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Sur la Route du Cinéma - Page 466

  • Les acteurs et les actrices

    arborent parfois d'étranges et/ou étonnants compléments capillaires.

    Saurez-vous les reconnaître ?

    Donnez-moi le nom de l'acteur ou trice et le titre du film. Merci. Certains sont très simples, pour vous motiver...

    Vous êtes très forts !

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    CHRISTOPHE LAMBERT - VERCINGETORIX
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    II

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    BEYONCE -
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    III

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    CLOVIS CORNILLAC - BRICE DE NICE
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    IV

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    MICHELLE PFEIFFER - HAIRSRPAY
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    V
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    CAMERON DIAZ - MARY A TOUT PRIX
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    VI

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    Je n'exige pas le nom du Cheval !
    COLIN FAREL - BUCEPHALE - ALEXANDRE
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    VII

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    ADRIEN BRODY - LE VILLAGE
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    si ça peut aider, quand il n'est pas coiffé comme un d'sous d'bras, IL ressemble à ça
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    VIII

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    CAMERON DIAZ - DANS LA TETE DE JOHN MALKOVICH
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    IX

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    DEMI MOORE - LES AMANTS DU NOUVEAU MONDE
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    X

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    MERYL STREEP - LE DIABLE S'HABILLE EN PRADA
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    XI

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    NICOLAS CAGE -
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    XII

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    ROBERT DE NIRO (au temps où il était acteur) - TAXI DRIVER
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    XIII

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    UMA THURMAN - BATMAN et ROBIN
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  • Classement Wikio Cinéma

    SOUS VOS APPLAUDISSEMENTS

    Je viens de découvrir en faisant l'une de mes visites quotidiennes à Rob Gordon qui a toujours raison (même quand il a tort) , et alors même que le classement n'est pas encore officiellement paru, que "Sur la route du cinéma" a fait un bond de 5 places  dans le classement Wikio des blogs cinéma !

    Merci donc à tous pour votre fidélité toujours, vos encouragements souvent et cette passion commune que nous partageons pour le cinéma.

    En "gras", vous pouvez découvrir mes blogs cinéma préférés qui méritent mieux que le détour... le voyage !

    1 Lyricis Web Info
    2 Sur la route du cinema
    3 FilmGeek
    4 Into the screen
    5 Le blog de Dasola
    6 Rob Gordon a toujours raison
    7 Le journal cinéma du Dr Orlof
    8 IN THE MOOD FOR CINEMA
    9 Vodkaster Le Blog
    10 Tadah ! Blog
    11 Cinefeed
    12 In the mood for Cannes
    13 Laterna Magica
    14 Inisfree
    15 Nightswimming
    16 CinéBlogywood
    17 365 jours ouvrables
    18 Wildgrounds
    19 L. aime le cinéma
    20 Fenêtres sur cour


    Classement par Wikio.

  • La camara oscura de Maria Victoria Menis **

     Maria Victoria Menis dans La Camara Oscura (Photo)

    En 1892, Gertrudis naît sur un bateau qui amène des immigrants juifs en Argentine. Déçue d’avoir une fille, la mère rejette l’enfant qu’elle trouvera toujours laide au point de la cacher sur les photos de famille. Le physique de Gertrudis ne va pas s’arranger avec le temps (pour vous donner une idée, imaginez un corps de fille avec la tête de Jean Reno : aiuuuuutooooo !).

    Ses parents vont la marier à un riche propriétaire local, ravi d’épouser une femme laide qui ne pourra le tromper. Toute sa vie, elle lui servira de bonne à tout faire, même des enfants qui seront tout aussi indifférents à leur mère que le reste de la terre.

    Depuis l’enfance, Gertrudis cultive sa richesse intérieure et se réfugie dans la lecture de contes, de poésies, plante des fleurs, se promène nonchalamment en soupirant...

    Jusqu’au jour où son mari reçoit pour quelques jours un photographe qui devra réaliser des clichés de la famille et des travaux au champ. Gertrudis est en admiration devant les récits de ce français qui a parcouru le monde avec son appareil photos…

    Voilà typiquement le genre de film beau et chiant. Et même très beau. Mais à part nous dire que la beauté cachée des laids se trouve à l’intérieur qu’y a-t-il ? Nada.

