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  • THE GRANDMASTER de Wong Kar-Waï °°

    The Grandmaster : Affiche

    Un vieux maître du nord (ou peut-être du sud) de la Chine, à la tête de l'Ordre des Arts Martiaux sentant sa fin prochaine veut passer la main et trouver lui-même son successeur.

    Un combat amical doit avoir lieu et désigner le meilleur d'entre tous.

    Ip Man (prononcez YipMan), maître du sud (ou peut-être du nord) s'en vient combattre tous les grands maîtres du sud ouest (ou peut-être du nord est) et démontre qu'il est pas mauvais en castagne. Même son chapeau blanc ne tombe pas.

    Ip passe plusieurs ateliers et combat des vieux roudoudous qui ont de jolies ballerines. Il affronte le grand maître très menaçant : "si tu casses mon biscuit, c'est que t'es le plus fort !!! (gros gros fourire entre le Warrior et moi-même... j'ai cru que j'allais devoir quitter la salle ou faire pipi sur place).

    Personne a jamais cassé mon biscuit autant que tu le sâches".

    Il casse le biscuit. Il est fort.

    Puis il se bat contre la fille du grand maître du début. Elle connaît la Botte de Nevers et lui met une râclée. Celui qui casse un meuble est le vainqueur.

    Elle lui montre ses 64 mains et lui ses 8 pieds. Il lui dit "montre moi ta fleur sous ta feuille". Elle dit... elle dit rien en fait, genre "t'es pas celui à qui je montrerai ma fleur". Elle finit assise sur la rampe d'escalier fière comme un bar tabac et lui s'en va avec un sourire en coin. Genre, même pas peur.

    Le vieux du début est assassiné par un traître. La fille veut se venger. Mais ça ne se fait pas. Les filles doivent se marier et faire des enfants. "Tant pis je me vengerai quand même" qu'elle dit. Alors le train passe pendant 10 minutes et elle se venge. Mais elle saigne de la bouche. Du coup, elle fume de l'Opium et écrit des lettres : "avec ma fleur sous ma feuille je rêve de toi".

    Ip Man s'en bat le chifumi, il a une femme et deux enfants en 1936 mais il écrit des lettres : "celui qui se couche avec le..." non pas ça "si tu ne regardes pas en arrière c'est que tu vas de l'avant". Non, "si tu vis dans le présent, c'est que l'avenir te regarde"... Euh, non, "si tu t'intéresses au passé..." Enfin bref.

    Pendant quarante ans, il est très très riche et n'a pas besoin de travailler. Sa vie est un éternel printemps. Joie. Sa femme lui lave le torse avec une éponge, il lui lave les jambes avec un chiffon. Ils se regardent et font des enfants. Mais les filles,  ça sert à rien alors il les laisse crever de faim.

    Après c'est l'hiver. Tout le temps. Il neige.

    Ip va connaître l'impérialisme, la république, l'invasion japonaise, la guerre de sécession pour finir avec un passeport hong-kongais sous la bannière d'Elizabeth deuxième du nom. Il va créer une école de formation de petits scarabées et aura pour élève Bruce Lee. Mais ça, c'est une autre histoire qui nous sera contée dans The GrandMaster II, le retour du KungKungFufu si on est très sages. Je sens que je vais être très très vilaine.

    Pourquoi mais pourquoi ce film ?

    Alors réglons la question du comment. C'est sublime. Tout en ocre et en noir, en ombres et en scintillements. Les ralentis ralentissent admirablement et les accélèrés accélèrent comme des pros. Les combats sont de somptueuses chorégraphies (même si je regrette l'absence de combat dans les bambous) et Monsieur Wong filme comme personne la pluie, les gouttes qui s'écrabouillent dans les flaques et les combats dans la fausse neige. Ses gros plans interminables sur ses deux magnifiques et imperturbables acteurs (enfin surtout Tony Leung je t'aime d'amour Chiu Wai) sont... interminables. Et la musique est sublime, parfois très Ennio Morriconnienne. Ce qui n'est pour me déplaire

    Mais sinon. Why ? Pourquoi ? Perche ?  为什么 ???

