Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • STUDIO CINÉ LIVE : SPÉCIAL CANNES 2012

     DEUX EXEMPLAIRES DE CE NUMÉRO À GAGNER :

    1.JPG

    dans lequel vous trouverez tout ce qui fera Cannes et le Festival cette année : les petits et grands secrets de la prestation de Marion Cotillard dans le film tant attendu de Jacques Audiard De rouille et d'os, une rencontre avec Jacques Audiard avant la grande aventure cannoise,

    - les explications de David Cronenberg qui a engagé la star de Twilight Robert Pattinson pour être un golden boy dans son film Cosmopolis,

    - le business de Cannes,

    - Gilles Jacob face aux lecteurs,

    mais aussi :

    - le tournage de Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann,

    - l'interview de Ridley Scott et Michael Fassbender à propos de Prometheus,

    - et tous ceux qui font l'actu : Ryan Gosling, Alain Resnais, Leos Carax, Wes Anderson...

    Pour gagner, merci de me dire à qui appartiennent ces jolies moues.

    UNE SEULE RÉPONSE À LA FOIS PAR PERSONNE. ON NE REJOUE QUE LORSQUE J'AI VALIDÉ LA RÉPONSE.

    GAME OVER.

    1

    SEAN PENN trouvé par Fred

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma 

    2

    PENELOPE CRUZ trouvée par marion

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinéma studio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

    3

    ROMY SCHNEIDER trouvée par marion

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma 

    4

    EMMANUELLE BEART trouvé par Ph

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

    5

    ISABELLE ADJANI trouvée par jane

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma 

    6

    MEL GIBSON trouvé par marion

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

    7

    Béatrice Dalle, trouvée par Florence

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinéma studio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

    8

    BRUCE WILLIS trouvé par Baptiste

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

    9

    YVES MONTAND trouvé par Stéphane

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

    10

    DANIEL RADCLIFFE trouvé par Fréd

    studio ciné live spécial cannes,jeu cinémastudio ciné live spécial cannes,jeu cinéma

  • DARK SHADOWS de Tim Burton *

    Dark Shadows : photo Johnny DeppDark Shadows : photo Eva GreenDark Shadows : photo Johnny Depp, Michelle Pfeiffer, Tim Burton

    En 1772, pour avoir brisé le coeur d'une sublime mais cruelle sorcière, Barnabas Collins industriel chanceux en affaire comme en amour, est transformé par la jalouse en vampire et condamné à "non-vivre" enterré et enchaîné dans un cercueil. Brrrrrrrrr. Deux ans cents plus tard le cercueil est ouvert malencontreusement par des ouvriers et notre vampire assoiffé par deux siècles d'abstinence zigouille sans autre forme de procès ses libérateurs. Il s'empresse de rejoindre son domaine tout surpris de le découvrir en bien piteux état. Il y retrouve quelques-uns de ses descendants vaguement décadents et en tout cas ruinés mais tout contents de voir leur ancêtre apparaître. D'autant plus qu'il promet de leur rendre la splendeur d'antan et de faire revivre l'entreprise familiale. C'est compter sans la haine inapaisée d'Angélique (la sorcière) qui est responsable de la faillite des Collins et ne cesse de se venger d'avoir été abandonnée.

    Quel ennui, quelle mollesse, quelle nonchalance ! Alors oui, l'univers baroque, gothique, fantastique et féérique de Tim Burton est là et on ne peut nier la splendeur des décors. Mais un film ne peut se limiter à cela. Et les mésaventures de Barnabas s'étirent de façon bien monotones malgré le déploiement d'intrigues multiples et de personnages d'une fadeur exceptionnelle. Sans parler de la prestation de certains acteurs à la limite de l'amateurisme (Chloé Moretz exaspérante, Jonny Lee Miller fadasse et inutile, Jackie Earle Haley grotesque, Michelle Pfeiffer grimaçante...).

