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10ème F.E.F.F.S. - PALMARES et CLÔTURE

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LONGS-MÉTRAGES - Compétition Internationale

Prix décernés par Vincent Lannoo, Joyce A. Nashawati et Billy O’Brien


Octopus d’Or : Double Date
de Benjamin Barfoot (pas vu)

 

Méliès d’Argent : Laissez bronzer les cadavres
de Hélène Cattet et Bruno Forzani (pas vu)

 

Mention Spéciale : Terra e Luz (Earth and Light)
de Renné Franca (vu)

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Prix du Public : Dave made a maze
de Bill Watterson (vu)

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Compétition Crossovers

Prix décernés par Estelle Nothoff et David Scherer

 

Prix du Jury : Bitch
de Marianne Palka (vu)

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COURTS-MÉTRAGES

Prix décernés par Frédéric Burgun, Michaël Gojon-Dit-Martin, Michel Woch

Octopus d'Or : Fucking Bunnies
de Teemu Niukkanen (vu)

 

Méliès d'Argent : The Absence of Eddy Table
de Rune Spaans (pas vu)

 

Mention Spéciale : Mouse
de Céline Held et Logan George (vu)

 

Prix du Jury - Catégorie Made in France : Animal
de Jules Janaud & Fabrice Le Nézet (vu)

 

Prix du Jury - Catégorie Animation

The Absence of Eddy Table
de Rune Spaans (pas vu)

 

Mention Spéciale - Catégorie Animation : Pussy
de Renata Gasiorowska (pas vu)

 

Prix du Jury Jeune : Expire
de Magali Magistry (vu)

 

Prix du Public : The Robbery
de Jim Cummings (vu)

 

Le Festival est heureux d'annoncer que pour ses 10 ans, il a battu son record avec une fréquentation globale de 32 000 personnes.

Le Festival est fier d’avoir accueilli plus de 16 000 spectateurs aux projections, toutes sections confondues.

Les évènements organisés pendant ces 10 jours de festivité ont rassemblé plus de 2000 personnes.

Les projections évènementielles ont attiré plus de 2 000 spectateurs : 1 300 pour Indiana Jones : les Aventuriers de l’Arche Perdue, 350 lors du drive in avec Christine et 250 au bassin d’Austerlitz pour Les Dents de la Mer 2 (malgré la pluie et le froid !)

Pour la 2ème année, le Musée Alsacien a été investi avec plus de 3 000 visiteurs dont 200 à la Nuit des Sorcières et 400 à la Nuit Fantastique.

Les deux expositions de cette année, une consacrée à Laurent Melki et l’autre à Star Wars ont attiré plus de 3 500 passionnés.

Le Village Fantastique, véritable lieu de convivialité, a vu passer plus de 3 000 personnes.

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La soirée de clôture s'est déroulée en présence de William Friedkin (French Connection, Cruising, Police fédérale Los Angeles, The sorcerer, l'Exorciste, Bug, Killer Joe etc...) et c'était un bien agréable moment.

William Friedkin a été de ceux qui ont su influer le virage du cinéma américain dans les années 70, qui ont participé à son renouveau, à sa redéfinition. Formé à l’école du documentaire, le cinéaste natif de Chicago a su proposer une nouvelle vision du cinéma, plus directe, plus réaliste ; jusqu’à faire de chacune de ses œuvres précoces un évènement. Dans French Connection, il offre un regard brut et naturaliste sur le métier de flic dans le New York des années 70. Dans L’Exorciste, il terrifie le monde entier en dévoilant une foi impuissante face à la possession d’une enfant. Sorcerer, dont on a souvent dit qu’il sonnait le glas d’une période bénie dans le cinéma américain, est une œuvre virtuose et désespérée qui témoigne, une fois encore, d’un anti-manichéisme forcené. William Friedkin a traversé les époques et les polémiques, s’est essayé au polar, au fantastique ou au film à thèse. Mais son œuvre ne s’est jamais départie de son insolence et de sa fougue. Sa dernière œuvre de fiction en date, Killer Joe, est ainsi un récit aussi minimaliste que sauvage. Il témoigne de la jeunesse, sans cesse renouvelée, d’un réalisateur qui avait pourtant su marquer, dès ses débuts, l’histoire du 7e art.

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Le film de clôture :

TRAGEDY GIRLS de Tyler Macintyre **

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Au fin fond de l’Amérique, la police traite des meurtres en série comme des morts accidentelles. Deux lycéennes journalistes connaissent la vérité. Avides de gloire sur Tumblr et Twitter, il leur en faut bien plus ! Les voilà donc parties à commettre des meurtres si atroces que personne ne pourrait plus les considérer comme des accidents. Elles attrapent même le tueur en série, en qui elles espèrent trouver un maître pour perfectionner leur technique. Tragedy Girls est un portrait satirique des médias sociaux friands de scandale et de la jeunesse abrutie qui y traîne. Mais c’est aussi une comédie d’horreur décapante et enjouée, mettant en scène de rafraîchissantes héroïnes comme on n’en avait plus vu depuis longtemps. Ravissantes, ingénieuses et délicieusement sociopathes – @TragedyGirls.

Dommage que le non-sens répétitif et systématique, un final copié/collé sur Carrie de Bryan de Palma ainsi que les minauderies des deux très agaçantes actrices aient fini par me lasser car cette histoire avait du potentiel et finir un festival de film fantastique dans un éclat de rire était plutôt une bonne idée.

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