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cinéma - Page 267

  • La Dame de Trèfle de Jérôme Bonnell ***

    La Dame de trèfleLa Dame de trèfleLa Dame de trèfle

    Argine et Aurélien sont plus et pire qu’amoureux, ils sont frère et sœur. Ils sont aussi orphelins et vivent ensemble depuis toujours dans la campagne normande, dans la maison familiale sans doute. Comme Argine est un peu fêlée des pâtes, c’est Aurélien qui bosse chez un fleuriste et qui tente aussi d’arrondir les fins de mois (ce qu’il cache à sa sœur) en fourguant du cuivre volé. Un jour, un casse (qu’on ne voit pas) tourne mal et un des complices d’Aurélien qui doit disparaître vient lui réclamer l’argent qu’il lui doit. Aurélien ne peut pas payer immédiatement…

    Jérôme Bonnell déjà remarquable avec son très sensible et très pudique « J’attends quelqu’un » revient avec ce film sombre et inquiet né d’une envie de polar. Mais au-delà de l’histoire qu’il raconte avec des événements quotidiens et des rebondissements soudains et imprévisibles, il s’attache encore une fois à la famille, aux liens apparemment indéfectibles à la limite de l’inceste, qui unissent ses deux héros.

    Le frère et la soeur vivent ensemble, certains jours ils se parlent à peine, Aurélien part au travail, Argine apprend mollement l’anglais sans qu’on sache dans quel but, elle boit et s'amuse beaucoup puis ils se retrouvent chaque soir au café du village. On pense qu’Aurélien protège sa déconcertante et imprévisible sœur. Il l’observe de loin lorsqu’elle apaise sa frénésie sexuelle, son désir de plaire. Elle mène de front plusieurs histoires sentimentales qui ne la satisfont guère (et on comprend...). Elle se fait avorter. Aurélien l’accompagne toujours. Et de son côté, sans rien lui révéler, aussi réservé et silencieux qu’elle est extravertie et exubérante, il doit tenter de régler le problème colossal qui le confronte à Simon (Darroussin, sale type pour une fois, mais très bien).

    Parfois pourtant Argine et Aurélien laissent libre court à leur légèreté comme lors de ce beau moment où ils dansent sur une valse de Vienne. Instant de grâce et d’insouciance enfantines au cœur du drame qui va surgir dans une sorte d’escalade vers la violence.

    Argine est une personne pas ordinaire qui porte un prénom étrange, c’est celui de la Dame de Trèfle des jeux de carte, la seule qui ne porte pas un nom tiré de la bible. C’est la très instinctive et craquante Florence Loiret Caille dont on a l’impression qu’elle improvise chaque scène qui est cette fille irrésistible, fragile, déroutante et impulsive. On aimerait à présent la voir dans un rôle un peu moins border line. Quoique non, pas forcément. Cette fille capture et bouffe l’écran.

    Quant à Aurélien, c’est Malik Zidi qui lui apporte sa douceur, sa timidité et sa mélancolie.

    Ils sont tous les deux différents, opposés mais en harmonie.

  • Mr Nobody de Jaco Van Dormael ***

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    Mr. NobodyMr. Nobody

    En 2092 Nemo Nobody a 118 ans et il est le dernier humain vivant sur terre, les autres étant programmés pour être «semi immortels». Considéré à juste titre comme un cas unique, Nemo, alité et mourant est filmé 24 h/24 afin que la population puisse suivre en direct ses derniers instants. Un journaliste parvient à l’approcher et recueillir le récit de sa vie, de ses vies…
    Lorsqu’il a 8 ans Nemo vit avec ses parents qui se sont beaucoup aimés mais ne se supportent plus et se séparent. Sur le quai d’une gare, ils exigent du petit garçon qu’il fasse ce choix déchirant de rester avec son père ou partir avec sa mère.
    L’avenir et la vie toute entière de Nemo vont dépendre de cette décision brutale mais décisive.
    Le réalisateur s’intéresse davantage, et c’est tant mieux, aux vies sentimentales possibles de Nemo son héros. Au fil de tous les hasards et coïncidences décortiqués dans un incessant va et vient entre les différentes histoires et les différents âges du personnage (8 ans, 15 ans, 34 ans et 118 ans) mais jamais de façon chronologique, le réalisateur nous immerge totalement dans toutes les alternatives qui feront de la vie de Nemo un rêve ou un cauchemar, une réussite ou un échec ! Et le personnage explore ainsi quelques façons d’aimer, par dépit, par compassion, par amour, par devoir…

