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paris cinema

  • PARIS CINEMA, suite et fin

    Je suis rentrée dans mes pénates provinciales rassasiée de cinéma, de rencontres et de retrouvailles. C'était bien bon, sans fausse note. J'intègre et savoure ces treize journées parfois trépidantes mais toujours exaltantes. Merci au "staff" qui a permis que je sois là et bravo pour leur présence et leur enthousiasme communicatif. Merci à mes "collègues" jurés si différents, si charmants, certain(e)s plus que d'autres évidemment... Et ceux qui diront encore que les filles ensemble ne peuvent s'entendre... quelle équipe, pas vrai les filles ?

    Et merci à Robichou qui est venu me chercher dans son carrosse, a traîné ma valise et m'a mise dans le train !

    Voici les dernières photos réalisées par Pierre-Antoine Schipman un des photographes du Festival.

    Le jury des étudiants en pleines délibérations.2266.jpg 

    Le jury des blogueurs attendent deux retardataires pour commencer à... délibérer !
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    Le jury des pros. You Hou les pros ??? Z'avez vu ? On était là !
    Ma vue baisse où ils ont eu des trucs à grignoter ???
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    Le jury des étudiants :2267.jpg

    Et puis "nous" :

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    Rob/Thomas, Sandra In the Mood, Benoît, Anne-Soizic (à peine t'as décollé ??? pffff), Joachim the Jumper (comment t'as fait ça ???), Edouard (tu jumpes avec les bras en bas toi ?) et moi-même, bon !

  • PARIS CINEMA - PALMARES - CLÔTURE

    13 jours un peu étourdissants se sont achevés hier soir par la soirée de clôture au MK2 Bibliothèque. Avant la projection du dernier film de Stephen Frears "Tamara Drewe" (qui me laisse sans voix de consternation !), le Palmarès a été présenté par Aude Hesbert, déléguée générale et directrice artistique

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    Anne Barjot, secrétaire générale et directrice de la communication et des partenariats

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    et Charlotte Rampling, actrice cinéphile et Présidente du Festival depuis 5 années, particulièrement attachée à ce festival.
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    Les différents jurys ont récompensé les films suivants :

    La Rivière Tumen de Zhang Lu  

    a reçu le Prix du Jury,

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    Cleveland contre Wall Street de Jean-Stéphane Bron

    a reçu le prix du Public,

    La Rivière Tumen de Zhang Lu 

    a reçu le prix des étudiants,

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    Le Braqueur de Benjamin Heisenberg

    a reçu le Prix des Blogueurs.

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    Et puisque l'heure est aux remerciements et parce que cette 8ème édition du Festival Paris Cinéma inaugurait pour la première fois cette année la participation d'un jury de 7 blogueurs cinéphiles dont j'ai eu le bonheur et la chance de faire partie, je tiens absolument à remercier le plus chaleureusement possible l'équipe du Festival pour son indéfectible passion pour le cinéma et son inaltérable bonne humeur. C'est rien de dire qu'à aucun moment on ne voit peser sur eux la pression que représente la gestion d'un tel événement. Toujours souriants, disponibles, agréables, patients, ce fut un réel bonheur de vous rencontrer et de vous croiser régulièrement tout au long de ces (presque) deux semaines.

    Aude Hesbert, Anne Barjot, Caroline Vautrot, Alexandra Arnal, Dimitri Larcher, Adrien Castelnau, Mathilde Pinçon... c'est vous que j'ai le plus souvent croisés. Alors merci infiniment à vous de m'avoir choisie, moi, pour faire partie de cette équipe et de m'avoir permis de vivre en immersion complète sur la planète cinéma qui est l'un des rares endroits où je comprends à peu près ce qui se passe. J'ai pu voir des films de tous les horizons, de toutes les nationalités (ou presque), des bons, des moins bons, des drôles, des dramatiques. Et puis, retrouver toutes ces personnes qui font partie de ma vie à présent et que j'ai rencontrées grâce à ce blog, certaines depuis plusieurs années déjà et parfois pas uniquement parce que nous partageons la même passion : Sandra M., FredMJG, Osmany, Maan, Bernard Blancan, Emma, Florian, rencontrer enfin Rob GordonJonathan, Pierre-Loup,  Sonia (qui m'a fait boire mon PREMIER Mojito Salade) et Maya De Ben Couscous, et faire la connaissance de la femme de Raoul Anne-Soizic que je suis ravie d'accueillir dans la secte, mais aussi de Vincent membre du jury des étudiants, d'Edouard l'Eugène Green's addict aux pulls fluos, Joachim qui parle beaucoup plus fort après sa 7ème coupe de champagne et Benoît.

