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  • A LA RECHERCHE DU MENOCHET PERDU !!!

    FESTIVAL INTERNATIONAL DU PREMIER FILM D'ANNONAY

    Je vais tenter de vous résumer ces deux premiers jours de folie.

    Mais à cette heure, grave ! Je suis inconsolable ! Denis Menochet n'a pas pris son train. Le billet qui a été remis à son attention n'a pas été retiré et son portable reste désespérément silencieux. Toutes les filles ont pris le voile, et les garçons aussi !

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    Néanmoins, que s'est-il passé en si peu de temps ? Plein de choses justement car ici, comme chaque année, le temps n'a plus la même fonction, le même rythme. Et puis, l'amnésie salutaire, bienfaisante et providentielle est de retour. Finis les emmerdes, les soucis, tous les bernies et autres petites contrariétés qui pourrissent le temps de vie disponible. Bref, ici, TOUT VA BIEN !

    D'abord il y a eu la soirée d'ouverture avec la projection du film de Cyril Mennegun "Louise Wimmer" dans le beau théâtre qui affichait complet.

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    Et ce n'est pas l'image insolite et sans doute peu rassurante d'un vaisseau pirate planté dans sa façade qui a arrêté les festivaliers.

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    Si vous n'avez pas encore vu ce film sorti le 4 janvier, précipitez-vous en salle, sinon c'est inutile de continuer à me parler. La soirée en compagnie de l'actrice Masiero fut à la hauteur de mes espérances. Cette grande fille folle et libre, est belle, gentille, drôle, intéressante. Elle vous regarde droit dans les yeux quand elle vous parle, elle vous appelle "min tiot" et elle écoute. C'est, avec Café de Flore, mon premier coup de coeur de 2012.

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    Samedi matin, projection du très beau film de Jean-Pierre Améris "La joie de vivre" tiré d'un roman étonnant d'Emile Zola en présence de l'actrice principale Anaïs Demoustier. Une jeune femme très simple, très belle et passionnée. Je reparlerai du film, magnifique dès que possible.

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    L'après midi, qui vous savez a voulu voir ce film qu'il avait raté et dont le titre l'interpelle, en présence de l'acteur énergique voire explosif Pierre Niney. Cette rencontre en plus de faire la connaissance d'un acteur charmant à tout point de vue permet d'éclairer le spectateur sur le job étrange que fait Primo (son personnage dans le film).

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    Il faudra également que je vous parle de cette exposition de motos mythiques du cinéma mondial qui ont été refaites à l'identique par un passionné italien de motos et de cinéma Costantino Frontalini.

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    Une Fan éplorée :

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    Une Fan qui se console :

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    à suivre...

  • RUE DES CITES de Carine May et Hakim Zouhani

    FESTIVAL INTERNATIONAL DU PREMIER FILM D'ANNONAY

    1er FILM. HORS COMPETITION

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    Dans le cadre d'un partenariat entre L'ACID (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion) et le dispositif « Passeurs d’images » à vocation culturelle et sociale, le festival des jeunes issus de toute la Région Rhône Alpes. Le film « Rue des Cités » leur est projeté, suivi d’une rencontre avec les réalisateurs Carine May et Hakim Zouhani et d’un des acteurs Tarek Aggoun.

    Sur une trame minimaliste : une journée ordinaire dans une ville de banlieue, les réalisateurs suivent Adilse, jeune homme de 20 ans glandeur professionnel et tchatcheur incorrigible. Ils évoquent ses relations avec sa famille, son meilleur ami et quelques difficultés auxquelles il aura à faire face en ce jour précis. Dans un noir et blanc soigné qui donne à la ville et à ses immeubles déshumanisés un aspect irréel, les rendant intemporels, les réalisateurs établissent des passerelles entre les générations et insèrent des morceaux d’interviews des habitants d’Aubervilliers de tous âges qui éclairent le spectateur sur la façon dont chacun vie sa ville. La « langue » des banlieues est un personnage à part entière. C’est elle qui donne au film son rythme, son humour et son charme irrésistible. La scène où un copain d’Adilse lui explique qu’il s’est rendu sur la tombe de Jacques Mesrine avec un bouquet de fleurs après avoir vu le film à la télé est absolument hilarante. Elle le serait sans doute moins si elle n’était racontée dans ce jargon à l’accent si particulier très caractéristique et fleuri que les jeunes emploient aujourd’hui. Si les garçons semblent relativement démunis face à un avenir incertain, les filles au contraire sont particulièrement positives et prennent leur destin en mains avec une grande détermination.

