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EQUALIZER 2 d'Antoine Fuqua (DVD)

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Sony Pictures France propose le coffret Equalizer 1 & 2 en DVD, Blu-Ray, Blu-Ray 4K Ultra HD, et VOD depuis le 17 décembre. Pour les amateurs d'action et les fans de Denzel Washinghton, c'est l'idéal.

J'ai reçu le DVD dans le cadre de DVDtrafic. Sur le site de Cinétrafic, vous pourrez également trouver tous les bons films de 2019 et ce que proposera le cinéma américain l'année prochaine.
 
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Avec Denzel Washington, Pedro Pascal, Bill Pullman, Melissa Leo
 
Synopsis : Robert McCall continue de servir la justice au nom des exploités et des opprimés. Mais jusqu’où est-il prêt à aller lorsque cela touche quelqu’un qu’il aime ?

Après Equalizer 1  j'étais très friande de revoir Denzel chalouper de dos. Voir ce type marcher est un spectacle ! Mais pas seulement. Robert McCall est de retour et répond toujours présent pour défendre les opprimés de la terre, avec des méthodes dont lui seul a le secret. Le film est loin d'être déshonorant mais il faut quand même reconnaître que s'il tient aussi bien la route c'est grâce à son acteur principal.

La première scène, très efficace n'est qu'un prétexte pour nous remettre en mémoire les talents de Mc Call et nous prouver qu'il est capable de prendre le train et quitter sa zone de confort, Boston, pour voler au secours d'une petite fille...

Dès sa mission accomplie et de retour chez lui, on retrouve Bob toujours inconsolable de la perte de sa moitié. Il attaque le dernier des 100 livres qu'il faut avoir lus avant de mourir. Je suis assez fière contente, je n'ai pas encore compté, mais j'en ai lus un sacré paquet moi aussi. Mais pour défendre les opprimés, je ne suis pas armée.

Bob a jadis été agent de la CIA et il est devenu une sorte de chauffeur de taxi qui entre en empathie avec tous ses clients et ne supporte ni l'injustice ni qu'on fasse du mal à autrui. Dès qu'il sent qu'il peut défendre la veuve, l'orphelin, la jeune fille violée ou la gamine enlevée, il lâche son Proust et va expliquer aux mal comprenants le sens de la vie. Je rêverais d'avoir un Robert McCall à ma disposition parce que parfois, j'ai vraiment l'impression de mal me faire comprendre. Reconnaissons quand même que les méthodes ne sont pas des plus pacifistes mais Bob laisse parfois une chance à son interlocuteur d'éviter la baston voire pire. Il peut aussi se montrer très délicat : "tu es droitier ou gaucher ?" et laisser en bon état la main la plus utilisée.

Bob est facilement irritable quand il flaire l'injustice mais lorsqu'on s'attaque à ses proches, je ne vous dis pas dans quel état ça le met. Et justement, sa meilleure amie va passer un sale quart d'heure...

Denzel fait mieux que le job entre nonchalance et ultra violence (j'ai dû fermer les yeux plusieurs fois). Il ne se contente pas de jouer les redresseurs de torts, il tente également de remettre dans le droit chemin un jeune black qui est en train de se laisser tenter par les gangs et l'argent facile.

C'est manichéen en diable, la scène finale, prévisible, est trop longue, trop diluée et s'éternise mais cela reste du bon divertissement à l'intrigue parfois alambiquée mais qui se laisse apprécier sans ennui. Et c'est déjà un point positif.

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Les suppléments se regardent aussi avec intérêt. On comprend que le réalisateur et le scénariste ont voulu creuser le personnage de Denzel Washington, le rendre plus humain en éclairant son passé.

On comprend à quel point Denzel a dû s'entraîner pour ce rôle très physique. Les deux scènes phare, celle du train et celle de l'ouragan final sont décortiquées. Et on découvre une équipe qui s'amuse avec les effets spéciaux et les machines infernales qui créent l'ouragan.

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