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deborah françois

  • L'ÉTAT SAUVAGE

    de David Perrault (II) °

    oskar et lily,une enfance réfugiée d'arash t. riahi,cinéma,leopold pallua,rosa zant,christine ostermayer

    Avec Alice Isaaz, Deborah François, Kevin Janssens, Bruno Todeschini, Constance Dollé, Armelle Abidou

    Etats-Unis, 1861, la guerre de Sécession fait rage. Une famille de colons français décide de fuir le Missouri où ils vivent depuis 20 ans. Edmond, Madeleine et leurs trois filles doivent traverser tout le pays pour prendre le premier bateau qui les ramènera en France. Victor, ancien mercenaire au comportement mystérieux, est chargé de veiller à la sécurité du voyage.

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  • NEVER GROW OLD

    d'Ivan Kavanagh ***

    1210546_jpg-r_1280_720-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Avec Emile Hirsch, John Cusack, Déborah François, Anne Coesens, Sam Louwyck

    Synopsis : Un charpentier et entrepreneur de pompes funèbres irlandais Patrick Tate vit avec sa jeune famille à la périphérie d’une petite ville sur la route de la Californie pendant la ruée vers l’or de 1849. La vie y est dure mais paisible jusqu’à l’arrivée de Dutch Albert et sa bande de Hors-la-loi qui va tout faire basculer et l’obliger à protéger sa famille… 

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  • POPULAIRE de Régis Roinsard ***

    a royal affair,comme des frères,cinéma

    Une bulle de champagne ou de savon. Romain Duris et Déborah François irrésistibles sont à croquer, drôles. Tels Rock Hudson et Doris Day. Une reconstitution acidulée des années 50 qui ne sent pas la poussière. L'autre meilleure comédie de l'année.

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    NB. : pour cause d'actualité personnelle très perturbée... j'ai encore la possibilité de voir des films (heureusement) mais peu de temps et d'énergie pour rédiger des articles conséquents. Néanmoins je continuerai à vous parler des films que je vous recommande ou pas.

  • LE MOINE de Dominik Moll °

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    Frère Ambrosio fait salle comble à chacun de ses prêches fiévreux et habités. Pourtant, pour se rendre au couvent juché sur un promontoire où il évangélise, il faut traverser un désert de caillasses sous le cagnard hispanique. Mais dès que le quasi saint homme assène ses homélies remplies de certitudes et tout infatué qu'il est de son intransigeance qui le met à l'abri du péché, les regards se figent, les pucelles se pâment et s'évanouissent. En un mot, Ambrosio est craint et admiré. Abandonné sur les marches du couvent alors qu'il n'était qu'un nourrisson, il n'a connu d'autre vie que celle du monastère et s'est imprégné dès le plus jeune âge des saintes écritures. Il reçoit en confession les pires méfaits qu'il pardonne de trois pater et un ave mais livre par son inflexible sévérité une pauvre petite nonne qui a fauté, à la justice impitoyable de sa mère supérieure. Le quotidien d'Ambrosio est brusquement perturbé par la venue d'un novice dont le visage rongé lors d'un incendie est dissimulé sous un masque... Et voilà que notre irréprochable se met à avoir le goupillon qui frétille sous la soutane. N'y allons pas par quatre chemins : Satan l'habite, d'autant qu'une frêle jeune fille animée d'une inébranlable foi que les paroles du prêtre n'ont fait qu'intensifier se met en tête qu'il lui récite le Psaume 6. Et l'Ambrosio de s'exécuter, mais de ne retenir du quatrain (enfin, on s'comprend) que les sous entendus sexuels :

    "Je suis à bout de forces,
    Mes os sont brisés,
    Mon âme est bouleversée.
    Reviens, et délivre mon âme,
    Sauve-moi, en raison de ton amour.
    Je songe à toi sur ma couche,
    Mon âme se presse contre toi,
    Ta droite me sert de soutien.
    Protégez-moi des ouvriers du mal.
    Voici qu’ils guettent mon âme,
    Ils reviennent au soir, ils rôdent par la ville,
    Tant qu’ils n’ont pas leur soûl, ils grondent.
    Tu me tires du gouffre tumultueux,
    De la vase, du bourbier.
    Et moi, je chanterai ta force,
    J’acclamerai ton amour au matin.
    Oh ma force, pour toi je jouerai.
    Oui, c’est toi ma citadelle,
    Le Dieu de mon amour."

    Alors bon comment dire ! Que faire d'autre, à part rire franchement et copieusement de voir notre bon vieux Mesrine Vincent Cassel emberlificoté dans sa robe de bure, christique et douloureux à souhait mais beaucoup plus à l'aise dès lors qu'il s'agit de se muer en bête sexuelle et de nous montrer ses fesses une fois de plus ? On appelle cela un miscasting je crois ou erreur de casting en français dans le texte.

    On peut aussi redoubler de hoquets convulsifs dès qu'apparaissent lors d'une procession en l'honneur de Notre Sainte Vierge Marie ces hommes bougies ou bougeoirs

    Que dire de Sergi Lopez, bouffi et sans âme ? De Deborah François dont l'absence totale de mystère peine à nous faire croire qu'elle soit un suppôt de Satan ? Comment ne pas pouffer derechef lorsque par deux fois le moinillon Valerio (je crois) se rend dans une énigmatique tombe ouverte pour en ressortir avec une branche magique ou guéri d'un étrange mal ?

    On peut aussi et finalement se désoler de voir un film jamais malsain, jamais déroutant qui ne fait ressentir ni trouble ni malaise alors qu'il y avait une matière considérable et qu'on se serait perdu avec délice et perplexité dans les profondeurs impénétrables des voies du Seigneur