12 HEURES de Simon West **
Synopsis : Trahi lors d’un hold-up qui a mal tourné,
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Synopsis : Trahi lors d’un hold-up qui a mal tourné,
Aya 19 ans vit à Yopougon, un quartier d'Abidjan dans les années 70.
Synopsis : Tiré de faits réels, voici l’histoire de Richard Kuklinski, surnommé « The Iceman », un tueur à gages qui fut condamné pour une centaine de meurtres commandités par différentes organisations criminelles new-yorkaises.
L’inspecteur Richard Kemp enquête sur un meurtre, pour lequel d’étranges similitudes lui rappellent “Perce-oreille”, un tueur en série qu’il a traqué en vain en début de carrière.
Marie souhaite que son divorce d'avec Ahmad soit prononcé afin d'épouser Samir.
Simon est commissaire-priseur mais son addiction au poker le confronte à des dettes qu'il ne peut plus assumer.
A partir d'une goutte de sang absorbée par un moustique fossilisé le milliardaire John Hammond et son équipe ont réussi à clôner et faire renaître sur une île, une dizaine d'espèces de dinosaures. Il s'apprête maintenant avec la complicité du docteur Alan Grant, paléontologue de renom, et de son amie Ellie, à ouvrir le plus grand parc à thème du monde. Avant l'ouverture prochainement programmée, les petits enfants de Hammond visitent l'île en compagnie d'Allan (Sam Neil tout mimi) qui déteste les enfants : "ça crie, ça fout le bordel et ça pue..." pas faux de Ellie (Laura Dern charmante) qui rêve d'avoir des enfants et d'un matheux cool qui se prend pour une rock star (Jeff Goldblum, très rock star)... Mais l'affreux jojo (au propre comme au figuré) Dennis Nedry (Wayne Knight exaspérant) cupide et malveillant provoque toute une série de catastrophes et notamment une coupure électrique. Les dinosaures prennent possession de l'île etc...
Et voilà, c'est reparti, une nouvelle génération de jeunes et moins jeunes mutchachus va découvrir et se passionner pour les dinosaures très vilains mangeurs de viande et les très gentils et très très grands végétariens. Et pourquoi pas, faire naître des vocations de scientifiques en suivant la très plaisante démonstration du fonctionnement de l'ADN et comment le trafiquer ?
Ça fonctionne toujours aussi bien, même si évidemment les vieux de la vieille n'auront plus l'effet de surprise et l'impatience de découvrir les bestioles admirablement remises en mouvements par le taulier. Les scènes de poursuites et de cache cache s'enchaînent à un rythme suffisamment soutenu pour ne pas s'ennuyer et les effets spéciaux sont magnifiques parce qu'invisibles la plupart du temps. Les mastodontes ont l'air plus vrais que vrais. Et puis c'est marrant de voir les ancêtres de nos ordinateurs et d'entendre un moutard s'extasier : "oh un CD-Rom interactif !!!".
Mais une fois encore j'émets les plus grands doutes et plus vives réserves quant à l'utilité de la 3D. Je trouve toujours que ça ne sert strictement à rien excepté à assombrir l'image. J'espère que le temps n'arrivera jamais où nous n'aurons plus le choix entre 2 et 3 D comme c'est le cas pour ce film.
Les acteurs sont charmants, plein d'humour et de passion pour leur métier et très efficaces dès que leur instinct de survie est mis à contribution. Trop cool.
Synopsis : Suite à un quiproquo, Tad, ouvrier distrait, est pris par erreur pour un célèbre archéologue et envoyé en mission au Pérou. Avec l’aide de Jeff, son chien fidèle, d’un professeur intrépide, d’un perroquet muet et d’une charmante jeune femme, il tentera de défendre la Cité Perdue des Incas contre l’assaut d’une redoutable bande de chasseurs de trésors.
Pas grand chose à dire et guère de surprise sur ce petit film gentillet et prévisible qui ne restera sans doute pas dans les annales de l'animation ni son héros dans celle des super héros. Le scénario est balisé et on s'achemine sans étonnement vers LA fin attendue.
Néanmoins, Tad est super sympathique. Moqué dès son plus jeune âge pour sa passion de l'archéologie, ce jeune orphelin naïf démontrera toute l'étendue de son courage au Pérou. Et gagnera en prime une super nana gaulée comme Angelina Jolie. Elle est pas belle la vie ?
Les petits qui n'ont pas encore vu beaucoup de films pourront sans problème s'intéresser à ce personnage positif qui évolue dans de jolis décors du bout du monde !
Thomas rencontre Lola et boum patatra c'est le coup de foudre. Les deux jeunes gens ont le même humour, alors chabadabada ! Mais Lola présente Thomas à ses parents et là, c'est le drame. Gilbert, le père de Lola, est en pleine déprime et crise de la cinquantaine. Il ne supporte plus sa femme dont il ne voit plus que les défauts. Gilbert parvient à semer le doute et le trouble dans l'esprit pas bien fini de Thomas et réussit à le convaincre que le mariage est un tue-l'amour et qu'il devrait y regarder à deux fois avant de s'engager.
Les deux gamins du titre, deux ados totalement débridés sont donc ce trentenaire et ce cinquantenaire ingérables, irresponsables, persuadés que la vie n'est qu'une succession de fêtes. Ils vont donc s'en donner à coeur joie car chacun trouve en l'autre son double, son alter ego.
J'ai ri, mais j'ai ri !!! J'en ris encore tiens. Ce manifeste régressif , cette plaisanterie immature est totalement hilarante pendant une heure. Situations insensées, répliques bas de plafond, délires ados... les deux compères ne craignent pas le ridicule et ne sont pas avares de leur agitation. Et puis deux "guests" en mode parodie viennent achever l'hystérie ambiante.
Alors pourquoi, mais POURQUOI Anthony Marciano a t'il bifurqué si près du but ? Pourquoi a t'il transformé son délire en rom'com ordinaire en faisant rentrer ses deux zigotos dans le droit chemin ? Pourquoi n'est-il pas allé au bout de cette comédie barrée, pas trop méchante mais un peu quand même, et politiquement incorrecte mais pas trop non plus ??? Dommage. La fin est ratée, complètement. Et la scène lors d'un sommet international (ça vient faire quoi exactement ici ???) où les propos d'un iranien sont "mal" traduits n'est pas drôle du tout. Mais alors pas du tout, du tout !
En tout cas, le réalisateur peut remercier Alain Chabat. Lancé en mode allumé, fêlé des pâtes, flippé, totalement barré, il est absolument GéNIAL et n'a rien perdu de son humour et son excentricité uniques ! Ce film c'est lui, lui et rien que lui. Le pauvre Max Boublil (que je ne connaissais pas... oups, pardon !) est bien transparent à ses côtés !