    On n'y comprend rien de rien. Les personnages apparaissent et disparaissent. On passe d'une époque à l'autre, sans transition, sans justification. La leçon d'histoire tombe comme un cheveu sur la soupe. Les personnages sans âme ne s'expriment que par citations tarabiscotées de Lao Tseu pour changer la vie. Et un quart d'heure avant la fin, Monsieur Wong nous explique qu'on a failli voir un film d'amour, oh et puis non. Puis il nous somme de nous émouvoir sur le destin de personnages qu'il a fait disparaître sans raison...

    Alors le code de l'honneur, la vengeance et tout le tralala, on s'en cogne un peu. Quand le sublime ressemble autant à un big big porte nawak, on quitte la salle un peu énervé.

  • LES GAMINS de Anthony Marciano **

    Les Gamins : affiche

    Thomas rencontre Lola et boum patatra c'est le coup de foudre. Les deux jeunes gens ont le même humour, alors chabadabada ! Mais Lola présente Thomas à ses parents et là, c'est le drame. Gilbert, le père de Lola, est en pleine déprime et crise de la cinquantaine. Il ne supporte plus sa femme dont il ne voit plus que les défauts. Gilbert parvient à semer le doute et le trouble dans l'esprit pas bien fini de Thomas et réussit à le convaincre que le mariage est un tue-l'amour et qu'il devrait y regarder à deux fois avant de s'engager.

    Les deux gamins du titre, deux ados totalement débridés sont donc ce trentenaire et ce cinquantenaire ingérables, irresponsables, persuadés que la vie n'est qu'une succession de fêtes. Ils vont donc s'en donner à coeur joie car chacun trouve en l'autre son double, son alter ego.

    J'ai ri, mais j'ai ri !!! J'en ris encore tiens. Ce manifeste régressif , cette plaisanterie immature est totalement hilarante pendant une heure. Situations insensées, répliques bas de plafond, délires ados... les deux compères ne craignent pas le ridicule et ne sont pas avares de leur agitation. Et puis deux "guests" en mode parodie viennent achever l'hystérie ambiante.

    Alors pourquoi, mais POURQUOI Anthony Marciano a t'il bifurqué si près du but ? Pourquoi a t'il transformé son délire en rom'com ordinaire en faisant rentrer ses deux zigotos dans le droit chemin ? Pourquoi n'est-il pas allé au bout de cette comédie barrée, pas trop méchante mais un peu quand même, et politiquement incorrecte mais pas trop non plus ??? Dommage. La fin est ratée, complètement. Et la scène lors d'un sommet international (ça vient faire quoi exactement ici ???) où les propos d'un iranien sont "mal" traduits n'est pas drôle du tout. Mais alors pas du tout, du tout !

    En tout cas, le réalisateur peut remercier Alain Chabat. Lancé en mode allumé, fêlé des pâtes, flippé, totalement barré, il est absolument GéNIAL et n'a rien perdu de son humour et son excentricité uniques ! Ce film c'est lui, lui et rien que lui. Le pauvre Max Boublil (que je ne connaissais pas... oups, pardon !) est bien transparent à ses côtés !

  • AMOUR ET TURBULENCES de Alexandre Castagnetti *

    Amour & Turbulences : affiche Ludivine Sagnier, Nicolas Bedos

    Julie rentre à Paris après un séjour à New-York. Dans l'avion, elle se trouve placée juste à côté d'Antoine qu'elle a quitté trois ans plus tôt. Antoine bambocheur de première ne s'est pas remis de cette rupture et son meilleur ami lui conseille de mettre à profit les 7 heures de vol pour reconquérir la belle. Mais Julie doit se marier dans une semaine. L'affaire n'est donc pas aisée.

