DEUX PIANOS
d' Arnaud Desplechin °
FRANCE
Avec François Civil, Nadia Tereszkiewicz, Charlotte Rampling, Hippolyte Girardot
Mathias revient à Lyon après plusieurs années passées au Japon.
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d' Arnaud Desplechin °
FRANCE
Avec François Civil, Nadia Tereszkiewicz, Charlotte Rampling, Hippolyte Girardot
Mathias revient à Lyon après plusieurs années passées au Japon.
de Nicolas Giraud ****
Avec Nicolas Giraud, Mathieu Kassovitz, Bruno Lochet, Hélène Vincent, Ayumi Roux, Hippolyte Girardot, Jérémy Renier
Ingénieur doué en aéronautique chez ArianeGroup, Jim s'est vu recaler à un concours et n'a pu partir dans l'espace. L'élu fut un certain Thomas Pesquet.
de Jean-Paul Salomé *
Avec Isabelle Huppert, Hippolyte Girardot, Farida Ouchani, Liliane Rovère
Patience Portefeux est interprète judiciaire franco-arabe, spécialisée dans les écoutes téléphoniques pour la brigade des Stups.
L'ombre de Georges Riley plane sur trois couples. Mais Georges très malade n'a plus que quelques mois à vivre. Colin médecin et sa femme Kathryn, ainsi que Tamara, la femme de Jack meilleur ami de Georges, répètent une pièce de théâtre.


François Echeveria huissier de justice se rend au domicile de Mohand Atelhadj pour y pratiquer une saisie entouré de policiers. Comme ça se passe en banlieue et que Salem le fils ne se sent pas bien net avec la légalité, il pète un plomb et voilà notre huissier pris en otage. Au cours des 24 heures qui vont suivre et malgré l'intervention de différents négociateurs, les choses ne vont faire que s'envenimer et l'appartement va se transformer en véritable camp retranché. Le père et le fils ne vont pas tarder à être pris pour des terroristes. Le Préfet et le GIGN vont devoir s'en mêler.
Pas grand chose à dire sur ce film gentillet qui ne parvient pas à se décider entre le drame absolu et la comédie complètement barge. Les situations alternent entre l'invraisemblable et le plausible. Rien n'est jamais poussé à bout, ni le tragique ni l'absurde. Et du coup, le spectateur se retrouve comme le film, le cul entre deux chaises ! Une chose est sûre, le final ne milite pas en faveur de la paix dans les banlieues pas roses/moroses.
Par contre, il est incontestable que le casting aide à passer cette heure et demi en excellente compagnie. Le jeune Aymen Saïdi, perpétuellement en pétard nous régale d'un langage entre verlan et argot, une véritable langue étrangère. Hippolyte, ben c'est Hippolyte quoi, parfait. Mais Fellag m'a littéralement sidérée. L'évolution de son personnage est le grand atout du film. Et je lui ai même trouvé un air de ressemblance avec Vittorio Gassman (un des amours de ma vie !), ce qui n'est pas rien.