    Cela dit, on peut facilement se laisser happer par la douceur grisante de l’ensemble, admirer chaque plan qui mériterait qu’on s’y attarde et peut-être (comme moi) se laisser cueillir par une fin aussi exquise qu’inattendue qui rattrape la torpeur dans laquelle on aurait pu se laisser emporter.

    Un film délicat. Ce n'est déjà pas si mal.

  • Un acteur, un personnage !

    Vous aviez aimé ce jeu. Dites-moi quel est l'acteur et quel personnage il interprète.

    I

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    JOHNNY CASH / JOAQUIN PHOENIX
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    II

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    JEAN MICHEL BASQUIAT / JEFFREY WRIGHT
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    III

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    CHE GUEVARA / BENICIO DEL TORO
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    IV

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    COLUCHE / FRANçOIS-XAVIER DEMAISON
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    V

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    MALCOLM X/DENZEL WASHINGTON
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    VI

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    SERGE GAINSBOURG / ERIC ELMOSMINO
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    VII

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    GEORGE BUSH / JOSH BROLIN
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    VIII

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    JACQUES MESRINE / VINCENT CASSEL
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    IX

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    IAN CURTIS / SAM RILEY
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    X

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    JIM MORRISSON / VAL KILMER
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    XI

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    BOB DYLAN / CATE BLANCHETT
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    XII

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    RICHARD NIXON / ANTHONY HOPKINS
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  • Jusqu’à toi de Jennifer Delvoldere *

     Mélanie Laurent, Jennifer Devoldere dans Jusqu'à toi (Photo)

    Chloé est jeune, belle mais timide, un peu sauvage (limite misanthrope), un peu rêveuse, un peu farfelue, inapte à la vie et au bonheur et surtout très très seule. Elle vit à Paris, travaille avec des gens qu’elle juge médiocres, a un père qui fut absent mais qui voudrait devenir présent, une amie en mal d’enfants…

    De l’autre côté de l’Atlantique il y a Jack, jeune, beau, largué par sa copine. Il se retrouve donc très très seul, un peu rêveur, un peu farfelu. Il a un ami, hobbit buveur de bières et c’est à peu près tout. En regardant au fond d’une bouteille de coca, Jack gagne un séjour à Paris.

    Comment faire pour que ces deux tourtereaux qui ne le savent pas encore se rencontrent ???

    Simplement, faire en sorte que leurs valises soient perdues et qu’on vienne rendre à Chloé celle qui ne lui appartient pas. Comme la jeune femme est très romanesque, elle va se mettre à fantasmer sur le propriétaire du bagage perdu en en inventoriant le contenu.

    Vont-il se rencontrer ? Se comprendre ? S’aimer ?

    Vous le saurez en allant voir cette comédie sentimentale qui remplit pratiquement point par point le cahier des charges du genre.

    Si le courage vous en dit, vous pouvez relever les aberrations et autres machins très agaçants (et venir m’en faire part). Par exemple :

    - c’est fou ce que les personnages des comédies sentimentales ont de facilités pour prendre l’avion, faire des allées et venues d’un continent à l’autre.. alors qu’ils n’ont même pas de quoi se payer leurs locations de DVD,

    - c’est fou ce que les personnages des comédies sentimentales ont comme problèmes psychiatriques avec leurs parents… avez-vous déjà vu une mère qui ne cumule pas toutes les tares de la mère abusive, ou un père qui ne soit pas complètement passé à côté de sa progéniture etc,

    - c’est fou ce que les personnages des comédies sentimentales peuvent dire comme conneries exaspérantes ou risibles. Exemple, Chloé travaille dans une revue qui parle de médicaments. Elle raconte à Jack que sa mère était pharmacienne et qu’elle l’aidait à ranger les boîtes de médicaments quand elle était petite : « je devais avoir besoin qu’on me soigne, qu’on me mette des pansements, qu’on s’occupe de moi… ».

    Au secours !!!!

    Je dirais que le seul, l’unique intérêt réside en la présence de la délicieuse, charmante, adorable, craquante Mélanie Laurent qui défend ce petit film amorphe avec fantaisie et une belle énergie.

