Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

denzel washington

  • LES SEPT MERCENAIRES

    d'Antoine Fuqua **(*)

    261619_jpg-r_1280_720-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Synopsis : L’industriel Bartholomew Bogue règne en maître sur la petite ville de Rose Creek. Pour mettre fin au despotisme de l’homme d’affaires, les habitants, désespérés, engagent sept hors-la-loi, chasseurs de primes, joueurs et tueurs à gages – Sam Chisolm, Josh Farraday, Goodnight Robicheaux, Jack Horne, Billy Rocks, Vasquez, et Red Harvest. Alors qu’ils se préparent pour ce qui s’annonce comme une confrontation sans pitié, ces sept mercenaires prennent conscience qu’ils se battent pour bien autre chose que l’argent…

    Lire la suite

  • EQUALIZER d'Antoine Fuqua **

    142348_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Synopsis : Pour McCall, la page était tournée. Il pensait en avoir fini avec son mystérieux passé. Mais lorsqu’il fait la connaissance de Teri, une jeune fille victime de gangsters russes violents, il lui est impossible de ne pas réagir. Sa soif de justice se réveille et il sort de sa retraite pour lui venir en aide. McCall n’a pas oublié ses talents d’autrefois…

    Lire la suite

  • FLIGHT de Robert Zemeckis **

    Flight : affiche

    Quelques instants avant de décoller pour un vol court de routine d'à peine une heure, le pilote Whip Whitaker termine son week-end de beuveries, de sexe et de cocaïne par une petite "ligne" censée le remettre sur pieds. Et c'est le miracle, alors qu'il vacillait, la précieuse poudre blanche lui donne un coup de fouet. Dans son costume prestigieux de commandant de bord il rejoint son avion de sa démarche chaloupée. Mais loupe, signe du destin, la première marche de la passerelle. La charmante jeune femme qui a partagé ces quelques jours de débauche n'est autre qu'une des hôtesses du vol. Malgré une météo désastreuse et un co-pilote inexpérimenté (et inquiet) par l'état de son commandant, l'avion décolle, franchit une zone de turbulences de grande amplitude pour se stabiliser au-dessus des nuages. Tout n'est que joie et satisfaction et le pilote s'endort. Brusquement c'est l'avarie et l'avion dégringole en piqué vers une zone d'habitations. Whip se ressaisit et parvient avec un calme et une maîtrise exemplaires à faire attérir l'engin dans un champ. Sur la centaine de personnes, passagers et équipage, seules 6 trouvent la mort. Un moindre mal. Whip blessé est porté triomphalement en héros jusqu'à ce que les analyses toxicologiques révèlent plus de 2 grammes d'alcool dans le sang et autres substances illicites. Il devra donc faire la preuve devant un tribunal que c'est l'état de l'avion et non le sien qui est responsable de l'accident !

    Il y a de très bonnes choses et d'autres beaucoup moins qui laissent forcément un arrière goût de semi réussite et donc de semi ratage.

    Les plus :

    - Le crash. Pendant de longues minutes, le spectateur est dans l'avion et le plus souvent dans le cockpit. Alors que les moteurs crament un à un, Denzel/Whip imperturbable et efficace réalise l'exploit de retourner l'avion pour lui permettre de planer, puis de le retourner à nouveau et d'attérir sur le ventre en limitant les pertes. Zemeckis s'y connaît en crash d'avions. Celui de Seul au monde était déjà une réussite super flippante. On en mène vraiment pas large dans notre fauteuil qui ne bouge pas.

    - Les deux apparitions de John Goodman en pourvoyeur rock and roll de substances illégales. Ce type, cet acteur génial est un effet spécial à lui tout seul et tant pis s'il n'est pas un exemple pour les enfants !

    - Le mélange des genres savamment orchestré : film catastrophe, film de procès avec "coupable" récalcitrant, étude psychologique, rédemption.

