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franck dubosc

  • LE MARQUIS de Dominique Farrugia **

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    Thomas Gargesse, VRP licencié injustement purge une peine de quelques mois de prison pour avoir tenté de voler un de ses clients. Dans le même temps Quentin Tasseau foire une "affaire" et se voit contraint par son patron Jo un grand malade de la tête, de retrouver les centaines de milliers d'euros perdus, sous peine de se retrouver entre quatre planches après d'atroces souffrances. A la suite d'un quiproquo maousse, le très ordinaire à jogging et bas du bulbe Thomas est pris pour "Le Marquis" le bandit number one qui fait trembler même les truands. Pour sauver sa peau, Quentin fait évader Thomas de sa prison pour monter un coup qui devrait rapporter bonbon !

    Pas la peine d'y aller par quatre chemins. Contre toute attente, malgré l'affiche, malgré le titre, malgré (et aussi grâce à) Franck Dubosc, ce film est drôle, très ! Ce n'est pas du grand art, mais c'est tellement bien interprété, loufoque et invraisemblable, qu'on ne se fait pas de noeuds au cerveau  et que pendant une heure trente c'est du plaisir total. Et en plus, pas une seconde d'ennui. Il faut dire que sur le mode du "buddy movie" (deux personnages aussi différents voire opposés que possible contraints à faire équipe) le tandem Franck Dubosc (qui fait un peu du Franck Dubosc mais pas seulement) et Richard Berry fonctionnent parfaitement. Le sérieux et la dureté de Richard Berry face à la beauferie naïve de Franck Dubosc font parfois des merveilles. On ne se lasse pas de voir les mines consternées voire accablées de l'un face aux énormités et aux étourderies de l'autre. On reconnaît le style Farrugia, pas avare du comique de répétition, mais sincèrement il prouve qu'il est possible de faire rire sans blagues salaces sous la ceinture. Et puis on peut lui savoir gré d'avoir fait de Jean-Hugues Anglade pratiquement méconnaissable, un vrai méchant sans coeur, quoique...