    On rit aussi et marier vampirisme et humour n'est pas commode sans tomber dans la parodie, mais je suis d'accord avec cette dame qui lit dans les bande-annonces, TOUT, absolument TOUT est montré dans la BA, les meilleurs moments et notamment ceux où l'on rit. Alors à ceux qui n'ont pas de CARTE ILLIMITEE, je recommande la bande-annonce, très bien faite, très attirante mais totalement mensongère puisque si prometteuse et vous fais ainsi économiser entre 9 et 11 euros (suivant les régions et les cinémas)

    Je ne vais donc pas m'éterniser à parler d'un film aussi décevant parce que ça me rend malade que Tim Burton dégringole ainsi avec un opus aussi misérable ! Bien sûr, il y a une scène hot entre Johnny/Barnabas (on se demandait d'ailleurs si cet acteur était encore sexué !) et Eva/Angélique, le vampire tue pour se nourrir (audacieux non ?), néanmoins rendez-nous Sweeny Todd, Sleepy Hollow, Edward, Charlie ou les Noces Funèbres ! Rendez-nous Tim Burton !
    Quid de Johnny Depp allez-vous me dire ? Peu de choses. Son maquillage, son costume, son allure sont splendides. Mais il n'est plus qu'une créature abandonnée consentante à son créateur. Et ses mimiques indignes du grand acteur qu'il m'avait semblé qu'il était. C'était quand déjà ?

    P.S. : Eva Green est sublime, vénéneuse, cruelle, belle, drôle. Vivement un GRAND rôle !

  • MAMAN de Alexandra Leclère **

    Maman : photo Josiane BalaskoMaman : photo Mathilde SeignerMaman : photo Marina Foïs

    Après s'être fait plaquer par un garçon beaucoup plus jeune qu'elle qui partageait sa vie une mère réapparaît dans la vie de ses deux filles qu'elle n'a pas vues depuis 20 ans. Les retrouvailles sont plus que grinçantes et malgré la bonne volonté des deux filles, la mère se montre déplaisante et agressive et n'a que des mots blessants à leur égard. Sandrine et Alice décident donc de kidnapper leur mère pour l'inciter à réfléchir au mal qu'elle leur a fait et continue de leur faire et la forcer à les aimer.

    Peu de surprises dans ce règlement de comptes sous tension extrême entre deux filles mal aimées et leur mère inconsciente des dégâts produits. Une chose est sûre et se confirme encore ici : TOUT est TOUJOURS la faute des mères. Point. Beaucoup de choses sont dites, dont certaines particulièrement bien senties. Mais on n'échappe pas à la caricature. Alice n'a jamais réussi à avoir d'enfant et s'est faite avorter à de nombreuses reprises par peur de reproduire le comportement maternel. Sandrine par contre a deux enfants mais n'a jamais réussi à "garder" un homme ni même à aimer. Son coeur est sec et dur.

    On a surtout ici l'occasion de voir trois actrices particulièrement bien choisies pour leur propension et leur aptitude à être grognons et irascibles. Les trois font merveille dans ce registre et chacune a à son tour son moment de bravoure explosif mais aussi quelques occasions de faire vibrer l'émotion. Je suis balaskophile sans condition. Marina Foïs joue les petits oiseaux perdus à la perfection et laisse exploser sa rage au moment où l'on s'y attend le moins. Et la bonne surprise vient également de Mathilde Seigner sombre et amère.

    Dommage que la réalisatrice abandonne un peu brusquement ces trois femmes blessées, détruites. Comme s'il suffisait d'imposer un dialogue qui n'a jamais eu lieu pour reconstruire ce que tout ce temps perdu a abîmé.