    Les réalisateurs et l’acteur, tous trois d’Aubervilliers, posent un regard bienveillant sur leur ville, sans indulgence ni misérabilisme. En effet, Carine May est toujours institutrice en maternelle rue des Cités précisément. Le réalisateur Hakim Zouani a été quant à lui animateur socio-culturel dans la cité où il a rencontré Tarek Aggoun qu’ils ont choisi comme acteur principal. Il continue aujourd’hui à s’occuper de la formation des jeunes à l’audio-visuel. Ils tiennent à montrer la vie et les projets qui bouillonnent même en banlieue, loin des clichés axés sur la délinquance. Concernés et impliqués, ils nous offrent un film humain et généreux d’une honnêteté indiscutable. Le tournage d’un court et d’un long métrages de fiction du désormais indissociable duo nous assure que nous allons pouvoir continuer à suivre le travail prometteur de Carine et Haki, et souhaiter que Tarek trouve des réalisateurs qui l'engagent.

    Ils sont par ailleurs tous les trois vraiment sympathiques !

     

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  • NE ME CHERCHEZ PAS

    je suis là depuis hier ! C'est parti, c'est génial. J'essaie de vous tenir au jus.
    J'ai mangé presque en tête à tête avec Corinne Masiero. Elle est géniale. Elle parle comme chô. Comme moi quoi !

    Et comme cette année, je fais partie de l'équipe de rédaction du journal quotidien "Feufeuille la Tulipe", vous pourrez retrouver ma prose (qui va tant vous manquer) et celle de mes nouveaux collègues sur le site du Festival (cliquez sur l'affiche). Evidemment je viendrai vous donner des news en direct sur ce blog mais pour le moment, j'ai un film à voir.

    Soyez sages !

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  • THE DESCENDANTS de Alexander Payne *

    The Descendants : photo

    The Descendants : photo

    Depuis que sa femme Elizabeth est dans le coma suite à un accident de bateau, Matt King doit s'occuper de ses deux filles Scottie 10 ans et Alexandra 17 ans. Autant dire qu'il est aussi à l'aise face à ces deux ados mal identifiées qu'une poule devant un couteau. La petite est plutôt du genre délurée et l'aînée, droguée et alcoolique à ses heures a été placée dans une institution pour jeunes filles riches. Lorsque sa grande lui annonce qu'il était cocu et que des amis bien intentionnés en remettent une couche lui assurant que sa femme avait l'intention de le quitter, Matt perd encore plus pied mais cherche à rencontrer l'amant. Par ailleurs, Matt, avocat à ses heures perdues, est en pleine transaction familiale pour vendre un paradis que sa famille (ses nombreux cousins !) ont hérité de leurs ancêtres, princes hawaiiens ! C'est donc une étrange semaine que va vivre ce grand garçon tout perdu, d'autant que les médecins lui annoncent qu'Elizabeth ne se réveillera plus.

    Comment transformer un éventuel grand mélo en farce grotesque ? Demandez donc à Alexander Payne dont j'entends partout qu'il a réalisé un grand film triste dont chaque scène à fort pouvoir lacrymal serait désamorcé par une pirouette drôlatique. Sauf que le risque de tomber dans le ridicule n'est jamais bien loin et que selon moi, le film s'y vautre sans finesse du début à la fin. Ce film n'est donc pas drôle mais risible ! C'est terrible mais je trouve que GeorgesClooney, pas mauvais du tout bien au contraire, est un marrant. Que son visage et ses expressions pètent la santé et la bonne humeur et qu'à aucun moment je n'ai vu un homme abattu qui doute et qui souffre ! Un Oscar pour ce rôle donc pour moi, c'est non et re non ! Vas-y Jeannot !

