Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

A CURE FOR LIFE

de Gore Verbinski °°

159175_jpg-r_1280_720-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

Avec Dane DeHaan, Jason Isaacs, Mia Goth

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Synopsis : Lockhart, jeune cadre ambitieux, est lancé sur la trace de son patron disparu dans un mystérieux centre de bien-être en Suisse.

Pris au piège de l’Institut et de son énigmatique corps médical, il découvre peu à peu la sinistre nature des soins proposés aux patients. Alors qu’on lui diagnostique le même mal qui habite l’ensemble des pensionnaires, Lockhart n’a plus d’autres choix que de se soumettre à l’étrange traitement délivré par le centre…la Cure.

Prenez une goutte de Shutter Island, une pincée de Vol au bout d'un nid de coucou, ajoutez un zeste de Gore Verbinski, quelques autres références du genre que j'ignore évidemment, saupoudrez d'un acteur inquiétant dont on sait dès la première apparition qu'il va faire son cake (Jason Isaacs), d'un acteur à cernes (Dane DeHaan) et d'une actrice moche virginale et chétive, secouez mollement et vous vous retrouvez face à ce machin chic et toc.

On se demande comment ce pauvre Lockhart s'y prend pour mettre deux heures et 27 minutes avant de comprendre d'où vient le mal qui atteint les curistes arrivés en bonne santé et repartent les pieds devant.  Dès les premières scènes et les plans insistants sur les verres d'eau, on a compris. Lockhart lui, s'applique à boire consciencieusement et goulument moult rations du breuvage. Le scenario, sans queue ni tête mélange tout, une légende vieille de deux siècles, des villageois apeurés et inquiétants, une princesse aux pieds nus qui attend son papa et aura ses règles, et un mini loup de Wall Street également bien chargé en traumas familiaux.

Les décors et lumières sont gris soyeux à Wall Street, blanc lumineux chez les curistes et ocre doré lorsque ça vire au porte nawak. Rien ne tient debout et le dernier tiers semble s'écrire au fur et à mesure tant il part dans tous les sens et multiplient les conclusions de plus en plus débiles. Next.

Commentaires

  • J'adore quand tu détestes !
    Mais tout ce que tu décris là se voyait quand même dans la bande annonce, qui ne donne pas trop envie d'y aller. Même lors de mon prochain long voyage en avion, avec 2 cachets dans le goulot pour dormir, je crois que je n'aurai pas le courage de regarder cette daube.
    Donc, comme toujours, je m'en tiens à ton commentaire

  • Rien que pour voir le jeu atone de la Mia, jettes-y un oeil avant de sombrer :-)
    Et moi je suis une faible femme tu sais bien. J'ai craqué pour Dane De Haan qui fait de son mieux ici. Pour une fois qu'il a le premier rôle, il y va le choupinou !

  • Bon, OK. Mais c'est bien parce que tu insistes, hein

  • Merci. Quand tu le verras je l'aurai sans doute complètement oublié.

  • je viens de voir le film et c'est la "critique" la plus terre à terre et superficielle que j'ai pu lire aucune analyse, rien, le néant. Le film bien qu'avec pas mal de défauts a plusieurs degrés de lecture et vous vous êtes arrêté au niveau zéro. next.

  • Buvez donc un verre d'eau.

Les commentaires sont fermés.