  • BARBARA de Christian Petzold *

     Barbara : photoBarbara : photo

     Barbara : photo Nina Hoss, Ronald Zehrfeld

    En 1980, parce qu'elle est soupçonnée de vouloir passer à l'Ouest, Barbara médecin-pédiatre dans un hôpital de Berlin est punie et mutée dans une petite clinique de Province. On lui attribue un logement minable où régulièrement elle reçoit la visite de deux agents de la Stasi qui lui font subir fouille au corps et de son appartement. Ils ont raison de la pister, car Barbara prépare son évasion vers le Danemark aidée de son bel amant tout blond de l'Ouest qu'elle rencontre de temps en temps en cachette pour une partie de zimboumtralala comme on n'en connaît pas à l'Est. Barbara aussi se méfie, de tout et de tous. De ses collègues qu'elle tient immédiatement à distance et qui prennent son attitude pour du mépris. Cela tombe bien, l'actrice à la bouche déformée par les injections affiche en permanence un petit air supérieur qui convient parfaitement. Doit-elle se méfier de sa concierge aussi ? Mais surtout d'André ce gentil médecin chef au joli sourire qui la regarde avec convoitise mais dont elle craint qu'il soit un agent double ? Désormais la vie de Barbara n'est faite que d'inquiétudes et de soupçons. Heureusement elle a son métier qu'elle aime et pratique avec beaucoup de dévouement et d'application.

    Au début, j'y ai cru. Barbara fait  passer sa solitude, sa trouille et sa méfiance par delà l'écran. J'avais la pétoche. Ne plus pouvoir sortir, entendre un bruit sans se retourner et paf... la paranoïa gagne le spectateur. Et puis le manque de joie ambiant, la tristesse du logement, le style année 80 de l'Est, tout est nickel chrome et donne envie de s'acheter des cornichons Spreewald. Et brusquement j'ai lâché... Le tournant décisif s'est amorcé lorsque son amant annonce à Barbara qu'à l'Ouest, elle n'aura plus besoin de travailler. Là, je me suis dit "aïe, ça sent le roussi !", Barbara n'est pas du genre à se laisser entretenir par un blondin. Nous apprendrons plus tard qu'elle préfèrera cueillir directement le thym et la farigoule dans son jardin pour faire sa ratatouille. Mais je m'égare... Dès lors donc, tout devient affreusement prévisible.

    Mais ce n'est pas uniquement le fait de prévoir chaque scène avant qu'elle n'arrive qui m'a agacée et c'est peu de le dire. Barbara a un métier auquel elle tient et qu'elle exerce avec plus que de la conscience professionnelle. Et là aussi, ça coince. Fallait-il faire de cette femme une quasi sainte qui se dévoue au-delà du zèle à ses patients ? Oui, Barbara est ce genre de médecin (cherchez l'erreur ?) qui passe des nuits auprès de certains malades (soigneusement choisis), qui prend sur son temps de sommeil pour leur lire des histoires... Le gentil docteur André n'est pas en reste et peut écourter un week-end pour revenir à l'hôpital. D'ailleurs, si on le cherche... on le trouve... où ça ? Chez une patiente mourante. Et ô surprise ! Il s'agit de la femme du méchant pourri de la Stasi qui cherche des poux à Barbara ! Hors donc, les ordures ont une vie et ne sont pas épargnés par les calamités ! Les grosses ficelles apparentes commencent à me faire copieusement soupirer !

    Question réalisation, on se croirait chez le Docteur House (oui, mesdames et messieurs au cours d'un zapping frénétique je suis déjà tombée sur le Docteur Mamour).... Barbara et Dédé, mains dans les poches émettent des diagnostics sur leurs patients en un seul regard. C'est fou ce qu'ils sont forts à l'Est, on dirait des américains ! Fallait-il aussi que ce brave nounours de Dédé tombe instantanément amoureux de Barbara rien qu'en l'apercevant par une fenêtre pour la première fois et à 50 mètres ? Evidemment pour ceux qui aiment les filles qui font la gueule (et elle a de bonnes raisons de faire la gueule, merci, je ne suis pas pro stasi non plus...) c'est pain béni. Edith nous a menti. Elle disait "les filles qui font la gueule, les hommes n'en veulent pas !" Il faut le voir ce pauvre docteur, ramer comme un clampin, se faire mousser (en faisant une analyse de texte savante de ceci, à laquelle je n'ai RIEN compris, sauf que du coup j'ai bien vu que la main gauche était inversée) pour tenter de séduire la belle insaisissable qui ne devient souriante que lorsqu'elle a un "service" à lui demander ! Il fait peine à voir.