    Dès le générique, ça sonne faux. En voix off, Georges/Matt nous explique qu'Hawaï n'est pas ce qu'on croit. Hawaï n'est pas un paradis terrestre où les gens passent leur temps à faire du surf avant ou après avoir siroté un cocktail coloré surmonté d'une petite ombrelle en papier. Et il est vrai qu'on voit une autoroute embouteillée, un obèse qui marche sur un trottoir et même une personne en fauteuil roulant. Hawaï c'est l'enfer ! Sauf que TOUT le reste du film s'applique à contredire et démentir cette mise en route. Tout se passe dans des villas de 500 m² avec piscine et vue sur l'Océan. Des plans totalement inutiles de golfeurs achèvent de confirmer la contradiction du discours initial. Mais cela ne serait rien si chaque scène n'était une succession de bizarreries de plus en plus grotesques jusqu'à l'apothéose hystérique de la visite de la femme du cocu à la mourante cocufiante. Entre temps, il nous aura fallu supporter le grand-père acariâtre,  raciste et intolérant, la grand-mère atteinte d'Alzheimer, un ami décérébré (I.N.S.U.P.P.O.R.T.A.B.L.E.) de la fille aînée qui va par l'opération du Sain D'esprit se transformer en maître à penser, une ribambelle d'amis toujours prêts à venir jouer les pique-assiettes et toute une tripotée de cousins mochtrons et cupides ! J'en oublie sans doute. Je n'ai pas le temps de m'éterniser.

    Reste Georges, pas mal du tout donc, en chemise hawaïenne, et dans un rôle tout à fait inédit de père dépassé par sa progéniture. La belle complicité avec la jeune Shailene Woodley (très bien) est le seul atout du film selon moi. Dommage !

    Ah oui, et puis la musique hawaïenne au bout d'un moment... au secouououours !

  • CAFE DE FLORE de Jean-Marc Vallée *****

    Café de Flore : photo Jean-Marc ValléeCafé de Flore : photo Jean-Marc ValléeCafé de Flore : photo Jean-Marc Vallée

    Café de Flore : photo Jean-Marc Vallée

    Antoine vit de nos jours à Montréal avec Rose sa femme adorée et ses deux filles. Tout est lumineux, beau et sourit à ce "remixeur" canadien qui parcourt le monde avec son étrange musique. La musique d'ailleurs est au centre de sa vie depuis toujours et il a partagé cet amour depuis l'adolescence avec une fille aimée à la folie, Carole, la mère de ses deux petites. Tout n'est donc pas si rose et éclatant que la lumière éblouissante qui baigne le film le laisse supposer. Car Carole souffre, gravement, durablement. Elle ne parvient pas malgré les années qui passent à se remettre de la séparation d'avec l'irremplaçable et irremplacé Antoine qui lui non plus ne l'oublie pas...

    A Paris dans les années 60, Jacqueline donne naissance à Laurent un enfant différent, un petit trisomique et il n'y avait d'autre choix dans ces années là que de placer directement ces enfants dans un centre pour handicapés. Jacqueline refuse, se débarasse du père qui ne se sent pas de taille à élever un tel enfant et elle va se battre jour après jour pour tenter de faire de l'enfance de son fils un véritable enchantement.

    Quel rapport entre les deux histoires ? Chut ! Jean-Marc Vallée met pratiquement une heure et demi à amorcer un début de réponse. Avant d'en arriver là, il nous balade au son et au rythme d'un film d'une ambition folle et démesurée, totalement déstructuré

