Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

christoph waltz

  • DOWNSIZING

    d'Alexander Payne ***

    0085227_jpg-r_1280_720-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgy

    Avec Matt Damon, Christoph Waltz, Hong Chau, Udo Kier

    Synopsis : Pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille d’environ 12 cm : le "downsizing". Chacun réalise que réduire sa taille est surtout une bonne occasion d’augmenter de façon considérable son niveau de vie.

    Lire la suite

  • TARZAN

    de David Yates °

    tarzan de david yates,cinéma,alexander skarsgard,margot robbie,christoph waltz

    Avec Alexander Skarsgard, Margot Robbie, Christoph Waltz, Samuel L. Jackson

    Synopsis : Après près avoir grandi dans la jungle africaine, Tarzan a renoué avec ses origines aristocratiques, répondant désormais au nom de John Clayton, Lord Greystoke. Il mène une vie paisible auprès de son épouse Jane jusqu'au jour où il est convié au Congo en tant qu'émissaire du Commerce. Mais il est loin de se douter du piège qui l'attend. Car le redoutable belge Leon Rom est bien décidé à l'utiliser pour assouvir sa soif de vengeance et sa cupidité…

    Lire la suite

  • 007 SPECTRE de Sam Mendes ***

    344427_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Synopsis : Un message cryptique surgi du passé entraîne James Bond dans une mission très personnelle à Mexico puis à Rome, où il rencontre Lucia Sciarra, la très belle veuve d’un célèbre criminel. Bond réussit à infiltrer une réunion secrète révélant une redoutable organisation baptisée Spectre.

    Lire la suite

  • DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino ****

    Django Unchained : affiche

    En 1858 alors que la guerre de sécession n'a pas encore commencé aux Etats-Unis, un ex dentiste allemand, reconverti en chasseur de primes débarque dans son drôle d'équipage : un chariot coiffé d'une dent brinquebalante. Il achète et affranchit Django, un esclave noir qui pourrait l'aider à retrouver les frères Brittle. En échange, il lui promet la liberté dès que les frères seront hors d'état de nuire, Django étant le seul à savoir à quoi ils ressemblent physiquement. Django veut de son côté mettre à profit cette collaboration pour retrouver son épouse Broomhilda dont il fut séparé en raison du trafic d'esclaves. Et sur ce point Schultz peut aider Django. Séduit par le zèle et les dispositions de Django à éliminer les criminels recherchés, Schultz propose une collaboration. C'est ainsi que Django va devenir le premier et sans doute le seul ex esclave noir chasseur de primes. Les choses se compliquent dès lors que les deux hommes retrouvent la plantation dans laquelle Broomhilda est détenue, celle du puissant et cruel Calvin Candie, régentée par le non moins abominable Stephen, homme noir, traître à la cause et dévoué corps et âme à son patron.
    Ceux qui suivent ce blog depuis... bientôt 7 ans (en mars) à présent savent que j'ai été élevée depuis quasiment le berceau à coup de westerns et j'ai hanté les salles de cinéma dès l'âge de 5 ans. Même si je connais toutes mes princesses Disney sur le bout des doigts, ma madeleine à moi c'est le western. Genre que je chéris entre tous.

    Hommage, renouvellement ou renaissance peu importe. Celui-ci est du grand art, un vrai film d'auteur unique en son genre, extravagant et singulier. Un film qui dévaste tout sur son passage et imprime directement dans la rétine et les oreilles des images et des sons mémorables. Un film libre, insolent et ambitieux.Tarantino nous rappelle une fois encore à quel point le cinéma peut être ouvert et TOUT se permettre, sans limite. Dans ces Inglourious Basterds, c'est par le cinéma qu'il offrait à Shosanna la possibilité d'une vengeance juive sur les nazis en éliminant purement et simplement Hitler et ses plus fidèles collaborateurs. Ici il donne à des esclaves noirs la possibilité de se libérer de leurs chaînes et des blancs tellement convaincus de leur supériorité (démonstration faite crâne en main par Calvin Candie que les noirs ont la "bosse de la servilité" hyper développée). Mais l'effronterie ne s'arrête pas là et Tarantino offre une petite vengeance allemande en permettant à un acteur et personnage allemand d'observer la cruauté des américains blancs sur leurs semblables. C'est assez savoureux de voir ainsi s'affronter l'érudition du Docteur Schultz (Christoph Waltz, une nouvelle fois splendide et orateur hors pair) face à l'ignorance un peu crasse parfois de ses concitoyens étasuniens !