  • Simon Konianski de Michal Wald ***

     Jonathan Zaccaï, Nassim Ben Abdeloumen, Micha Wald dans Simon Konianski (Photo) Nassim Ben Abdeloumen, Popeck, Micha Wald dans Simon Konianski (Photo)

    Simon a 35 ans, il est au chômage, sa femme dont il est toujours amoureux l’a fichu dehors, il se retrouve contraint de venir vivre provisoirement chez son père Ernest. Parfois Simon a la garde d’Hadrien, son petit garçon de 6 ans passionné par les histoires de déportation de son grand-père, et particulièrement du Kapo Michal. Rien ne va vraiment bien pour Simon donc qui forme avec son père un « couple » typiquement juif : qui s’adore mais ne se comprend pas et ne cesse de se crier dessus. Régulièrement la famille se réunit pour un repas où sont également présents l’oncle Maurice traumatisé et persuadé que la Stasi va venir l’arrêter et la Tante Mala qui parle énormément. Simon en a plus qu’assez de ces histoires de camps de concentration et de conflit du moyen orient. Il est d’ailleurs taxé de pro-palestinien par ses proches…

    A la suite d’un évènement inattendu, toute la famille doit se rendre en Ukraine.

    Le road-movie qui démarre la seconde partie du film conduira les héros qui vivent en Belgique, à travers l’Allemagne remplie de nazis, et la Pologne bourrée d’alcoolos.

    C’est drôle, et même très drôle souvent et parfois l’émotion se mêle aux rires. Simon visitera même malgré lui le camp où son père a été déporté. Forcé de récupérer son fils qui y est entré contre son avis, l’émotion est vive de visiter ce camp désert où le silence qui pèse des tonnes fait travailler l’imagination. Le réalisateur désamorce cette soudaine gravité et il est impossible de ne pas exploser de rire lorsque Simon court après son fils en criant : « on ne court pas dans les camps ! ».

    Dommage qu’il y ait quelques temps morts car ce film poéticomique semble du coup se chercher parfois. C’est vrai qu’on comprend que le fil du rasoir doit être inconfortable pour tenter de ne choquer ou de ne blesser personne. En tant que « goy » respectueuse et parfois hantée par cet inconcevable et infâmant épisode de l'histoire, j’ai trouvé vraiment touchant, audacieux et réussi de mêler dans un même film des mots et des idées plus ou moins tabous, plus ou moins sacrés, plus ou moins maudits. Bravo à Michal Wald de n’en esquiver aucun.

    Jonathan Zaccaï, Popeck et le petit garçon Nassim Ben Abdemoulen sont tout simplement formidables, ensemble ou séparément. Mais toute la galerie de « vieux » ex-déportés, rescapés est impeccable aussi.

  • Somers town de Shane Meadows ***

     Thomas Turgoose, Shane Meadows dans Somers Town (Photo) Thomas Turgoose, Shane Meadows dans Somers Town (Photo)

    A peine sorti du foyer d’accueil, Tommo 16 ans, sans famille, débarque à Londres avec son sac à dos. Le même soir, il se fait tabasser et dépouiller par trois loubards et se retrouve donc seul, sans papiers, sans argent, sans autres vêtements que ceux qu’il porte.

    On s’attend à du Ken Loach bien sombre mâtiné de Dickens très très noir avec une pincée d’Hector Malot pour assombrir encore le tableau, et on se retrouve face à une histoire lumineuse pleine d’espoir, de tendresse et de joie de vivre.

    En effet, Tommo va faire la rencontre de Marek, ado comme lui, nettement moins abandonné puisqu’il vit avec son père ouvrier polonais très affectueux bien que très porté sur la bouteille, mais tout aussi seul.

    D’abord méfiant devant ce SDF pas forcément rassurant (les multiples marques au visage suite à son agression, l’air buté et bagarreur de l’acteur Thomas Turgoose n’y sont sans soute pas pour rien), Marek va finalement l’abriter, le protéger, devenir son ami, lui présenter Maria, la jeune serveuse dont il est secrètement amoureux. Et l’on va suivre les pérégrinations londoniennes parfois farfelues de ces deux zigotos de plus en plus sympathiques et attachants.