    - L'interprétation subtile de Denzel Washington. Il exprime toutes les ambiguités de son personnage de héros défaillant, pas forcément sympathique, avec un génie incontestable. Menteur, addict, pétri de doutes mais résolu à s'en sortir, son jeu est vraiment impressionnant.

    Les moins :

    - Le personnage de Kelly Reilly en junkie repentie et sa rencontre providentielle à l'hôpital avec Whip. Inutile et invraisemblable, ce personnage coupé au montage aurait réduit le film de la demi-heure de trop. Quant à l'actrice, si elle est d'une beauté indiscutable, son jeu se limite exclusivement à pincer les lèvres.

    - La scène d'hôpital dans l'escalier où un cancéreux au stade terminal fume ("mon cancer va attraper le cancer" ah ah ah !) et se pose en prophète sur l'avenir de Whip et la Junkie ! Ridicule.

    - La femme et le fils du "héros" forcément hostiles à toute tentative de réconciliation.

    - ET SURTOUT : les bondieuseries qui jalonnent tout le film. Dieu présent partout et toujours. Le prêchi prêcha est insupportable au point qu'on ne parvient plus à comprendre si le réalisateur cherche à faire la critique ou l'apologie de la religion. J'ai parfois eu la sensation d'être face à un film catho intégriste. La seule défense de l'avocat en devient même "il faut faire valoir que cet accident est la volonté de Dieu", et le seul bâtiment détruit, le clocher d'une église. J'avoue que l'agacement de toute cette religiosité ambiante m'a vrillé les nerfs tout comme l'acte de contrition larmoyant final.

  • UNSTOPPABLE de Tony Scott *

    19571406_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20101027_050239.jpg19571407_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20101027_050239.jpg19571411_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20101027_050327.jpg

    - Chris : allo ? Denzel ? comanxé ch’gros ?

    - Denzel : WTF, faut arrêter man avec ces gros ! Gros, faut pas pousser quand même !.

    - Chouchou dans la cuisine : c'est qui ????????

    - Denzel : t'inquiète Chouchou c'est le ptit Pine.

    - Chouchou dans la cuisine : MDR LOL PTDR.

    - Denzel : alors tiot, comanxé toi ? Toujours à la recherche d’un scénar ???

    - Chouchou dans la cuisine : MDR LOL PTDR.

    - Chris : oh ben tu sais, le train-train t’vois l’genre. Mais justement à propos de train-train, je crois que je le tiens mon scénar. Y’a le Scott qui m’a appelé là et je suis du prochain film !!!

    - Chouchou dans la cuisine : Qu’est-ce qui veut l’Pine ?

    - Denzel : ta gueule Chouchou, y’a le Scott qui l’a appelé.

    - Chouchou dans la cuisne : Hein ??? Y’a Ridley qu’a appelé le tiot ??? et toi t’es là à siroter de la bud dans ton rocking ?

    - Chris : Nan, c’est pas Ridley c’est…

    - Denzel  Tony ?????????? laisse tomber man, c’est un branleur ! I sait que faire des remakes, et encore quand je dis faire, je devrais dire défaire…

    - Chouchou dans la cuisne : MDR LOL PTDR.

    - Denzel : Arrête euh, Chouchou quoi ! I sait déjà pas faire les remakes…

    - Chris : Nan ben justement là, c’est une histoire canon, et il veut bien que je choisisse mon partenaire. Il veut un vi… un acteur qui a de l’expérience ! J’ai pensé à toi. T’en es ? T’en es ? Allez vi… Denz’ dis moi que t’en es ?

    - Denzel : ‘tain man ça craint.là ! J’ai déjà donné avec le Tony. Son histoire de métro c’était déjà pas bien jobard !!!

    - Chris : Ouais je sais, je sais. Mais là c’est une histoire de train…

    - Denzel  - oh putain, dis moi pas que c’est pas vrai qu’après le métro, je vais m’embarquer dans un train ? Bon, vas-y, balance la purée. C'est quoi le taf.

    - Chris : en gros, c’est un train qui, suite à une erreur humaine est lancé à plein à l’heure sur Philadelphie.