    Mais cette fois Tarantino ne refait pas l'histoire à sa sauce ketchup, pas plus qu'il ne nous livre un pensum indigeste et manichéen sur l'esclavagisme. Il n'y a pas d'un côté les gentils noirs contre les méchants blancs. Les personnages tarantinesques ont toujours suffisamment d'ambiguïté pour ne pas être ou tout blancs ou tout noirs. Ils ont toujours ce petit côté "basterd" qui les rend finalement plus humains donc plus cruels voire sadiques. Ainsi chacun a de bonnes raisons de se "servir" de l'autre pour arriver à ses fins. Django cherche comme nombre de personnages tarantinens à se venger alors que Schultz n'est que vénalité. Schultz n'hésite pas à tirer sur tout gêneur et commente ensuite son geste par une longue et implacable tirade explicative. Quant à Django, contraint de jouer le rôle improbable et inédit du noir chasseur de primes, il n'hésitera pas à assister à l'exécution, quasiment le martyre d'un de ses pairs pour convaincre. Cependant, il est évident que la complicité et la connivence de Schultz et Django évoluent peu à peu vers une amitié sincère, profonde et réciproque.

    Le réalisateur ne se contente pas non plus de se contempler en train de filmer un grand western dans des paysages somptueux avec ralentis, musique comme toujours idéale, sa réalisation est ample et magistrale, il parvient à faire de son affaire de mecs plus opportunistes les uns que les autres une grande histoire d'amour. Car quel est le but ultime de Django sinon de retrouver sa douce et sublime Broomhilda ? Et, que d'aventures et de sang versé ATTENTION SPOILER, clic gauche sur la souris si vous voulez lire avant de l'entendre prononcer ces mots : "It's me baby !" ?

    Alors bien sûr, c'est violent (très), bavard (très, très), mais aussi drôle (la scène du Ku Klux Klan est un sketche à mourir de rire !), très sérieux, délirant, extravagant, insensé. C'est du pur Tarantino, mais c'est plus et mieux encore que les autres fois. Dans quelle oeuvre cinématographique peut-on trouver un dandy allemand du far-west, un noir chasseur de blancs, un blanc sadique, une esclave noire qui s'appelle Broomhilda et parle allemand... une scène sublime où Schultz raconte à Django comment Siegfried héros wagnérien s'y prend pour retrouver sa bien-aimée Brünnhilde ?

    Et forcément, et comme toujours la direction d'acteurs est irréprochable tout comme la jubilation évidente des acteurs à faire partie de l'aventure tarantinesque. Christoph Waltz est magnifique. On pouvait craindre au début un copier/coller de son personnage du nazi Lambda des Inglourious. Il n'en est rien et son personnage est beaucoup plus subtil puisqu'il évolue et l'acteur incroyablement sobre. Jamie Foxx est impérial à ses côtés. Samuel L.Jakson se fond admirablement dans le rôle du "nègre" renégat. Et Leonardo DiCaprio assume avec délectation son premier rôle de méchant irrécupérable. Aucune rédemption, aucun remords pour son Calvin Candie. Ce garçon est décidément bien l'un des plus grands acteurs actuels. La preuve ! Les Oscar l'ignorent à nouveau et se contenteront sans doute de lui offrir à 85 ans un Oscar pour l'ensemble de sa carrière où l'on découvrira les plus grands noms de réalisateurs et quelques chefs-d'oeuvre, dont celui-ci.

  • DE L'EAU POUR LES ELEPHANTS de Francis Lawrence *(*)

    DE L'EAU POUR LES ELEPHANTS de Francis Lawrence, robert pattison, reese whiterspoon, christoph waltz, cinémaDE L'EAU POUR LES ELEPHANTS de Francis Lawrence, robert pattison, reese whiterspoon, christoph waltz, cinémaDE L'EAU POUR LES ELEPHANTS de Francis Lawrence, robert pattison, reese whiterspoon, christoph waltz, cinéma

    En 1931, aux Etats Unis, l'avenir de Jacob semble tout tracé. Il ne lui reste plus qu'à passer son diplôme de vétérinaire pour voler de ses propres ailes. Sauf que le jour même de son examen, c'est le drame. Ses parents meurent dans d'atroces souffrances. Il découvre que son père s'est endetté jusque là pour payer ses études et voilà donc Jacob soudainement misérable à traîner sur les voies de chemins de fer avec sa valise en carton qu'il ne tardera pas à lâcher pour sauter dans un joli wagon rouge. Ce train est celui d'un cirque itinérant qui tente tant bien que mal de survivre à la grande dépression. Le cirque est dirigé par August, un type cruel, lunatique, paranoïaque et jaloux qui n'hésite pas à balancer certains de ses employés hors du train pour ne pas avoir à les payer, entre autres caprices. Malgré ce tempérament impossible, entre Jacob et August se crée une étrange relation faite alternativement de confiance et de suspicion. Lorsqu'il prend à Jacob l'étrange idée de tomber amoureux de Marlène l'écuyère et femme d'August, l'ambiance vire à l'aigre !