    On peut dire qu’on tremble pour eux à pas mal de reprises, le quartier de Somers Town (on est ni à Notting Hill ni à Covent Garden) n’étant pas le « personnage » le plus sécurisant bien qu’il soit filmé dans un noir et blanc somptueux superbement éclairé (pas étonnant d'ailleurs que le passe-temps favori de Marek soit de faire de la photographie et de repérer la beauté au coin des rues les plus louches). La rencontre avec un gentil escroc, la cuite monumentale que les deux ados se prennent, la déception quand Maria (la fille dont finalement ils sont tous les deux amoureux, on les comprend…) quitte Londres sans les prévenir… tout va nous faire craindre le pire pour eux. Mais Shane Meadows a choisi de jouer cette fois la carte de l’optimisme, de positiver, de nous prouver que des gens qui n’ont à peu près rien pour être heureux le sont finalement avec des petits riens essentiels qui rendent la vie meilleure. Rien de fâcheux ne va leur arriver et au contraire à plusieurs reprises on sera bien obligé de rire franchement d’eux et avec eux.

    Il faut dire que le réalisateur possède un atout gigantesque en la personne de son jeune acteur Thomas Turgoose (déjà stupéfiant dans « This is England ») qui joue Tommo et qui est plus naturel que bien des pros de longue date devant une caméra. N’hésitant pas à franchement « faire le con » (la cuite mémorable !) ou à se ridiculiser (obligé de s’habiller en femme parce qu’il a tout perdu ou son mal de ventre après avoir mangé trop d’épices…), il semble avoir tout compris, n’avoir aucun complexe, aucun tabou et ne reculer devant aucun excès. Il faut ajouter à cela un physique absolument atypique, un corps d’ado pas encore bien fini, un peu rondouillard et une bouille incroyable que de rares sourires viennent illuminer, le front souvent barré par la méfiance, le regard plutôt ombrageux et méfiant.

    Et l’on comprend pourquoi ce beau film a obtenu Le Grand Prix et le Prix de la Jeunesse au dernier Festival de Cabourg car ce que les deux amis font dans le dernier quart est bien ce qu’un garçon peut faire de plus romantique pour une fille…

     

    Ci-dessous la très charmante Eliza Lazowski recevant un des prix pour Shane Meadows au Festival.

     

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  • L’attaque du métro 123 de Tony Scott *

    (SOUS CETTE NOTE, IL Y A UN JEU PASSIONNANT... NE LE RATEZ PAS)

     John Travolta, Tony Scott dans L'Attaque du métro 123 (Photo) Denzel Washington, Tony Scott dans L'Attaque du métro 123 (Photo)

    « John : allo ? Denzel ? comanxé ch’gros ?

    Denzel : gros, gros, faut pas pousser. Juste enveloppé. 100 kilos les jours pairs. Comment tu vas ma couille ? ça farte ?

    -  oh ben tu sais, le train-train. On fait pas du neuf avec du vieux pas vrai ?

    -  oh toi alors, toujours le mot pour rire…

    -  C’est pas tout ça, ch’gros…

    - Arrête euh avec ça… C’est rien Bébé, c’est John ! Al dente les pâtes hein Bébé ?

    - Ouais, ouais, bon… y’a le Scott qui m’a appelé là, il veut faire un remake de « The taking of Pelham 123 », il appellerait ça « The taking of Pelham one two three ». J’en suis. Il me demande de choisir mes partenaires. J’ai pensé à toi. T’as rien de prévu en septembre/octobre ? C’est cool. On tourne à New-York et ça sort en été.

    -  Ridley Scott ??? Banco man, je signe… Bébé ? Je vais tourner avec Ridley Scott. ‘tain j’suis chaud bouillant moi…

    - Oula, t’emballe pas vieux… C’est que Tony, le frangin .

    - Oh mec, non ? Comment tu me la joues là ? J’ai déjà donné avec le Tony. Ça va faire 10 ans qu’il a deux mains gauches.

    -  Ouais je sais, je sais. C’est pas sur ce coup là qu’on aura l’Oscar, mais ça peut lui faire voir le fond du tunnel à Tony et nous ça nous paye des vacances. Et puis, y’aura l’autre bouffeur de pizzas. Comment i s’appelle déjà ?