    - Denzel : merde mais c’est pas vrai ? ça tient un quart d’heure son affaire là ! Et moi je suis le gars qui aiguille les trains je parie ?

    - Chris : nan, toi t’es un chauffeur de train !

    - Denzel : et je suis dans le train ? et quoi ? j’appuie sur le frein et je rentre à la maison ?

    - Chris : ‘tain t’es drôle toi. Je le savais. Nan, dans le train y’a personne ! Toi au départ, t’as un taf pépère. Tu montes dans des locos, tu les amènes de là à là. Et le jour où l’histoire commence, tu fais équipe avec moi pour la première fois…

    - Denzel  : Ah oui ! Je vois, l’histoire du bleubite et du vieux briscard.

    - Chris  : Merde, toi t’es vraiment une tronche en scénar.

    - Denzel : et je parie que t’as des problèmes de couple ?

    - Chris : tu me la coupes Denz’, comment tu sais ? Oui, j’ai déconné un max avec ma meuf. J’ai fait mon jaloux, genre… J’ai même failli lui en mettre une et du coup, j’suis tricard chez moi. Je peux plus voir mon fils et je passe en conciliation mais pile le jour…

    - Denzel :  ouais, allez abrège. J’ai compris l’idée générale. Et à la fin, vu que t’es un héros, ta blonde elle te retombe dans les bras !

    - Chris : respect mec. Oui elle est blonde. C’est même le sosie de Charlize Theron mais en moche.

    - Denzel : ouais c’est ça man, j’ai un sixième sens. Et moi dans tout ça. Je fais quoi ? Y’a un peu de cul quand même ?

    - Chris : euh, du cul non. Toi, t’es veuf et t‘as deux filles, une de 18 et une de 19. T’as oublié de souhaiter l’anniv’ de la petite. Du coup elle fait la tronche et en plus t’as un peu la rage parce que pour se payer leurs études, elles font gogo danseuses dans un rade à marins…

    - Denzel : y’a des marins à Phillie ???

    - Chris : Nan, c’est pour l’image…c’est genre un bar moyen fréquentable que t’as un peu la chouma que tes filles elles y bossent avec un short ras la salle des fêtes quoi !

    - Denzel : my god, mais où c’est qu’ils vont chercher tout ça. Quand c’est que les scénaristes ils vont se remettre au taf. Et alors je sers à quoi dans ce bousin ?

    - Chris : ben vu que ça fait 28 ans que tu bosses là ben, après qu’ils aient envoyé la grosse artillerie, la cavalerie, et même GI Joe tout droit rentré d’Afghanistan en hélico (là j’ai pas bien compris) et que tout le monde s’est vautré… toi, tu proposes de lancer ta vieille loco à la poursuite du train fou de la mort qui tue ! Ah oui, j’ai oublié, le train il est rempli de produits toxiques que s’il explose ça te fait une catastrophe genre mille fois pire que Tchernobyl !

    - Denzel : Tcher" quoi ? Non laisse tomber et sinon ?

    - Chris : sinon ? Tu me demandes sinon ? Sinon quoi, mec ? Y’a de l’action, à un moment t’es sur le toit du train fou que t’as réussi à rattraper avec ta vieille loco et tu sautes de wagon en wagon. Tes filles elles te regardent à la télé et font « vazi papa, vazi papa » (t’as pigé la putain d’ellipse pour dire que ta fille est réconciliée ?). Moi je suis blessé au pied et je me prends des grains de maïs dans ma figure pendant que ma meuf qu’est réconciliée aussi, crie « vazi bébé, vazi bébé », elle m'appelle bébé dans le film. Tout le monde tremble. Dans le bureau des aiguillages tout le monde est debout genre « Houston on a un problème »…

    - Denzel : stop ! te fatigue pas j’ai compris. Et un détail là pendant que je te tiens, y’a de l’humour ?