    Malgré la difficulté qu'on a à faire le lien entre les deux histoires, les deux époques, les deux styles du film (la lumière et les couleurs à Montréal, les tons froids et la tristesse à Paris) on est embarqué. Le réalisateur s'empare du spectateur et ne le lâche plus. Comment réussit-il ce miracle ? C'est indicible, insensé et intraduisible un miracle. Mais on s'attache avec passion aux quatres personnages principaux. On les comprend, on partage leurs joies et leurs peines, on tremble pour eux et on a qu'une envie : les voir heureux enfin et pour toujours. Evidemment ces gens sont beaux, intelligents, chaleureux, compréhensifs, sensibles mais il n'est pas interdit de regarder un film comme on rêve. Et puis, ils nous parlent de sentiments comme c'est rarement arrivé au cinéma et il y  a dans ce film au moins deux déclarations d'Amour tellement sublimes que je vous mets au défi bande de sans coeur de ne pas écraser une larmichette.

    Jean-Marc Vallée vous avait emballés, surpris et amusés avec "C.R.A.Z.Y.", il va vous bouleverser avec ce "Café de Flore". C'est un film d'amour comme je vous assure vous n'en avez jamais vu, qui fait frémir d'émotion. La douceur, l'intelligence, le charme des personnages sont époustouflants. Ils évoquent l'amour éternel, l'âme soeur, l'amour maternel, le pardon, la réconciliation et c'est magique. On frissonne jusqu'aux dernières secondes pleines de rage, de tristesse et d'apaisement et on reste envoûtés par l'atmosphère planante, volatile, touchés en plein coeur par ces histoires, bercés et agités par la musique (bande orginale GRANDIOSE !).

    Les acteurs ? Des merveilles (même les enfants) ! Vanessa Paradis mère courage dénuée du moindre attrait physique, amoureuse de son fils, est LA mère. Elle est exceptionnelle. Les autres, inconnus chez nous, Kevin Parent, Hélène Florent, Evelyne Brochu sont inoubliables.

    N'écoutez pas ces pisse-froids qui parlent d'artifice et de manipulation. Ecoutez-moi qui vous dis qu'un film aussi beau, intelligent, inventif, à la construction tellement exigeante, qui aborde la réincarnation, frôle le mysticisme sans y sombrer, vous affirme que chacun d'entre nous a sa "flamme jumelle" qui brille quelque part, sans être jamais ridicule, c'est une aubaine, un bonheur, un frisson. C'est pour ce genre de films rares et précieux qui nous rappelle qu'au cinéma tout est possible qu'on endure des navets sans âme. Ce genre de films est une récompense.

    Je l'avais vu à Venise il y a une éternité (septembre 2011) en présence de l'équipe du film, acteurs et réalisateur et je l'ai encore davantage aimé.

  • ICI BAS de Jean-Pierre Denis *

    Ici-bas : photo Jean-Pierre Denis

    Ici-bas : photo Céline Sallette, Jean-Pierre Denis

    Luce est frappée par la grâce divine dès sa plus tendre enfance ! Toute petite en 1916, elle collectionne les images pieuses et serre le curé du village sur son coeur dès qu'il apparaît. Elle lève les yeux vers le ciel. C'est beau le ciel, y'a Dieu dedans. Nous retrouvons Luce qui est devenue sans surprise Soeur Luce en 1943 infirmière et religieuse à Périgueux. Elle soigne indifféremment allemands et résistants jusqu'à ce qu'elle croise la route d'un aumônier maquisard blessé, Martial. La guerre et la cruauté des hommes ont eu raison de la foi de Martial et Luce jusque là envahie de l'amour de Dieu se sent de plus en plus irrésistiblement attirée par Martial. Mais Dieu lâche la main de Luce qui s'offre à Martial qui la viole avec son consentement... Et Martial abandonne Luce avec quelques remords mais pas trop. Alors Luce devient folle et se venge !

    Bon, je n'ai pas aimé. Je n'ai pas été touchée par ce film froid qui parle de passion pourtant sans jamais en être animé. Mais mon voisin de gauche m'a suppliée de mettre une * et je ne peux rien lui refuser. J'aurais mis une ° si je n'étais si faible tant l'ennui s'est emparé de moi assez rapidement. L'interprétation catastrophique des maquisards figés comme des statues, la mollesse et le manque total de charisme d'Eric Caravaca, acteur voûté souffreteux, les séances de diapos sur le Périgord en automne n'arrangent rien. J'ai l'impression que le réalisateur a confondu austérité et froideur car son film glacial et sans âme (un comble !) a finalement suscité chez moi plus de gêne que de compréhension et d'empathie.

