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ZULU de Jérôme Salle *

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Synopsis : Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc,

pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.

Pas grand chose à dire... ça commence plutôt bien et on pense que l'on va se trouver devant un polar efficace, sombre et violent sur fond d'apartheid.

Hélas, on finit par se désintéresser assez rapidement de ce qui se passe sur l'écran et de se foutre comme d'une guigne de qui a massacré les jeunes filles... Et les scènes s'enchaînent sans véritable propos. Les thèmes forts : l'apartheid, l'invention d'une drogue destinée à faire disparaître tous les noirs de la surface de l'Afrique du Sud sont à peine effleuréset pouf... disparaîssent.

Le réalisateur se concentre plutôt sur les problèmes personnels de ses deux flics dont on a pas grand chose à faire. Le noir et ses ennuis de zizi. Le blanc et son gros problème avec l'alcool et... son zizi aussi. Sans parler des rapports étranges du flic blanc avec son fils. Pourquoi le cloue-t'il au mur prêt à le frapper ??? On n'en aura pas l'explication. Quant à ses soucis avec son ex (actrice bien bien moche) remariée à un richissime dentiste : on s'en cogne tout autant.

Et lorsque l'étau de l'enquête se resserre autour des deux enquêteurs... ils lâchent les chiens et ça devient vraiment n'importe quoi.

Forest Whitaker comme chaque fois qu'il n'est pas dirigé semble absent. Quant à Legolas, euh... Orlando Bloom, il est méconnaissable, il a poussé de la fonte et alors ?
Il paraît que le livre éponyme de Caryl Férey dont est tiré le film et qui fut un best-seller est beaucoup plus subtil.

Cela dit, l'Afrique du Sud est bien belle...

Commentaires

  • "Il a poussé de la fonte" j'aurai au moins appris une expression aujourd'hui .. et je me réserverai plutôt le bouquin à la bibli.

  • Oui il paraît qu'il est très bien.

  • On a trouvé que l'intérêt principal du film était de voir Orlando à poil. Sinon j'ai adoré le réalisateur qui nous a sorti « je ne voulais pas être complaisant avec la violence, je n’aime pas qu’on m’en impose en général » ah ?!

  • Oui bon, Orlando à poil... mais bon un alcoolo... beurcke.
    AH oui, il faut pas lui imposer de la violence, pauvre chou. Il oublie qu'il demande à son acteur de se jeter tête première dans une fenêtre !!! J'en ris encore !

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