Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

paul newman

  • NEWMAN - KUBRICK - MONRO

    CE SOIR, TOUS SUR ARTE à partir de 20 h 55.

    la tour infernale,john guillermin,irwin allen,paul newman,steve mcqueen,kubrick par kubrick,grégori monro,grégory monro

    Retrouvez ou dévouvrez La Tour Infernale de John Guillermin et Irwin Allen avec Paul Newman, Steve McQueen, William Holden, Faye Dunaway, Fred Astaire, Susan Blakely, Richard Chamberlain, Jennifer Jones, Robert Vaughn, Robert Wagner,

    l'histoire politique de quelques bourgeois coincés dans les étages d'une tour dont les étages inférieurs sont en feu et secourus par quelques prolos pompiers.

    Lire la suite

  • Paul Newman

    Redire qu’il était mon acteur préféré n’a aucune importance, c’est pourtant le cas alors forcément la sensation est étrange alors que je rêvais encore d’une ultime rencontre avec son ami Robert Redford pour ce projet de western écolo… Je vous renvoie à tous vos journaux qui ne manqueront pas de détailler quel homme bien il fut, en plus de l’acteur exceptionnel au sommet d’une carrière de 55 années.

    people : Paul Newman et Robert Redford

     Il avait de solides convictions démocrates, il a joué un rôle important dans le Mouvement pour les droits civiques, participé à certaines campagnes du Parti démocrate et pris part à des conférences pour le désarmement nucléaire. Il se fichait éperdument d’Hollywood et avait même brûlé son smoking car les mondanités le mettaient mal à l’aise. Il avait cependant reçu trois Oscars, un pour l’ensemble de sa carrière en 1986, un autre comme meilleur acteur pour « La couleur de l’argent », de Martin Scorsese, l’année suivante, et un dernier, en 1994, au titre de ses actions humanitaires. Il était en effet fortement engagé dans des activités caritatives, et sa société de produits alimentaires «Newman’s own», qui fabrique entre autres des sauces reverse 100 % de ses bénéfices à des œuvres, faisant de lui l’un des philanthropes les plus généreux de son pays.

    Il formait en outre depuis 1958 avec l’actrice Johanne Woodward l’un des couples les plus célèbres et solides d’Hollywood.

    people : Paul Newman et Joanne Woodward

    Je ne peux que saluer l’excellent choix de France Télévision qui nous offre de revoir ce soir sur France 2 « La couleur de l’argent » de Martin Scorsese et mardi prochain « L’Arnaque » de George Roy Hill sur France 3.

    Je sens que vous brûlez de savoir quel était mon film préféré… Question insoluble. Disons que j’ai un gros faible pour « L’arnaque » mais aussi « Butch Cassidy et le Kid », son interprétation époustouflante d’Ari Ben Canaan dans « Exodus » et je revois cette scène magique du « Rideau déchiré » d’Hitchcock où en haut d’une colline il dit qu’il aime la femme qu’il aime sans pouvoir la toucher… La plupart des films qu’il a tournés sont exemplaires et même les films médiocres il les tirait vers le haut car il avait quelque chose en plus que les autres n’ont pas, une chose indéfinissable, insaisissable et unique… 

  • Paul Newman

    Rien que prononcer ce nom me donne le frisson !

    Il souhaiterait avoir pour épitaphe : « Ici repose Paul Newman mort d’un échec parce que ses yeux devinrent marrons »… Sauf que c’est en noir et blanc que je l’ai découvert et il ne s’est jamais limité pour moi à un regard ! Ceux qui suivent mon chemin savent que c’est avec Jean Marais que je devais me marier (l’histoire de ce ratage est contée dans la rubrique « Mes demi-Dieux » le 29 juin 06), mais je n’aurais jamais refusé d’aller boire un verre avec Paul Newman et plus si affinités. Il n’est peut-être d’ailleurs pas trop tard… Paul, si tu me lis !

    Quel choc fut pour moi « Billy the kid », « Marqué par la haine » et surtout « Doux oiseau de jeunesse ». Au-delà de la secousse provoquée par sa beauté, il y avait la démarche, nonchalante et désabusée, les attitudes entre mépris et douleur comme s’il avait déjà tout compris et encaissé de la vie, la voix… il mâchonnait son texte, imperturbable. Le vrai « rebel without a cause » pour moi c’est lui !

    « Luke la main froide », nouvelle secousse, a achevé de me prouver quel grand acteur hors du commun il est. Rebelle à toute forme d’autorité dans ce film, il en impose avec un côté introverti et mutique qui lui vaut finalement le respect de ses partenaires. 

    Il peut tout jouer l’amant, le rebelle, le voyou, le tourmenté, les anticonformistes. Et dans « Exodus » il ajoute la dimension de héros à son aura. Il y est un combattant de la résistance (Ari Ben Canaan) décidé à conduire 600 juifs des camps de détention de Chypre jusqu'aux frontières de la Palestine. Film sismique !

    Impossible de citer tous ses films car la carrière de Paul Newman est jalonnée de merveilles. Dans « Hombre », il donne au sacrifice ses lettres de noblesse. Plus tard, il prouvera que l’humour n’est pas incompatible avec le parcours d’un acteur hors du commun au physique admirable. « L’Arnaque » et « Butch Cassidy et le kid » en sont les preuves. Dans son film le plus récent « Les sentiers de la perdition », il compose un patriarche, cousin du « Parrain », absolument sidérant.

    J’entends au loin des échos de tournage d’une sorte de western écolo avec Robert Redford… Le rêve.

    Marié à la même femme (l’actrice Johanne Woodward) depuis près de 50 ans, engagé dans de nombreuses actions caritatives de lutte contre la drogue, l’un des plus grands, des plus exceptionnels acteurs du monde, discret et secret est un homme bien !