    Comédie sentimentale américaine à la française, ou française à l'américaine, difficile de trancher. En tout cas, tous les ingrédients incontournables tournent en boucle et piétinent. Le réalisateur qui enferme ses personnages dans l'avion choisit le flash-back pour nous faire revivre la rencontre, l'amour puis la rupture des deux tourtereaux, avec parfois les mêmes événements relatés du point de vue de chacun. Rien de bien neuf si ce n'est quelques trucs de mise en scène plutôt sympas et élégants. Et pour une fois le copain relou n'est pas obèse même s'il ne parvient pas à "pécho" et, miracle... il est parfois drôle, merci Jonathan Cohen. Mais je ne parviens pas à comprendre pourquoi les scénaristes se sentent forcément obligés d'humilier un personnage (pauvre Arnaud Ducret !). Au début, Julie téléphone à son fiancé qu'elle couvre de "je t'aime" et "tu me manques, j'ai hâte de te retrouver". Ledit fiancé est alors un type tout ce qu'il y a de plus charmant et fréquentable. Comment se fait-il qu'à l'arrivée, la demoiselle se retrouve face à un connard insupportable ? Est-il indispensable, est-ce drôle de prévoir un mariage pour le faire annuler et faire passer le fiancé pour le dernier des abrutis (pauvre Arnaud Ducret, bis !). Bref.

    Antoine est donc un type qui "drague tout ce qui bouge, et même ce qui ne bouge pas" et est incapable de s'engager plus de quinze jours avec une fille. C'est un mufle un peu lourdingue qui séduit en emmenant ses conquêtes en haut de la Tour Eiffel. Il peut aussi être poète à ses heures perdues : "habille-toi comme une pute, comme j'aime". Evidemment le rôle convient parfaitement à Nicolas Bedos qui endosse avec pas mal d'ironie le costume du pignouf grossier et égoïste. Il nous fait par ailleurs une démonstration croquignolette de "douche à la française". Il est d'ailleurs plus souvent torse nu qu'habillé... et le torse va bien, merci. Le véritable atout du film c'est lui, son charme, son humour, sa dérision. Même si on a un peu de mal à l'imaginer dans un autre registre que la comédie.

    Julie est une jeune femme pas bien finie qui cherche encore sa voie, rêve du grand amour exclusif et vit chez sa maman. Cette dernière est Clémentine Célarié, toujours un verre de champagne à la main comme il se doit et grande classe. Conversation entre la mère et la fille en train de faire un jogging : "accélère t'as pris du cul"... "accélère t'as pris du bide" ! Ludivine Sagnier est vraiment très très mignonne mais sinon  what else ? Elle semble monter sur roulements à billes lorsqu'elle se déplace. Et ses tentatives pour  paraître élégante et distinguée dans ses jolies robes et perchée sur ses hauts talons ne sont pas très naturelles.

  • L'ÉCUME DES JOURS de Michel Gondry

    grâce à Florian de Cinéfriends vous pouvez gagner 

    5*2 Places pour ce film

    Cliquez sur l'affiche pour accéder au site recrée brillamment l’univers et l’esprit du film. Il se découpe en quatre parties, chacune associée à un des personnages. Elles s’organisent et sont décorées pour refléter au mieux la personnalité de Chick, Chloé, Colin ou Nicolas. De même, les contenus sont différents : on peut participer au jeu du nuage chez Chloé, essayer l’appli Pianocktail sur la page de Colin…
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    Synopsis : L’histoire surréelle et poétique d’un jeune homme idéaliste et inventif, Colin, qui rencontre Chloé, une jeune femme semblant être l’incarnation d’un blues de Duke Ellington. Leur mariage idyllique tourne à l’amertume quand Chloé tombe malade d’un nénuphar qui grandit dans son poumon. Pour payer ses soins, dans un Paris fantasmatique, Colin doit travailler dans des conditions de plus en plus absurdes, pendant qu’autour d’eux leur appartement se dégrade et que leur groupe d’amis, dont le talentueux Nicolas, et Chick, fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite. 

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    Pour gagner, merci de trouver le nom des PERSONNAGES sur une des photos (à peine déformées) ET répondez à la question en vous aidant de vos souvenirs de lecture...

