-)

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