    Et pendant ce temps Barbara répare son vélo, se lave les cheveux, planque son magot sous un caillou, le change de place, prend des bains, fait du vélo, joue du Chopin sur son piano (et ça me donne envie de revoir "Voyage au bout de l'enfer"), fait un tour à vélo.. et moi je regarde ma montre et ai depuis belle lurette cessé de trembler pour Barbara !

    Et je me souviens de ce film fascinant, romanesque et vraiment flippant "La vie des autres" de Florian Henkel Von Donnersmark.

  • I WISH (nos voeux secrets) de Kore-Eda Hirokazu ***

    I Wish nos voeux secrets : photoI Wish nos voeux secrets : photoI Wish nos voeux secrets : photo

    Depuis le divorce de leurs parents, deux frères vivent séparés. Koichi l'aîné a 12 ans et vit désormais avec sa mère revenue vivre chez ses propres parents au pied du menaçant volcan Sakurajima qui recouvre tout d'une poussière de cendres grises. Le plus jeune Ruy est avec son père, un guitariste de rock, au nord de l'île de Kyushu. Le rêve de Koichi est de réunir sa famille. Aidés chacun par leurs amis respectifs, les deux garçons vont organiser une véritable expédition pour se retrouver et aller ensemble au point de croisement du nouveau TGV. Il paraît que les voeux exprimés au moment précis où se croisent deux trains, se réalisent.

    Dommage que la traduction française se soit éloignée du titre original : "Miracle", car ce film en est un. Comme toujours en ce qui concerne ce réalisateur d'ailleurs, qui après le bouleversant "Nobody knows", le délicat "Still walking", le très triste et très beau "Air Doll" revient nous parler de l'enfance avec toute la fraîcheur, la subtilité et la grâce qu'on lui connaît. Cela peut être surprenant pour nous occidentaux avec notre tendance à sur-protéger nos chérubins mais Hirokazu s'explique :"...je veux être un adulte qui attend ses enfants au retour de leurs aventures, sans en faire toute une histoire". En effet, les adultes sont ici comme partout des trentenaires pas très bien finis, pas vraiment à l'aise dans leur peau (pour la mère... coupable, forcément car c'est le lot des mères à travers le monde !), pas vraiment sorti de l'adolescence (pour le père qui ne lâche jamais sa guitare) et vivent la "disparition" de leurs enfants pendant 24 heures sans la moindre inquiétude. D'ailleurs lorsque les deux frangins se parlent régulièrement au téléphone, ils prennent respectivement des nouvelles du parent absent et s'exhorte mutuellement à "s'occuper" de l'autre.

    Mais les maîtres mots de cette aventure située à moins d'un mêtre 30 de hauteur sont insouciance et obstination. Un road movie emmené par des enfants incroyablement mâlins et matures qui néanmoins ont encore cette part de folie douce et d'inconscience propre à leur âge. La complicité des deux frères (à la ville comme à l'écran) est un autre miracle, mais toute leur bande de copains sont au diapason. On est à des années lumières de l'horripilante et récente Guerre des Boutons (je n'en ai subie qu'une !) où des gosses insupportables jouaient à la guéguerre à coups de répliques et de faits d'armes stupides. Ici l'enjeu est beau, les enfants sont à la fois joyeux et graves mais à aucun moment on a l'impression d'assister à un numéro de singes savants. Enfants et parents peuvent apprécier l'exercice. Ajoutez à cela une formidable bande originale, des couleurs, de l'action, du suspens...

    Ah oui, dernière chose : les grands-parents totalement brindezingues ont un rôle essentiel !

    N.B. : il est recommandé d'aller voir ce film après avoir mangé ! Kore-Eda Hirokazu aime comme personne faire passer tous ces acteurs à table à maintes reprises !

  • LES NUITS EN OR DES COURTS MÉTRAGES 2012

    Comme chaque année je me suis rendue dans mon "art and try" pour voir les 7 courts métrages sélectionnés par l'Académie des César. Je vous rappelle qu'il s'agit de courts métrages sélectionnés dans leurs pays d'origine et que c'est toujours l'occasion de visionner de petites perles.