    De mon temps, à une époque que les moins de... (ah oui quand même !) ne peuvent pas connaître, j'avais vu des merveilles cinématographiques qui avaient pour cadre le milieu du cirque "Le plus grand cirque du monde" d'Henry Hathaway avec John Wayne en grand patron et encore mieux "Sous le plus grand chapiteau du monde" de Cecil B. de Mile. Ces deux splendeurs réunissaient une flopée de stars qui assuraient plus que leurs numéros : Claudia Cardinale, Rita Hayworth, Charlton Heston, Cornel Wilde, James Stewart, Gloria Grahame, Dorothy Lamour... et c'était magique, magnifique. Le genre de films qu'on peut voir et revoir, qui ne vieillissent jamais et qui procurent toujours les mêmes sensations. Des chefs-d'oeuvre sur lesquels le temps n'a aucune prise !

    Il n'en va pas de même pour cette eau pour éléphants (car oui, il y a une jolie éléphante pleine de tâches de rousseurs et qui parle polonais) qui ne restera pas bien longtemps dans les mémoires tant un ennui poli s'installe rapidement devant ce roman à l'eau de rose cousu de fil blanc sans la moindre surprise, malgré toute l'application et la magnificence mises dans l'entreprise.

    Qe dire des acteurs. Les garçons s'en sortent mieux que la fille. En effet, Reese Whiterspoon, parée de costumes de scènes particulièrement affreux, semble curieusement absente de l'histoire humaine mais très très proche des animaux.

    Christoph Waltz est tel qu'on le connaît, séduisant, classe, sexy et distingué. Mais il serait temps qu'un réalisateur fasse preuve d'imagination et lui offre autre chose que des rôles de nazis prompts à torturer hommes, femmes et animaux. Merci.

    La question est donc : Robert Pattinson peut-il se sortir de l'impasse Edward Cullen ? Et la réponse est OUI. J'ai décidé  alors que je considère "Twilight" comme un mauvais film mal interprété, de défendre Robert Pattinson, car outre un nez absolument impossible... il fait tout ce qu'on peut espérer d'un acteur digne de ce nom. Il rit, pleure, émeut, se fâche, se bat, tombe amoureux, s'amuse, danse, se grime, se travestit, flirte avec une éléphante avec des taches de rousseur... La star du film n'est ni l'eau, ni l'éléphant, ni Reese, ni Christoph, c'est Robert Pattinson.

    C'est dit ! Même pas peur.

  • THE GREEN HORNET de Michel Gondry *

    19623236_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20101217_102353.jpg19476028_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100712_025251.jpg19590303_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20101115_033333.jpg

    A la mort de son père Brit Reid hérite du journal le Daily Sentinel dont il était le patron. Aussi incompétent que stupide et maladroit Brit décide de donner un petit coup d'accélérateur et un sens à sa vie en devenant un super héros, mais sans collant. Il choisit le nom de Green Hornet en mémoire de son père qui est mort d'une piqûre d'abeille. Logique. Il s'adjoint les services de l'indispensable Kato, maître en arts martiaux qui était déjà au service du père qui le considérait comme son larbin, ce que le fils va tenter de perpétuer. Mais Kato, bien que fidèle a de la dignité.

    Pas grand chose à dire sur ce petit divertissement pas désagréable, sitôt vu, sitôt oublié, un peu drôle, un peu mouvementé et un peu long... mais qui possède UN atout monumental, le personnage de Kato et l'acteur qui l'interprète Jay Chou (qui l'est ! Chou !).

    La 3D est absolument inutile et sans intérêt mais comme les lunettes sont devenues des poids plumes, on les oublie instantanément. A l'instar de la 3D, Cameron Diaz ne sert à rien. Et l'acteur Seth Rogen, sans charme et pas drôle est totalement transparent. Je pense que pour jouer le rôle d'un crétin intégral il ne faut pas autant avoir la tête de l'emploi sinon, ça ne fait pas du tout rôle de composition. Je reconnais que je ne suis pas fan de Judd Apatow et que je n'ai pas vu les précédentes prestations de Seth Rogen, mais bon sang que cet acteur est mauvais.

    Alors pourquoi **, m'objectera la Pyrénéenne ??? Et bien pour Jay Chou qui est drôle, séduisant et malin et qui désintègre son partenaire. Il est évident que cette quiche de Frelon Vert ne serait rien sans Kato qui possède de multiples dons et pouvoirs comme d'anticiper l'action et de tatanner à bon escient, contrairement à cette endive d'insecte prédateur qui multiplie les gaffes. Il est évident que le super héros, c'est lui. Quant au très méchant, il nous donne l'occasion et le bonheur de revoir l'élégant et séduisant Christoph Walz qui nous avait subjugué dans "Inglourious Basterds". Deux acteurs affriolants, quelques scènes rigolotes, une voiture bourrée de gadgets la "Black Beauty" et bricolée par ce petit génie de Kato, cela suffit à passer deux heures pas désagréables. Sans plus, mais pas moins.