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EN ÉQUILIBRE de Denis Dercourt °

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Synopsis : Marc est cascadeur équestre. Un grave accident sur un tournage lui faire perdre tout espoir de remonter un jour à cheval. Florence est chargée par la compagnie d'assurances de s'occuper du dossier de cet homme brisé. Cette brève rencontre va bouleverser leurs équilibres...

OMFG on n'est pas loin du navet intersidéral. La leçon est tellement édifiante que j'ai souvent eu envie de me lever pour foutre des baffes à l'écran. Mais ça ne se fait pas.

 

Il faut croire en la vie, croire en son talent, ne pas renoncer à ses rêves et blablabla !!! Alors un cascadeur qui se fait piétiner par son cheval et une pianiste devenue "assureuse" nous expliquent qu'en couchant ensemble, ils peuvent se relever.

 

Quand ça va mal, il pleut. Quand ça va bien, le soleil brille et Albert emmène Cécile faire une ballade en mer. Car bien que paraplégique, Albert... enfin, Marc, conduit sa voiture comme un furieux pour impressionner Cécile, enfin Florence, s'achète un quad, fait du hors-bord, remonte à cheval et fait la gueule comme il sait si bien le faire.

 

Ce n'est évidemment pas Albert Dupontel qui m'a fait entrer en salle. Avec sa lèvre supérieure qui va finir par lui entrer dans la bouche, je le trouve irregardable et à force de faire la gueule, il n'est plus crédible à mes yeux. Non, c'est Cécile que j'aime d'amour. Et là, elle sourit de toutes ses jolies dents, pleure quand elle est triste et surtout on peut à loisir admirer sa chevelure qui n'a jamais été aussi blonde, aussi longue, aussi bien hydratée. Une vraie pub pour qui vous savez !

 

Le cheval, Othello pour les intimes, a une belle crinière toute ramenée du même côté, et on le plaint d'avoir affaire à Albert/Marc qui n'a qu'une idée en tête : le soumettre ! Eurcke.

 

La bonne surprise de ce navet c'est de retrouver ici tout à fait par hasard un ptitchoudamour découvert au dernier Festival d'Annonay : AURELIEN GABRIELLI. Et Denis Dercourt ne s'y trompe pas car il le filme en longs plans inutiles car il a bien compris qu'il avait une pépite dans l'œilleton. Ce garçon est d'une intensité exceptionnelle. En juillet sortira le film qui m'a fait chavirer d'amour et je vous assure que je vais vous tanner la couenne pour que vous alliez le voir dès que possible.

Ce film, c'est QUAND JE NE DORS PAS, et la merveille c'est Aurélien, le garçon qui pleure sans larmes et qui rit sans joie...

 

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