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EQUALIZER d'Antoine Fuqua **

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Synopsis : Pour McCall, la page était tournée. Il pensait en avoir fini avec son mystérieux passé. Mais lorsqu’il fait la connaissance de Teri, une jeune fille victime de gangsters russes violents, il lui est impossible de ne pas réagir. Sa soif de justice se réveille et il sort de sa retraite pour lui venir en aide. McCall n’a pas oublié ses talents d’autrefois…

Aujourd'hui, j'avais besoin/envie d'un film sans réflexion. Bon je n'irais pas jusqu'à dire que je serais allée voir un naveton avec ce mochtron de Jason Statham (pas sûre de la bonne place du "h") mais un film pif paf boum tchak me tentait bien. J'ai bien choisi. Equalizer est typiquement le genre de film pour lequel il est conseillé de laisser son cerveau au vestiaire.

McCall est insomniaque depuis qu'il est veuf. Il est bourré de tocs aussi et il minute TOUT ce qu'il fait. Bon, la nuit il va boire un thé dans le troquet du coin et il lit. Sa femme lisait les 100 livres qu'il faut avoir lus et en hommage à icelle, il fait de même. Chaque nuit, Teri est là. Elle est jeune (très), elle est pute mais à contre cœur. En plus elle est exploitée et battue par des sales types russes. Le jour où elle se retrouve en soins intensifs... ça énerve grave McCall qui n'aime pas qu'on touche à la femme blanche. Et là, on comprend que son boulot de manutentionnaire dans un magasin d'outillage genre Brico Dépôt (que des espèces, merci), c'est pas sa vocation.

Voir Denzel, que tout le monde appelle grand-père (j'suis désolée mais mon grand-père n'a JAMAIS ressemblé à ça) s'en prendre tout seul à la mafia russe de Denver (c'est pas Denver mais on s'en cogne), c'est tordant. Et s'il faut aller à Moscou pour finir le boulot : no problem, il prend l'avion. Il dégomme à tout va. Et se retrouver seul désarmé avec 10 mastards surarmés ne lui fait pas peur. Le voir chalouper, c'est pas désagréable. Il est sexy comme c'est pas possible (OMG Denzel a 60 ans !) et fait sont taf sans broncher, sans sourciller alors que personne lui a rien demandé. Au bout de 48 morts, j'ai arrêté de compter. Je trépignais en écoutant la musique qui faisait boum boum boum. J'ai dû fermer les yeux vers la fin... parce que dans son Brico Dépôt, il y a des perceuses, des visseuses, des tronçonneuses... et des machins en euses qui font des trous, qui vrillent, qui percent, qui poinçonnent, qui percent les gros ruskofs cré cré vilains... et brrrrrrrrrrrrr ça gicle !

Vous avez un problème ? Appelez Denzel ! Et si j'ai bien compris, on est pas à l'abri d'avoir un Equalizer II le retour de la Foreuse à main...

Commentaires

  • "Règlements de comptes chez Castorama". Il y a TOUT comme genre de moyens de tuer !
    Et effectivement nul besoin de réfléchir. Bon à la fin moi je n'en pouvais quand même plus : trop c'est trop. Trop fort Denzel !
    Puis c'est l'homme parfait : il lit, il est gentil, serviable etc.

  • Un ange gardien !

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