    - Chris : de l’humour ? De l’humour ? Tu me demandes si y’a de l’humour. Bouge pas, tiens rien que pour te donner une idée, écoute ça. Au début du film, je me pointe dans le bureau pour t’annoncer que je bosse avec toi… y’a deux copains à toi qui me regardent d’un drôle d’air alors moi ça me gave et je dis : « y’a un problème les gars ? ». Un de tes potes me répond « ben, c’est qu’on aime pas trop bosser en crèche » (il dit ça c’est rapport à mon âge t’vois ?) et moi, aussi sec j’embraye « oui, ben c’est pas la joie non plus de bosser en maison de retraite" (c’est rapport au fait que vous êtes tous assez âgés pour être mon père t’vois ?). Alors, mec, t’en es ?

    - Denzel : merde quand même, je me demande si je ne suis pas trop vieux pour ces conneries…

    Chouchou ??? L’Oscar ! Ben, c’est pas encore pour cette année.

  • Le livre d’Eli de Albert et Allen Hugues °°

    Le Livre d'EliLe Livre d'Eli

    2012 est passé, depuis… mettons 30 ans allez ! Il n’y a plus rien, plus plus rien, des cendres, de la poussière, des carcasses de maisons, de voitures, de trains, d’avions, de ponts et des routes. Et sur une route : un homme, un homme qui marche !

    Et là, vous vous dites, « et oh ça te reprend, t’as la mémoire qui flanche ? Tu nous l’as déjà racontée cette histoire » (ici même par exemple ou encore là).

    Sauf que non, j’ai même toute ma tête, mais je suis d’accord, une route, l’apocalypse et son post, ça sent le réchauffé. Et ça l’est bien bien, réchauffé je veux dire, mais trop et trop mal.

    Ça commence pourtant pas trop mal car je n’irai pas jusqu’à dire que ça commence plutôt bien, parce que c’est joli tout plein, un peu noir et blanc, un peu sépia. On sent que les deux jumeaux (mouarf de Lol, si tu veux faire plus fort que les Dardenne ou les Coen… faut être jumeaux, sinon déjà que tu fais un film qui sent le moisi… bref !) ils ont bossé fort sur leurs petites machines numériques.

    L’homme sur la route c’est un bel homme. C’est toujours ça de gagné. C’est Denzel mais il s’appelle Eli sauf qu’on ne le sait pas encore. Et puis bon on sait qu’à un moment ou à un autre, c’est dans son contrat, Denzel il se désape, alors on patiente et on boit frais. Ça rate pas, il enlève presque tout et ça va, tout est bien ! Il se remet les roubignolles en place mais je n’ai pas compris pourquoi il fait ça. Si quelqu’un peut m’éclairer.

    L’homme, Denzel/Eli est seul sur la route, même pas un moutard à protéger ou pour lui tenir compagnie. Le soir il lit son livre, genre… il marmonne, il bouffe un chat, il partage son casse-dalle avec un rat (LOL) et quand le soleil se lève, il met ses lunettes parce que c’est une autre race de post-apocalypse, sans humidité et il a même l’air de faire un peu chaud rapport que le soleil il a pété la couche d’ozone et maintenant il carbure à toute berzingue. D’où les lunettes. Sinon, tu crames.

    Donc, le gars Eli il marche sur la nationale 66 et parfois il rencontre des hordes à pieds et à lunettes. C’est méchant les hordes, ça viole les femmes, ça tue les mecs et ça les bouffe. La routine post apocalypse. Comment tu sais que c’est des hordes ??? Ben ils tremblent et ils ont les dents pourries. Les autres comme Eli, mais pour l’instant on n’a vu que lui, ne tremblent pas et ont des chicots ultra brite.

    Eli c’est un gars cool qui prévient quand il rencontre une horde (la horde cherche TOUJOURS les ennuis) :

    « - j’veux pas d’ennuis qu’il dit. (sauf que juste avant il leur a dit qu’ils puaient le chacal les gars de la horde et moi je trouve que c’est moyen urbain comme entrée en matière…).