    Une seule réponse à la fois par personne.
    Seuls les cinq premiers gagnants auront deux places, les autres joueront pour la beauté du geste.

    LES GAGNANTS sont : sopel, Ed, Jennifer, Domdom et Ghislaine.

    1

    ANAKIN et PADMEE trouvés par Domdom

    Que symbolise l'écume dans le roman ?

    L'écume symbolise la mousse et l'humidité, dans l'appartement de Colin qui semble se transformer en marécage

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    2

    ARWEN et ARAGORN trouvés par Mister Loup

    Qui interprète le rôle de Jean-Sol Partre ?

    Philippe Torreton

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    3

    Mrs Muyr et son fantôme trouvés par Fréd

    En quelle année a été publiée l'Ecume des Jours ? 1947

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    4

    LA BELLE ET LA BÊTE trouvées par sopel

    D'où provient le prénom de Chloé ? 

    CHLOE provient d’un morceau dans l’arrangement de Duke Ellington de la chanson appelée Chloe (Song of the Swamp) - soit « Chloé - la chanson du marais »

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    5

    DRACULA et MINA trouvés par Florence

    De qui Nicolas est-il le disciple ? Jules Gouffé

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    6

     Benjamin et Daisy trouvés par Ed 

    Chez qui habite la souris grise à moustaches noires ?

    La souris habite chez Colin

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    7

    CLARK KENT et LOÏS trouvés par Florence

    Qui a réalisé la première version de l'Ecume des Jours ?

    Charles Belmont

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    8

    Sophie et Hauru trouvés par Jennifer

    De qui Alise est-elle amoureuse ?

    De Chick

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    9

    RITA et BETTY trouvées par Ghislaine

    De qui Isis est -elle amoureuse ?

    De Nicolas.

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    10

    Comment s'appelle la maladie de Chloé ?

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  • LE TEMPS DE L'AVENTURE de Jérôme Bonnell ***

    Le Temps de l'aventure : affiche

    Alix joue une pièce à Calais. Son agent lui demande de faire un aller retour à Paris auditionner pour un film. Mais la journée va prendre un tour tout à fait inattendu. Alix n'est pas au mieux de sa forme et de son moral. Elle se sent à une période charnière, capitale de sa vie (on apprendra assez tard pourquoi) et elle s'interroge sur l'avenir de son couple avec Antoine, dont on n'entendra que la voix au téléphone. Un événement va rendre cette journée qui aurait dû être banale, tout à fait particulière, unique puis inoubliable. Dans le train le regard d'Alix croise celui d'un homme triste et sans le comprendre ni se l'expliquer, elle va être comme aimantée à cet inconnu, le suivre, le perdre, le retrouver...

    Bien sûr, l'homme observe un peu, discrètement Alice du coin de l'oeil, sans doute intrigué par son regard à elle, insistant. J'avoue que j'ai eu un peu de mal à comprendre l'attitude d'Alix. Comment une femme peut-elle suivre un homme au point d'aller frapper à la porte de sa chambre d'hôtel et lui bouffer la bouche, cet homme qui, sans réellement la repousser, ne l'encourage à aucun moment ? Au cinéma je suis très romantale et sentimentique et je peux comprendre et même souhaiter un coup de foudre réciproque, le genre qui pétrifie les deux protagonistes. IRL beaucoup moins et il faut (fallait !!!) me jouer du biniou suffisamment longtemps avant que je lève un oeil. Ici, pendant un looong temps je me suis dit qu'Alix allait se prendre un rateau et que le monsieur en costume allait lui demander de retourner jouer avec les enfants de sa cour. Oui, je sais, c'est moche. Mais il faut l'avouer, Gabriel Byrne est réfrigérant malgré son charme XXL et indéniable. Il ferme la porte, tourne le dos, disparaît et Alix réapparaît collée à ses basques incapable de prendre le train de retour. On le sait Gab' finira par céder et plus si affinités...