    -  Turturro ? nooooooooooon pas ce rital de mes deux? Il va encore nous gaver avec ses blagues juives à deux balles et nous sortir sa langue façon Yézousse Couinetana !

    - T’inquiète, j’contrôle. Lui aussi il est dans le creux de la vague. Je gère ! Il vient cachetonner et il rentre faire le pizzaïolo dans le Bronx au bout de trois jours.

    -  Bon, vas-y, balance la purée. C'est quoi le taf.

    -  Alors moi je suis Ryder. Total look barjot, boucle d’oreille, tatouage, crâne rasé. Je prends les voyageurs d’une rame de métro de New-York en otages et je menace d’en tuer un par minute si dans une heure on m’amène pas la rançon. Genre, le film en temps réel t'vois ? Toi, t’es l’aiguilleur. C’est avec toi et personne d’autre que je négocie. Les keufs rappliquent dans ton burlingue, le macaroni balance ses trois répliques merdiques mais vu qu’il est incompétent, c’est toi qui interviens. T’façon, je veux parler qu’à toi.

    - Oh la la, le métro, des terroristes, New-York en danger, un négociateur… l’est même pas arabe le terroriste. Personne va i croire à ce truc.

    - T’inquiète, j’suis catho intégriste dans le film. Et on est deux gros malins, on se comprend, presque on sympathise. Tous les deux on a des trucs à cacher.

    - Et y’aura du cul un peu ? de la castagne ?

    - Yo man détends-toi, y'aura du gros son et une image cracra mais du cul ? euh non, y'a pas d'meufs, juste une monomaniaque du bidon de lait mais... c'est un film de couillus man… y'a une super poursuite sur le pont de Manhattan à la fin. Ah et puis j’oubliais. Y’a James Gandolfini aussi…

    - Encore un enfoiré de rital ??? C'est une pub pour Panzani ton truc ou bien ?

    - Ouais, mais non et puis il a une super réplique ! Il joue le maire de New-York et à un moment il dit : « scusez m’sieurs dames… j’ai pas mis mon costume de Rudolf Giuliani ce matin ! ».

    - Tordant t’as raison. Et à part ça ? on a quoi à se mettre sous la dent ???

    - Ben rien, enfin quand même on dézingue un  peu les otages, ça change.

    - Et je pourrai avoir une boucle d'oreille moi aussi ?

    - C'est ça, et on s'roule une pelle à la fin ?

    - T'es con, j'te jure !

    - Bon allez, sans rire, pour la boucle, ça devrait pouvoir s'arranger. Tu sais ch'gros, c’est le genre de film t’en-a-vu-un-tu-les-as-tous-vus, on joue les couillus, on torche ça en 3, 4 semaines, le reste c’est des effets spéciaux et on passe à la caisse… ».

  • Les stars ont des enfants.

    Saurez-vous retrouver qui sont les illustres parents (parfois un, parfois deux) de ces petits choux qui vont devoir se "faire un prénom" ?
    Je suis d'accord avec vous, on s'en fout : C'EST JUSTE POUR JOUER !!!

    I

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    ALEC BALDWIN / KIM BASSINGER : Frederique qui en connaît un rayon sur la famille (si vous souhaitez en savoir plus, envoyez lui un timbre)

    II

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    ANTONIO BANDERAS (mais quand ?) / MELANIE GRIFFITH
    III
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    LA FAMILLE SCHWARZIE : Marine

    IV

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    JENNIFER GARNER / BEN AFFLECK : Marine

    V

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    LES JOLIE/PITT : Jochû

    VI

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    MICHAEL DOUGLAS / CATHERINE ZETA JONES : Claire

    VII

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    GWYNETH PALTROW / CHRIS MARTIN : Marine

    VIII

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    DEMI MOORE / BRUCE WILLIS : Marine

    IX

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    HEATH LEDGER

    Y

     / MICHELLE WILLIAMS et Matilda : Merci MariePap' *-*

    X

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    LES PARADIS / DEPP : Marion

    XI

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    UMA THURMAN / ETHAN HAWKE
    Pour les pondeuses qui passeraient dans le coin, vous remarquerez le "portage de bébé star", sur la hanche, nulle part ailleurs !