    -Oh l’autre, i veut pas d’ennui qu’y dit. Tu vas nous filer ton sac et plus vite que ça nanmého ! mouarf mouarf mouarf… pas d'ennui, j't'en foutrai !

    - euheuh nan, les mecs, j’y f’rai pas, j’t’y donne pas mon sac ! tiens prends ça (qui dit Eli en lui foutant une mandale),

    - non mais l’autre comment qu’il m’a donné une mandale nanmého !!!

    - si tu poses encore la main sur moi, tu repars sans ».

    Sans ta main qu’il veut dire.

    Et l’autre de la horde, il retouche Eli et là, Eli il sort son canif et en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « tarte aux myrtilles » il décapite tous les mecs. Ça fait des schlacks et des schlocks et le sang gicle, et les têtes volent et la musique fait zim boum ! Et le voilà qui repart sur la route.

    Plus loin, il croise une autre horde à moto cette fois, qui viole une femme tue un mec et le bouffe mais là, il n’intervient pas, il dit plusieurs fois : « n’interviens pas, ça ne te concerne pas, chacun sa route, chacun son chemin, passe le message à ton voisin ». Et il tient sa parole qu’il s’est faite à lui-même.

    Il arrive au ralenti dans une ville qui ressemblerait à une ville de western si on était dans un western mais là elle ressemble à une ville de post-apocalyptique. Il marche au milieu de la rue, tout le monde le regarde. On voit bien qu’il est pas le bienvenu mais lui il s’en cogne, fier comme un bar tabac il va au saloon. Ah non, d’abord il va chez Tom Waits recharger son MP3 et Tom lui prend un torchon et des gants pourris en échange. Heureux qu’il est. Tom, pas Eli. Eli got a micheune don't forguette.

    Au saloon, il tombe sur Gary Oldman qu’est devenu laid comme un pou entre temps et qui lit le manuel du parfait petit dictateur mais il veut le livre. Je veux dire LE Livre d’Eli. En fait c’est le livre qui sait tout sur tout et que Gary comme ça il aura les mots qu’il faut pour rendre les demeurés qui sont avec lui dans sa ville merdique encore plus débiles. Il sera le chef avec les vrais mots, les mots de la Bible. Parce qu’en fait le Livre d’Eli c’est rien moins que La Bible, The Holly Bible du roi Jacques (King James) la traduction de la Bible en anglais réalisée sous le règne de Jacques Ier d’Angleterre tu comprends. Plus tard, on verra Malcolm McDowell (bien bien laid aussi avec des cheveux jusque là et un pif comme un groin de cochon) qui réécrit des livres dans la prison d’Alcatraz qui est devenue le seul endroit où il fait bon vivre sur la terre. Y’a même de la verdure et des petits oiseaux qui chantent. On croit rêver.

    Bon alors, je ne te fais pas un dessin, entre celui qui veut la Bible et l’autre qui veut pas la donner, ça craint du boudin et ça chie des bulles carrées.

    Y’a aussi l’intervention d’une minette très lookée bourgeois bohême avec la bouille d’Angelina Jolie (mais avec un gros nez et des gros yeux globuleux) qui va se coller aux basques de Denzel alors qu’il ne veut pas. Lui, il veut juste aller à Alcatraz, à l'Ouest. Mais tu sais comment sont les filles. Et là, les ennuis ont pas fini de commencer avec toutes ces hordes qui pensent qu’à violer les filles. Heureusement Denzel a son canif.

    Tu l’as compris ce bousin biblique nous explique que quand il n’y a plus rien il reste la foi et patati et patata et si tu crois pas celle-là, on t’en racontera une autre.

    Si j’avais un cœur je dirais que ça fait mal de voir des Denzel, des Malcolm et des Gary se déprécier dans ce genre de macédoine mystique mais je crois que finalement je ne peux même pas les plaindre car j’imagine qu’ils sont persuadés d’avoir délivré un message.

    Au secours !

    Tu peux me remercier j'ai même pas spoilé... pourtant y'avait matière à. MDR.