    C'est d'autant plus regrettable que les sujets : la perte de la foi, la folie, l'absence de pardon, la vengeance, la justice des hommes laissaient entrevoir de belles espérances. Encore plus déplorable même que deux acteurs dominent et s'extraient totalement de la fadeur ambiante. Jacques Spiesser en évêque qui place très haut les responsabilités de sa charge. Et surtout Céline Sallette, la pauvre ! tellement possédée par son bouleversant personnage qu'on regrette vraiment que le film ne soit pas à la hauteur de son interprétation fébrile et de son beau visage fatigué.

    Au fait, ce film est tiré d'une histoire vraie. Si ça peut vous inciter !

  • SPORT DE FILLES de Patrizia Mazuy

    J'ai 5 X 2 places à vous offrir grâce à LE PACTE, pour ce film qui sort le 25 janvier.

    Sport de filles : affiche

    Synopsis : Révoltée par la vente du cheval d’obstacle qu’on lui avait promis, Gracieuse, cavalière surdouée, claque la porte de l’élevage qui l’employait.
    Elle redémarre à zéro en acceptant de rentrer comme palefrenière dans le haras de dressage qui jouxte la ferme de son père. La propriétaire, Joséphine de Silène, y exploite d’une main de fer la renommée internationale d’un entraineur allemand, Franz Mann, ancien champion cynique et usé dont les riches cavalières du monde entier se disputent le savoir - mais aussi le regard ! Ce microcosme de pouvoir et d’argent n’attend pas Gracieuse qui n’a pour seules richesses que son talent, son caractère bien trempé et surtout sa rage d’y arriver. Branchée sur 100 000 volts, prête à affronter Franz Mann lui-même et tous les obstacles - jusqu’à se mettre hors-la-loi, elle poursuit son unique obsession : avoir un cheval pour elle, qu’elle emmènerait au sommet …

    Pour remporter ces places c'est comme toujours très simple. Vous devez terminer la phrase (après avoir regardé la bande annonce) et trouver de quel film est tirée la photo découpée.

    Seules les réponses 1, 2, 3, 4 et 5 permettent de gagner.

    Les autres sont là pour que vous puissiez continuer à vous amuser comme des foufous.

    UNE SEULE REPONSE A LA FOIS PAR PERSONNE.

    ON NE RETENTE SA CHANCE QUE LORSQUE J'AI VALIDE LA REPONSE.

    NB. Nouvelle règle : pour que ce ne soit pas toujours les mêmes qui gagnent, ceux qui ont gagné la dernière fois ne peuvent jouer que sur les énigmes 6 à 10.

    LES GAGNANTS sont : guy, ludo, titine, mari_nette, Florence.

    GAME OVER. Merci.

    1

    LES CHARIOTS DE FEU trouvé par guy

    "C'est ça vas-y...reste un esclave !"

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    2

    MARQUE PAR LA HAINE trouvé par Mari_nette

    "Qui monte les autres pendant...notre absence" 

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    3

    LA LEGENDE DE BAGGER VANCE trouvé par titine

    "Vous le rentrez et...vous faites l'inventaire des clôtures."

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    4

    INVICTUS trouvé par Florence

    "Un boulot où les bons chevaux... sont pour les autres comme d'hab'"

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    5

    LA COULEUR DE L'ARGENT trouvé par ludo

    "Ici on fait du dressage... du haut niveau... des chevaux allemands." 

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    6

    JUSQU'AU BOUT DU RÊVE trouvé par la meuf à Jordane

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    7

    CHARLOT BOXEUR trouvé par Ghislaine

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    LE CIEL PEUT ATTENDRE trouvé par sopel

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    MILLION DOLLAR BABY trouvé par marion

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    10

    LE MEILLEUR trouvé par Mister Loup

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