QUAND ON A VU
un film, on se prend parfois pour le héros en sortant de la salle.
C'est ce que raconte avec humour (mais trop de grossieretés, dommage !) Arnaud dans sa nouvelle web série que je vous présente ci-dessous :
Sur la Route du Cinéma - Page 273
-
-
MANDELA DAY
18.07.1918 - 05.12.2013
Si on m'avait dit que je verserais ma larme...
Quel homme !
« Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu'un d'autre de sa liberté. L'opprimé et l'oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité. »
« Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de la haine, des préjugés et de l'étroitesse d'esprit. »
-
HENRI de Yolande Moreau **
Synopsis : Henri, la cinquantaine, d’origine italienne, tient avec sa femme Rita un petit restaurant près de Charleroi, "La Cantina". -
CASSE-TÊTE CHINOIS de Cédric Klapisch ***
Xavier a maintenant 40 ans.
-
AVANT L'HIVER de Philippe Claudel °
Synopsis : Paul est un neurochirurgien de soixante ans. Quand on est marié à Lucie, le bonheur ne connaît jamais d’ombre.
-
THE IMMIGRANT de James Gray ***
A leur arrivée à New-York en 1921 deux sœurs polonaises Ewa et Magda sont séparées. -
LE MÉDECIN DE FAMILLE de Lucia Puenzo ***
Synopsis : Patagonie, 1960. Un médecin allemand rencontre une famille argentine sur la longue route qui mène à Bariloche où Eva, Enzo et leurs trois enfants s’apprêtent à ouvrir un hôtel au bord du lac Nahuel Huapi.
-
DEVENEZ MEMBRE DU JURY DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU PREMIER FILM INTERNATIONAL D'ANNONAY 2014
Comme chaque année à pareille époque je viens vous parler de ce Festival unique en France et si cher à mon coeur. Cette fois j'ai un peu tardé, alors il vous faut plus que jamais mettre les bouchées doubles pour faire partie du prochain jury.
-
CAPITAINE PHILIPS de Paul Greengrass **
Synopsis : Capitaine Phillips retrace l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens.
-
LES GARÇONS ET GUILLAUME À TABLE de Guillaume Gallienne ***(*)
Synopsis : Le premier souvenir que j’ai de ma mère c’est quand j’avais quatre ou cinq ans. Elle nous appelle, mes deux frères et moi, pour le dîner en disant : "Les garçons et Guillaume, à table !"
