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INFILTRATOR

de Brad Furman **(*)

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Avec Bryan Cranston, Diane Kruger, John Leguizamo

Synopsis : L’agent fédéral Bob Mazur a pour mission d’infiltrer le cartel de drogue de Pablo Escobar. Son but : faire tomber 85 barons et une banque internationale. Son plan : s’inventer un passé, une identité, une fiancée. Son risque : le moindre faux pas lui serait fatal.

Voilà un synopsis qui résume bien la situation, parce que malgré la durée du film et à cause des ellipses je n'ai pas toujours très bien compris ce qui se passait devant mes grands yeux étonnés. Je dois reconnaître aussi que le monde des truands, de la drogue, du blanchiment d'argent m'est toujours opaque malgré la quantité phénoménale de films que j'ai déjà pu voir sur le sujet.

 

En tout cas, Bob Mazur a bel et bien existé (et existe toujours) et je ne sais si j'ai cligné des yeux ou ai été victime d'un assoupissement (il me semble que non) mais je ne vois pas à quel moment on dit à Bob qu'il doit démasquer 85 barons du Cartel de Medellin. Je crois que ces mots (Cartel de Medellin) ne sont d'ailleurs jamais prononcés. Cela m'a gênée car tant qu'à faire une true story autant nous mettre les true points sur les true yeux non ? Moi j'ai pataugé grave !

 

J'ai trouvé que devenir infiltrator était d'une facilité déconcertante. Cela doit tenir au scenario qui fait que Bob se glisse parmi les voyous sans  provoquer la moindre méfiance... ou si peu ! Par contre, là où le scenario se montre plus malin c'est que régulièrement il place notre infiltré dans des situations qui semblent inextricables et du coup dans ce cas, le film se réveille et on a un peu les miquettes : la scène d'ouverture où... non, je ne dis rien, la scène du restaurant avec sa vraie femme (car pour sa vie d'infiltrator il s'en invente une seconde... ce petit malin !), la scène de vaudou (je ne sais comment appeler ça !) ! Et la scène du mariage, la scène finale... waouh !

 

Il s'agit donc d'un film en dents de scie avec des scènes up et des scènes down.

MAIS,

le rôle de Bob est tenu par le nouvel amour de ma vie, j'ai nommé le prodigieux, l'exceptionnel, l'incroyable Bryan-WW-Cranston :

infiltrator de brad furman,bryan cranston,diane krüger,cinémainfiltrator de brad furman,bryan cranston,diane krüger,cinéma

Bien qu'il soit affublé d'un brushing et d'une moustache moches so 80's (je le préfère chauve à barbichette), il est LA raison existentielle du film. Bien sûr le thème de la drogue et sa capacité inquiétante à mener deux vies parallèles sans avoir l'air de faire le moindre effort (ah la tête de sa femme quand elle assiste à une démonstration des œuvres de son chéri !!) nous obligent souvent à penser à son rôle de Walter White. Mais on voit bien que cet acteur totalement barré nous réserve encore des surprises.

 

Il est parfaitement et idéalement accompagné par Diane Kruger qui joue la fiancé de l'infiltré avec infiniment de classe, de présence et de talent. J'adore cette fille. Elle me fait le même effet qu'Angelina Jolie. Malgré sa beauté sidérante, on ne sent pas la fille qui vous écrase de sa supériorité génétique et on a envie d'être sa copine.

 

Je ne dis rien de John Leguizamo, j'ai juste eu envie de lui coller des baffes. Par contre Benjamin Bratt est très bien.

 

Il faut aussi que je vous parle du titre. Ah le titre, j'ai cru qu'il s'agissait d'une traduction débile comme il y en a tant, mais non, nous sommes bien face à The Infiltrator que les canadiens ont traduit pas L'infiltré... et nous aurions été bien inspirés d'en faire autant. Je trouve que ce titre fait déjà perdre une partie de la crédibilité au film.

Commentaires

  • Kikouuuuuu, je rentrer....de pays puries.....

    Donc je regarder un film qui se appel Incendies recommander par toi........

    ta fait de super commentaires en 2011 , mais je pense ( je suis sur) que se un film de propagande pro Islamo fasciste, ou seul massacre dans le film ete fait par les Méchants, méchants, méchants... Phalangistes Chrétiens ( je été a Liban en 1979 et en 1981, dans le Beyrouth et Dans le Sud aussi, je peux te certifier vérité est differente... ) et les Islmo fascists ete presentee comme des gentils combattants de liberte....
    Bref.....
    Si non tu vais bien?

  • Rarement je vis la réalité décrite dans les films.

    Et les réalisateurs ont le droit de transformer, adapter, interpréter la réalité !

    Bof...

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