    Vous pouvez vérifier que l'événement passe dans votre ville en cliquant ICI.

    les nuits en or des courts mÉtrages 2012

    .....................................................

    L'ACCORDEUR de Olivier Treiner **** - France

    César du Meilleur Court Métrage 2012

    avec : Grégoire Leprince-Ringuet, Gregory Gadebois, Danielle Lebrun                 

     Adrien est un jeune pianiste prodige qui s'effondre après avoir échoué à un concours. Il travaille désormais comme accordeur de pianos et se fait passer pour aveugle. Ainsi il pénètre l'intimité de ses clients qui n'ont évidemment plus aucune pudeur devant lui. Les commandes ne font qu'augmenter jusqu'au jour où Adrien tombe sur un os...

    Un court qui a tout d'un long ! Une histoire, une interprétation, une réalisation et une fin savoureuse. On a hâte de découvrir le premier long métrage. Grégoire Leprince-Ringuet encore une fois parfait.

    .....................................................

    PITCH BLACK HEIST de John MacLean *** - Royaume-Uni

    Bafta du Meilleur Court Métrage de Fiction 2012

    avec : Michael Fassbender, Liam Cunningham

    Still from Pitch Black Heist, directed by JOhn Maclean.

    Cambrioleurs professionnels, Liam et Michael font connaissance à l'occasion d'une mission apparemment simple : vider de tout son contenu un coffre-fort de bureau. Mais la mission se complique avec le système d'alarme détecteur de la moindre lumière. Les hommes doivent effectuer leur hold-up dans le noir le plus total.

    Première réplique, Liam Cunningham s'adresse à Michael Fassbender (joie, bonheur...) :

    "Martin ?

    - non, Michael.

    - Ah bon ? On s'appelle par nos vrais prénoms ? Alors moi c'est Liam".

    Autant dire que le ton est donné. Au départ, Michael fait la gueule. Il ne veut pas sympathiser avec Liam qui tente par tous les moyens de dérider son comparse. Et puis, à la suite d'une attente qui s'éternise, les deux garçons éclusent des pintes, fument des pétards... et c'est dans l'hilarité la plus totale qu'ils s'en vont commettre leur délit !

    .....................................................

    THE BOY IN THE BUBBLE de Kealan O'Rourcke *** - Irlande

    IFTA du Meilleur Court Métrage d'Animation 2012

    Narration : Alan Rickman

    Rupert, un garçon de dix ans, tombe fou amoureux pour la première fois de sa vie. Quand tout tourne affreusement mal, il souhaite ne jamais plus éprouver un tel chagrin. Il invoque alors une formule magique pour se protéger à jamais des émotions. Peine perdue l'amour est plus fort que tout.

    Dans une ambiance très timburtonienne et la voix d'Alan Rickman en narrateur, ce film d'animation est magnifique.

    .....................................................

    TROTTEUR de Arnaud Brisebois **(*) - Canada

    Jutra du Meilleur Court Métrage de Fiction 2012

    avec : Kyle Gatehouse

    Un garçon constamment malmené et pris à partie par des gamins à l'école décide de se surpasser et d'épater la galerie lors d'une course contre une... locomotive. La métaphore de l'adversité semble un peu "too much" mais le film muet et en (presque) noir et blanc est une telle perfection visuelle avec des trouvailles pour signifier le froid, il est d'une beauté tellement renversante qu'on est hypnotisé. 

    .....................................................

    THE PALACE de Anthony Maras **(*) - Chypre/Australie

    AActa Award du Meilleur Court Métrage de Fiction 2011

    avec : Erol Afsin, Kevork Malikyan, Tamer Arslan, Daphne Alexander, Christopher Greco   

     Chypre 1974. Une famille chypriote fuit les forces turques et se réfugie dans un palais de l'Ère ottomane, abandonné. Quand un jeune appelé chyprio-turc se retrouve nez-à-nez avec la famille cachée dans un placard, il est soudain obligé de confronter la réalité brutale de la guerre au rôle qu'il y joue.