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    Le jury blogueurs décontracté !
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    Elia Suleiman en pleine réflexion
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    Joachim à la recherche du buffet
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    Edouard s'illumine en présence de son idole Eugène Green.
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    Vincent et Anne Soizic montrent les dents
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    Les trophées.
  • LE BRAQUEUR de Benjamin Heisenberg*** - PARIS CINEMA

    FILM EN COMPETITION - Autriche-Allemagne

    Johann Retterberger court sans cesse. Dans la cour de la prison et dans sa cellule où un tapis de course lui a été installé, vraisemblablement pour aider à sa reconversion à sa sortie. Mais Retterberger n'est pas très coopératif avec son agent de probation qui lui demande, inquiet, ce qu'il compte faire lorsqu'il sera de nouveau libre. L'inquiétude est d'ailleurs tout à fait justifiée puisque dès sa sortie Retterberger se remet à braquer des banques. Il porte sur le visage un masque mi effrayant mi ridicule et échappe toujours à ses poursuivants grâce à ses talents de coureur . Entre deux hold-up il participe à des marathons qu'il remporte. Aucune de ces deux activités ne semblent lui apporter la moindre satisfaction. Une improbable histoire d'amour viendra un temps l'humaniser et l'ouvrir à des sentiments qu'il découvre...

    Totalement dépouillé de toute psychologie ce film est un choc brutal qui met le spectateur en tension croissante. Ce que j'aime. J'aime les courses effrenées où la musique percutante accélère le rythme cardiaque. J'aime ce personnage froid, totalement individualiste qui emplit des sacs de billets de banque manifestement sans but, sans qu'en tout cas on ait la moindre explication. Il avance, conditionné par un instinct de survie hors du commun ou une addiction irrépressible.

    Beaucoup moins convaincante et réussie est l'histoire d'amour. Néanmoins ce film est littéralement porté par un acteur génial, impassible et glacial, Andreas Lust, dont les comportements sont parfois traversés d'éclats de violence insensés, et qui m'a entraînée dans sa course.

  • CLEVELAND CONTRE WALL STREET de Jean-Stéphane Bron * - Festival Paris Cinéma

    FILM EN COMPETITION - FRANCE

    Les habitants de la ville de Cleveland sont frappés depuis plusieurs années par des saisies, expulsions, ventes aux enchères de leurs maisons parce qu'ils ne parviennent plus à rembourser les crédits qu'ils ont contractés. Les quartiers défavorisés à l'Est de la ville sont particulièrement touchés car ils semblent avoir été victimes d'une vente massive de subprimes censés résoudre leurs problèmes ce qui n'a évidemment fait que les engloutir davantage compte tenu des taux de ces crédits.

    La forme et le fond de ce documentaire en forme de fiction sont intéressants. Le résultat est décevant. Le réalisateur a organisé un procès de la Ville de Cleveland contre Wall Street. Ce procès n'a jamais eu lieu mais l'originalité très séduisante du projet consiste à faire "jouer" tous les rôles par de véritables victimes de subprimes, de véritables avocats etc...

    La possibilité pour ces victimes d'obtenir un espace de parole est indéniable. So what pour eux ? Et moi qui pensais me perdre dans les méandres économico-banco-politico-financiers auxquels je n'aurais évidemment rien compris, me suis finalement retrouvée devant une espèce d'émission de télé réelle où l'on ne nous dit rien d'autre que les pauvres sont pauvres, les riches sont riches et de plus en plus. Le monde est cruel et injuste et Obama ne tient pas ses promesses. Chaque scène de tribunal nous dévoilant les quartiers dévastés de la ville sur une pianistique musique classique... Simpliste.

  • PARIS CINEMA

    CHANCEUX PARISIENS : PROFITEZ-EN, NE BOUDEZ PAS !

    affiche 2007

    En quatre éditions seulement, le Festival PARIS CINÉMA s'est imposé comme un événement cinématographique majeur du début de l'été à Paris (70 000 spectateurs en 2006).

    PARIS CINÉMA propose :

    - une programmation foisonnante et ambitieuse dans ses choix (600 projections, 450 films présentés, plus de 200 invités accompagnant les programmes

    - une vingtaine de lieux de projections ou d'événements à travers tous les arrondissements de Paris),

    -  une entrée libre pour certains événements ou à un tarif exceptionnel de 4€ la séance dans les salles, ouverte à tous et pour tous les publics : enfants, cinéphiles, touristes anglophones, étudiants, curieux et passionnés, professionnels...et même randonneurs,

    - des cinémas à volonté, à consommer sans modération ! Pour cela, et pour la première fois cette année, PARIS CINÉMA met à votre disposition un Paris CinéPass, personnel et nominatif, proposé à la vente en ligne dès le mois de mai 2007, au tarif exceptionnel de 20 € pour un accès illimité à toutes les séances et dans toutes les salles de PARIS CINÉMA !

    La sélection officielle, les invités, les avant-premières, les évènements, les ateliers, le plein air, l’ambiance… retrouvez tout ici !