Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GEOSTORM

de Dean Devlin *

5958933_jpg-r_1280_720-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

Avec Gerard Butler, Jim Sturgess, Abbie Cornish, Andy Garcia, Ed Harris, Alexandra Maria Lara

Synopsis : Grâce à une coopération sans précédent entre États, un réseau de satellites contrôle désormais le climat et protège les populations. Jusqu'à ce que le dispositif se dérègle… S'agit-il d'un complot ou d'une faille dans le système ? S'engage alors une véritable course contre la montre…

Et pour sauver l'humanité, on envoie une équipe d'acteurs de seconde zone, Gerard MDR Butler dans l'espace, pendant que son frère Jim Sturgess reste au sol pour lui dire quoi faire. Les deux frères sont devenus ennemis depuis que le cadet a viré l'aîné alors que ce dernier est le créateur de... mince j'ai oublié le nom... enfin, le truc qui permet à la terre de tourner rond sans tsunami ni tremblement de terre ! Mais lorsqu'un village au fin fond de la canicule afghane (50 ° à l'ombre) gèle en plein désert, que les trottoirs de Tokyo sont si brûlants qu'un œuf malencontreusement tombé d'un sac à provisions cuit en 2 secondes... Ed Harris plisse le front et retourne à Cap Canaveral.

C'est donc un film catastrophe comme on en a déjà vu 1 000. Pourquoi j'y vais ? Je ne sais pas, mon côté sadique j'imagine. Pas grand chose à sauver de celui-ci. C'est totalement patapouf et invraisemblable mais il y a de jolies images de grandes catastrophes. Le réalisateur, bien pessimiste, ne se donne même pas la peine de placer son histoire dans un futur lointain, elle commence en 2019... et ce n'est pas le zouave du Pont de l'Alma qui a les pieds dans l'eau mais la Tour Eiffel. C'est dire, si ça va mal. A Dubaï comme à Rio, à Hong Kong comme en Inde, les immeubles s'effondrent les uns sur les autres comme lors du Domino's Day. Mais Gerard Butler enfile sa combinaison et s'en va rejoindre en apesanteur la station spatiale qui jusque là veillait au grain.

On y croit !

Il y rejoint une astronaute en chef allemande en la personne de cette splendeur d'Alexandra Maria Lara. Il lui fait quelques sourires compatissants. Il faut dire que la pauvre hérite d'un rôle catastrophique qui sert à rien. Dans sa jolie combinaison verte, cheveux au vent, elle caracole d'une salle à l'autre en donnant des ordres. Le réalisateur ne la met pas dans le lit de Gerard. Il faut dire que dans l'espace : on ne dort pas monsieur. Et pourtant Ute Fassbinder (le nom d'Alexandra Maria Lara...) lui dit plusieurs fois : "c'est là que j'habite". Mais le lourdaud ne comprend pas l'invite.

Pendant ce temps là a Vera Cruz... le Président prend des airs pénétrés pour montrer son inquiétude sur le dérèglement climatique. Mais le Président c'est Andy Garcia. Et là, je ne sais pas comment vous dire, mais Andy Garcia, il m'a toujours rendu meuh meuh, surtout depuis ça et aussi ça. Les garçons avec une coquetterie dans l'œil, je ne résiste pas.

Bon, je ne vous dis pas si Gégé et sa gueule en coin sauvent la planète. Je suis pas le genre à spoiler. Mais le film se termine sur un message d'espoir d'une simplicité sans nom mais fort émouvant, trop sensible que je suis !

Commentaires

  • J'aime bien le sadisme, mais de là à virer masochiste... Non, je n'irais pas voir ce film. Pire, il a une note d'espoir, tu m'as convaincu, non c'est non, et même si je suis genre bon client pour des séances de sado-masochisme...

  • J'ai bien vu l’affiche, et je me suis que j'aimais bien les films catastrophe mais à lecture de ton avis, je passe mon tour car je n'aime pas les MAUVAIS films catastrophe :)

  • Tu connais de BONS films catastrophes ?
    Je suis allergique à Gérard Butler, ça ne doit pas aider :-)

Écrire un commentaire

Optionnel