    Un seul mot suffirait : insoutenable ! La tension, la trouille suintent à chaque seconde. Ce qu'il faut faire pour tenter de sauver sa peau ou la vie des siens. Ce que des ordures armées sont capables d'accomplir. Quelques horreurs de la guerre concentrées en quelques minutes.

    .....................................................

    OLIFANTENVOETEN de Dan Geesin ** - Pays-Bas

    Gouden Kalf du Meilleur Court Métrage de Fiction 2011

    avec : Josh Meyers, Guido Pollemans, Mike Lebanon

     Le premier soir d'un gardien de nuit d'une station-service. Personnage naïf et tragi-comique, il veut bien faire mais il ne sait pas trop comment s'y prendre… Une fiction absurde de l'artiste et compositeur Dan Geesin.

    Dommage que le réalisateur n'utilise pas davantage le naturel complètement décalé, lunaire et loufoque de son superbe acteur et termine son court sans le terminer...

    .....................................................

    NEPLAVCI de Jakub Smid* - République Tchèque*

    Cesky Lev du Meilleur Film Etudtiant 2011

    avec : Vendula Hlásková, Vojtech Vondrácek, Martin Hejný, Ester Povýšilová, Michael Vykus, Marie Ludvíková

     Wendy, une jeune fille de 16 ans est contrainte de passer les vacances d’été dans un hôtel abandonné, où sa grand-mère travaille comme concierge. Dans ce village du bout du monde, une bande d’adolescents tue le temps en buvant de l’alcool au fond de la piscine vide de l'hôtel. Wendy y fera l’expérience douce et douloureuse d’un amour d’été.

    Mouais. On a bien du mal à s'attacher à cette bande d'ados à peu près tous plus antipathiques les uns que les autres et à leur petite mésaventure estivale. L'interprétation peu convaincante n'arrange rien.

  • LE CHANGEMENT C'EST MAINTENANT...

    et ici je fais dans la continuité : LE LUNDI, c'est jeu.

    Merci de retrouver le titre des films que j'ai découpés et décolorisés.

    UNE SEULE RÉPONSE À LA FOIS PAR PERSONNE.  

    ON NE REJOUE QUE LORSQUE J'AI VALIDÉ LA RÉPONSE.

    GAME OVER. Merci.

    1

    MORT D'UN PRESIDENT trouvé par marion

    1.jpgjeu cinema

    2

    LES CHINOIS A PARIS trouvé par Florence

    2.jpgjeu cinema

    3

    LE PROMENEUR DU CHAMPS DE MARS trouvé par Yan

    3.jpgjeu cinema

    4

    RAGTIME trouvé par flo

    4.jpgjeu cinema

    5

    HOT SHOT trouvé par flo

    5.jpgjeu cinema

    6

    W. trouvé par marion

    6.jpgjeu cinema

    7

    MAX LA MENACE trouvé par Yan

    7.jpgjeu cinema

    8

    PATER trouvé par Sandra M.

    8.jpgjeu cinema

    9

    LE PRESIDENT ET MISS WADE trouvé par jane

    9.jpgjeu cinema

    10

    POINT LIMITE trouvé par Fred

    10.jpgjeu cinema

    11

    DEEP IMPACT trouvé par Florence

    11.jpgjeu cinema

    12

    2012 trouvé par Yan

    12.jpgjeu cinema

    13

    13 JOURS trouvé par Florence

    13.jpgjeu cinema

    14

    LES PLEINS POUVOIRS trouvé par sopel

    14.jpgjeu cinema

    15

    AMISTAD trouvé par Yan

    15.jpgjeu cinema

    16

    FROST/NIXON trouvé par Florence

    17.jpgjeu cinema

    17

    MARS ATTACK trouvé par Florence

    18.jpgjeu cinema

    18

    INDEPENDANCE DAY trouvé par marion

    19.jpgjeu cinema

    19

    PRIMARY COLORS trouvé par marion

    20.jpgjeu cinema

    20

    François HOLLANDE trouvé par Sandra M.

    16.jpg

    jeu cinema