    Et il fallait bien le talent d'une actrice exceptionnelle, naturellement décalée pour faire qu'on la suive dans son ivresse, dans ses frémissements. La première demi-heure, on l'accompagne dans son parcours du combattant frénétique. Partir tôt de Calais, prendre le métro, rentrer chez elle, se changer, chercher son homme, appeler sa mère, se rendre au casting où elle doit jouer deux fois le même dialogue débile face un type qui lui donne la réplique excédé (IMMENSE scène où le talent de l'actrice est démontré par A + B sans contestation), aller à la gare, rater son train, se retrouver sans portable (déchargé et chargeur oublié à Calais), sans argent (CB bloquée), courir de cabine téléphonique en cabine téléphonique, décommander sa mère, se prendre un poteau, s'humilier devant sa soeur (autre scène extraordinaire, drôle et angoissante où Aurélie Petit, distribue les baffes)... Le stress et l'accumulation de revers d'Alix sont arrivés jusqu'à mes neurotransmetteurs au point de me provoquer un début d'angoisse. C'est rare au cinéma et c'est dire le pouvoir incroyable de persuasion d'Emmanuelle Devos.

    Quand enfin l'homme cède... on est soulagé pour Alix qui vivait sans doute la journée la plus étrange et humiliante de sa vie. Tout enfin prend son sens et la rencontre se fait étourdissante, déraisonnable, à la fois évidente et incontrôlable. Et c'est quand les deux amants éblouis sortent enfin de la chambre que l'on comprend encore mieux leur proximité, leur intimité. L'évidence. C'est un 21 juin à Paris, en pleine fête de la musique. Tout autour d'eux n'est que fête et musique et ils sont blottis l'un contre l'autre, seuls au monde, heureux, bouleversés, étourdis d'eux mêmes. Et Alix parvient à faire de la journée éprouvante de cet homme (raison de son voyage à Paris) une embellie. Faire sourire puis rire Gabriel Byrne (si, si on voit ses dents à deux reprises) c'est dire à quel point Alix/Emmanuelle est une magicienne irrésistible.

    Oui cette actrice est une enchanteresse et son réalisateur totalement fou d'elle sublime son visage, son corps, sa voix, sa démarche et comme lui, on sort du film, amoureux d'elle !

  • MAIS QUI A RE-TUÉ PAMELA ROSE ?

    grâce à Florian de Cinéfriends vous pouvez gagner 

    - 2 BLURAY et 3 DVD  de ce film

    Mais qui a re-tué Pamela Rose ? : affiche

    Synopsis : Quand il reçoit un appel du shérif de Bornsville lui annonçant que le cercueil de Pamela Rose a été volé, l'agent Douglas Riper voit là une occasion de renouer les liens avec son ancien coéquipier Richard Bullit. Un ex-ami avec lequel il est brouillé, depuis des années, suite à une fâcheuse histoire de femme et de Fuego. Les deux anciennes gloires du FBI, devenus des purs has been, se retrouvent donc pour enquêter sur cette profanation, sans savoir qu'ils sont en réalité attirés dans un piège par un homme qui leur en veut beaucoup. Sans se douter non plus qu'ils seront bientôt les seuls à être au courant que la présidente des Etats-Unis of America est sur le point d'être assassinée. Rien que ça...

    Pour gagner merci de me donner le titre du film et le nom de l'acteur dans une des images ci-dessous.

    Et me préciser si vous souhaitez un Bluray ou un DVD.

    UNE REPONSE A LA FOIS PAR PERSONNE.

    GAME OVER. Merci.

    1

    DON CHEADLE dans L'Irlandais trouvé par Gaël (un bluray)

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    2

    MATT DAMON dans The informant trouvé par ludo (un bluray)

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    3

    GILLIAN ANDERSO dans XFILES trouvé par Lamélo (un DVD)

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    4

    CHRIS COOPER dans Agent Double trouvé par Mister Loup (un DVD)

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    5

    ANGELINA JOLIE dans Bone Collector trouvé par sopel (un DVD)

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