    Les cœurs d’artichaut, les romantiques, les midinettes, les rêveurs, les sentimentaux ont toutes les chances il me semble de se laisser happer par ce film, les autres risquent de le trouver naïf, inutile ou prétentieux… en fait je ne sais comment ils le trouveront et je m’en fiche car vous avez compris dans quelle catégorie je me situe.
    D’autant qu’au-delà de l’aspect narratif, le réalisateur nous plonge dans de multiples univers et multiplie les trouvailles visuelles qui ne sont pas toujours inédites mais font néanmoins de ce film une véritable curiosité envahie de bonnes surprises. Tantôt kitsch, vintage, réaliste ou d'anticipation, les différentes époques sont particulièrement soignées. Il n’est pas non plus impossible de refaire un petit tour mélancolique voire nostalgique du côté de sa propre histoire tant il joue sur les odeurs, les gestes, les souvenirs et mille détails de l’enfance qui marquent ou conditionnent la vie future de chacun.
    Puis vient le temps des amours enfantines et adolescentes, le temps des promesses et des serments impossibles à tenir ou qu’on tient quoiqu’il en coûte.
    L’atout supplémentaire et essentiel tient au casting, à l’excellence de l’interprétation et au charme XXL des différents interprètes autant des enfants, des adolescents que des adultes. Je citerai en priorité Toby Regbo (Némo à 15 ans) passé inaperçu dans le dernier Harry Potter mais étonnant de romantisme et de maturité ici, la désormais incontournable mais parfaite Juno Temple, Rhys Ifans très émouvant dans le rôle du père, mais aussi les trois femmes de Nemo, la délicieuse et délicate
    Linh Dan Pham fragile et touchante Jeanne épousée par dépit et donc sacrifiée, Sarah Polley très émouvante dans le rôle pas facile et pas très valorisant d’Elise l’épouse dépressive que Némo aime au-delà de tout, protège et tente d’aider, et puis Diane Kruger qui est Anna, peut-être la plus aimée de toute, celle qu’il perd, qu’il retrouve peut-être ou pas… Allez voir !
    Et puis évidemment Jared Leto qui ne se contente pas d’être un très joli garçon mais se plie admirablement aux exigences de ce rôle multiple et décline avec conviction toutes les incertitudes, la complexité et la fragilité de ses personnages. Il nous entraîne et nous étourdit parfois en nous démontrant que la vie est émaillée de choix décisifs qui l'enrichissent, l'embellissent ou la gâchent, que parfois on aimerait ralentir le temps et d’autres fois l’accélérer… C'est tout simple, mais c'est beau !

  • INVICTUS

    ah ah ah !!! je vous ai bien eus n'est-ce pas ? Et non, je n'ai toujours pas vu le film de mon Chéri d'Amour exceptées les quelques minutes qu'il m' nous a offertes en avant première mondiale au Festival de Lyon des Lumières de la Ville.

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    Je dois vous dire qu'après une journée (ou deux) en mode "la vie réelle"-c'est-LE-mal, l'enfer, les autres où j'étais d'humour tristouille avec toute la panoplie assortie (je ne vous raconte pas, c'est trop triste) je suis de nouveau d'humeur badine (enfin pas tant que ça)... Et je vais simplement aujourd'hui partager des textes avec vous. D'abord "Invictus" de William Ernest Henley qui est le poème favori de Nelson Mandela et sa traduction littéraire en français.

    Out of the night that covers me,

    Black as the pit from pole to pole,

    I thank whatever gods may be

    For my unconquerable soul.

     

    In the fell clutch of circumstance

    I have not winced nor cried aloud.

    Under the bludgeonings of chance

    My head is bloody, but unbow'd.

     

    Beyond this place of wrath and tears

    Looms but the Horror of the shade,

    And yet the menace of the years

    Finds and shall find me unafraid.

     

    It matters not how strait the gate,

    How charged with punishments the scroll,

    I am the master of my fate:

    I am the captain of my soul.

     

    William Ernest Henley

     

    Traduction littéraire : 

    Dans la nuit qui m'environne,

    Dans les ténèbres qui m'enserrent,

    Je loue les Dieux qui me donnent

    Une âme, à la fois noble et fière.

     

    Prisonnier de ma situation,

    Je ne veux pas me rebeller.

    Meurtri par les tribulations,

    Je suis debout bien que blessé.

