Sur la Route du Cinéma - Page 274
-
-
DIANA d'Olivier Hirschbiegel *
Quelque temps avant le tragique accident qui lui a coûté la vie, la Princesse de Galles a follement aimé le chirurgien du coeur pakistanais Hasnat Khan.
-
JEU CONCOURS - ODETE de Joao Pedro Rodrigues (DVD)
3 DVDs à gagner grâce à EPICENTRE FILM.
Les gagnants sont : Mister Loup, Marion, Martin.
Game over. Merci. -
SUR LE CHEMIN DE L'ÉCOLE
Sans misérabilisme ni pathos, (un exploit) le réalisateur François Dypeyron suit le périple quotidien de quelques enfants du bout du monde pour qui aller à l'école est une épopée quotidienne.
-
LA VIE DOMESTIQUE de Isabelle Czajka ***
Pour privilégier et préserver sa vie de famille et ainsi mieux s'occuper de ses enfants, Juliette a renoncé à son travail et s'est installée dans une banlieue résidentielle proprette aux abords d'un parc verdoyant.
-
THE WAY, la route ensemble d'Emilio Estevez °°
Tom Avery, dentiste américain à l’existence confortable, se rend d’urgence en France où son fils Daniel vient de mourir dans un accident en montagne.
-
PARKLAND de Peter Landesman *
Synopsis : 22 novembre 1963, 12 h 38. C’est un patient peu ordinaire qui arrive en urgence au Parkland Memorial Hospital de Dallas.
-
LOVEFIELD de Matthieu Ratthe (court métrage) ****
Vous avez bien 5 minutes 29 à consacrer à cette petite merveille !
Et le réalisateur ressemble à ça :
-
MON ÂME PAR TOI GUÉRIE de François Dupeyron **(*)
Synopsis : Frédi a perdu sa mère. Cette dernière lui a transmis un don, dont il ne veut pas entendre parler. Mais il se trouve peu à peu contraint de reconnaître que ses mains guérissent... Il s'interroge. D'où vient ce don ? Qu'importe, il l'accepte...
Les plus :
- L'originalité du thème traité en observateur sans donner d'explication : avoir ce don c'est un fait, point.
- Les rapports humains : tout le monde est bancal, triste, pauvre, délaissé, malmené, mais ici entraide, solidarité riment avec évidence. Et c'est bon.
- Les acteurs : en tête Grégory Gadebois animal solitaire au regard traqué encombré d'un don qui le dépasse. Il n'est que douceur, colère, chagrin et... espoir. Céline Sallette, amoureuse blessée, douloureuse, boîteuse. Jean-Pierre Darroussin : lorsque son grand dadais de fils (Gadebois) lui dit "j'aime bien parler avec toi", il répond "ben dis donc, vaste chantier, y'a du boulot". Et il sourit. Il est unique !
- La caméra délicate de Dupeyron qui aime ses personnages.
Le moins :
une histoire d'amour parachutée là au milieu des tourments et à laquelle on ne croit jamais. Dommage.
-
LES CONQUÉRANTS de Xabi Molia **(*)
Synopsis : Galaad et Noé se retrouvent à l’enterrement de leur père.