     

    En ce lieu d'opprobres et de pleurs,

    Je ne vois qu'horreur et ombres

    Les années s'annoncent sombres

    Mais je ne connaîtrai pas la peur.

     

    Aussi étroit soit le chemin,

    Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme
    Je suis le maître de mon destin,

    Le capitaine de mon âme

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    Edit de 18 h 30 : j'ai vu Invictus. Verdict : * * * *

     ...........................................................................

    Par ailleurs, le Doc m'a fait une prescription et m'ordonne de vous faire partager le texte suivant que j'ai découvert chez lui et qui m'a clouée de bonheur (si tant est évidemment qu'on puisse être cloué de bonheur...).

    Le voici, il est de Robert Desnos :

    "Nous venions de naître.
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    Nous apprîmes à lire dans les Misérables et dans le Juif errant. Un impatient désir d'amour, de révolte et de sublime nous tourmentait. (...)
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    Pour nous, pour nous seuls, les frères Lumière inventèrent le cinéma.
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    Là, nous étions chez nous. Cette obscurité était celle de notre chambre avant de nous endormir. L'écran pouvait égaler nos rêves. (...)
     

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    C'est pour ça que nous nous refuserons à considérer le spectacle de l'écran autrement que comme représentation de la vie désirée au même titre que nos rêves, c'est pourquoi nous nous refuserons à croire qu'aucune règle, aucune contrainte, aucun réalisme puissent le ravaler au rang où l'écriture est tombée depuis que les romanciers, bons commerçants, ont jeté le discrédit public sur les poètes ;

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    c'est pourquoi nous demandons au cinéma d'exalter ce qui nous est cher, et seulement ce qui nous est cher ; c'est pourquoi nous voulons que le cinéma soit révolutionnaire."

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  • 1 X 2 places à gagner pour I LOVE YOU PHILIP MORRIS de Glenn Ficarra et John Requa

    a pris au moins une bonne résolution en ce début d'année :

    être généreux.

    Qu'il en soit remercié !

    Vous pouvez donc gagner une invitation pour deux personnes pour voir :

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    Ce film sort le 10 février.
    Pour cela, vous devez me dire de quel film est tiré l'image ci-dessous et comme toujours UNE SEULE REPONSE PAR PERSONNE, tant que je n'ai pas dit si c'était juste ou pas !
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    The bubble d'Eytan Fox trouvé par king72
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    Synopsis : L'histoire vraie d'un ex-flic, ex-mari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris. Steven Russell est prêt à tout pour ne jamais être séparé de l'homme de sa vie. Ce qui implique notamment de ne pas moisir en prison. Jusqu'où peut-on aller par amour ? Très loin si l'on en croit l'histoire incroyable de Steven Russell, un génie de l'évasion rattrapé par son romantisme.

  • J'aime ce blog

    de crâneur

    Ma photo

    et ceux qui ont parfois la curiosité de cliquer sur les liens que je possède dans la catégorie "Professionnels de la profession" connaissent sans doute Benoît Gauthier (Auteur, scénariste, metteur en scène, biographe, journaliste de cinéma)  qui "Autour des films et du cinema" nous fait part de ces "Coups de coeur souvent, coups de griffe parfois..."

    Il a toujours une façon bien à lui de présenter ses voeux et comme il n'est pas encore trop tard, voici ceux de 2010 (en 53 secondes chrono) :

    Avec Fabien Lemaire, il a également réalisé un livre de portraits

    "humain où chacun est unique et tous divers".


    UNIQUES ET DIVERS -

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    LA MERDITUDE DES CHOSES de Felix Van Groeningen ***

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    MES COUPS AU COEUR
    EstherEstherLa Merditude des ChosesBright StarUne vie toute neuve

     

  • Le questionnaire de Rob

    Notre cher Rob en ce début d'année me semble plus que jamais traverser une mauvaise passe : allez voir ses notes à propos de "Bliss", "Igor Stravinsky et Coco Chanel" (et réciproquement) et aussi de "Bright Star"... ça fait beaucoup de peine ! 
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    Il a néanmoins inventé avec sa propre tête un questionnaire qu'il présente d'une manière sobre et humble comme il se doit :
    "Il y eut le questionnaire de Proust, le questionnaire de Pivot... Il y aura désormais le questionnaire de Rob, destiné à devenir aussi mémorable - oh, humour, quoi. Certaines questions sont inédites, d'autres sans doute un peu moins, mais le but est avant tout de dresser le portrait de la personne interrogée à travers des questions qu'elle ne se serait pas forcément posée toute seule - il faut dire que les gens n'ont pas que ça à faire.
    C'est de plus un questionnaire évolutif, puisqu'il est demandé à l'intéressé(e) de proposer une question à ajouter à la liste, laquelle pourra être posée ensuite à d'autres
    ."
    Et moi j'adore répondre à des questionnaires qui concernent le cinéma. Alors voici ma contribution :
     
     
    1) Le film que vous possédez mais que vous n'avez jamais vu ?
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    2) L'album qui ferait une excellente bande originale ?
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    3) Le biopic que vous ne voulez surtout pas voir ?
    Celui de l'actuel président de la république dont je ne peux prononcer le nom et encore moins mettre la photo.
     
     
     
    4) La scène la moins érotique de l'histoire du cinéma ?
    Toutes les scènes de
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    J'en pleure encore... de rire ! Pour moi c'est un remède contre l’amour.
     
     
     
    5) Le film que tout le monde a vu sauf vous ?
    Euh…
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    6) Le film que tout le monde a détesté sauf vous ?
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    7) La personnalité qui devrait faire du cinéma ?
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    8) Le film de 2025 que vous attendez le plus ?
    Je préfère les surprises.
    Ou alors un réalisateur qui réussirait ENFIN l'adaptation (au cinéma) de Pride and Prejudice... mais comme lui
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    serait trop vieux, vraiment trop vieux pour être Darcy, ça ne vaudra peut-être pas le coup ! La bonne nouvelle c'est que Keira Knigthley serait trop vieille aussi pour être Elizabeth...
     
     
    9) Le film des mois à venir qui va vous décevoir ?
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    La bande annonce ne m’inspire guère.
     
     
    10) Le cinéaste avec qui vous aimeriez boire des coups ?
    Quelle question étrange (mais simple) ?
    Lui
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    et lui
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    11) L'objet auquel vous aimeriez consacrer un film ?
    Mes boulaneiges.
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    12) La réplique que vous aimeriez connaître par coeur ?
    Tous les dialogues de Jacques Michel Audiard en particulier ceux de "Un singe en hiver" pour le plaisir
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    et ceux des Tontons flingueurs pour pouvoir placer cette réplique à bon escient (et exécuter la sentence...) :
    "Mais y connaît pas Raoul ce mec. Y va avoir un reveil pénible. J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter qu'le sang coule mais maint'nant c'est fini ! Je vais l'travailler en férocité ! l'faire marcher à coup d'latte, à ma pogne je veux l'voir ! et j'vous promets qui demandera pardon ! et au garde-à-vous !"
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    13) L'acteur/actrice en qui vous vous reconnaissez ?
    Sandrine Bonnaire.
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    14)  Le  festival que vous aimeriez créer ?
    Un festival sans compétition avec un réalisateur différent chaque année qui organiserait lui-même la programmation en fonction de ses goûts. Avec des rencontres entre le public et les réalisateurs, les comédiens, sans strass ni tapis rouge. Pour découvrir ou redécouvrir plus d'un siècle de cinéma.
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    15) La chose qu'on ne devrait plus jamais voir au cinéma ?
    Gérard Butler !
    Ah zut ce n’est pas une chose.
    Bon alors, Sam Worthington…
    Zut, c’est la même espèce que Gégé.
    Alors disons, les rôles principaux donnés à des chiens.
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    16) La  place idéale dans la salle de cinéma ?
    6ème rang en partant du bas, au centre exactement.
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    17) Le  nom d'acteur/réalisateur que vous n'arrivez pas à retenir ?
    Zang Yimou ou Yang Zhimou…
    je ne saurai jamais si c'est l'un ou l'autre, ni où mettre le "h" !
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    18) Le  métier de cinéma auquel vous ne comprenez rien ? 
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    19) Le conseil à donner à une ado qui veut faire du cinéma ?
    Observe Léa Seydoux et fais tout l'inverse.

    Observe Pauline Etienne et fais tout comme elle.
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    20) La  question que vous aimeriez ajouter à ce questionnaire ?
    Vous devez offrir un DVD avec ces consignes :
    "quel est le film que vous jugez parfait et qui caractérise le mieux votre cinéphilie ?"
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    21) Le  film à regarder le 24 décembre au soir ? 
    Le Seigneur des Anneaux, les trois à la suite. Chaque année, l’envie me reprend.
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