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Sur la Route du Cinéma - Page 465

  • Les affiches de films

    ne sont pas toujours originales !

    Il y a deux films à chaque image. Lesquels ? (Je sais, c'est donné !).

    Question subsidiaire :

    - parmi ces 26 films, il n'y en a qu'un seul que je n'ai pas vu : lequel ? Pourquoi ?

    Il s'agit de Microcosmos car je déteste les insectes. C'est Frederique qui après les avoir quasiment tous éliminés un par un pour de bonnes raisons, a trouvé la réponse :-)

    - j'en ai DéTESTé DEUX : lesquels ?

    Jordane a trouvé : Vinyan est bien l'un des deux films que j'ai détesté.

    Et Frédérique a trouvé l'autre, il s'agit de Fauteuils d'orchestre.

    I

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    BIRD - RAY : Bravo Jordane

    II

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    CASABLANCA - THE GOOD GERMAN : Bravo Frederique aidé par Jordane

    III

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    CLOSER - LES TEMOINS : Bravo Jordane !

    IV

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    IMMORTEL - VINYAN : Bravo les mêmes.

    V

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    THIS IS ENGLAND - GOMORRA : bravo Jordanette

    VI

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    M. & Mrs SMITH - DESACCORD PARFAIT : Bravo Mario

    VII

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    LA MORT DANS LA PEAU - MICHAEL CLAYTON : Bravo l'équipe

    VIII

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    ESSAYONS CECI :
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    LE JOUR LE PLUS LONG - IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN : BRAVO DARK.

    IX

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    INTO THE WILD - J'IRAI DORMIR A HOLLYWOOD : les mêmes
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    LES POUPEES RUSSES - FAUTEUILS D'ORCHESTRE : etc...
    XI
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    L'OURS - MICROCOSMOS : pfff.
    XII
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    TITANIC - LE SECRET DE BROKEBACK MOUNTAIN : Bravo Super Mario
    XIII
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    PRETTY WOMAN - PRÊTE MOI TA MAIN : Bravo Mario
  • Clint Eastwood en a 2…

    Il a accepté le très distingué « Brass balls award » sur la chaîne de télé américaine méchamment burnée « Spike » (chaîne destinée à un « public de jeunes adultes de sexe masculin »)…

    .

     

    Clint Eastwood accepts the brass balls award at the Spike... (Chris Pizzello / AP)

     

    Lors de cette soirée des « Spike TV's Guys Choice Awards »

    Ont également été remis :

     

    The Decade of Hotness award à Halle Berry,

     Halle Berry reacts as she is presented with the Decade of... (Chris Pizzello / AP)

    The Fight Club Award à David Fincher, Brad Pitt et Edward Norton

     Director David Fincher, center, accepts the "Fight Club A... (Chris Pizzello / AP)

    The guy of the year award à Mickey Rourke

     Actor Mickey Rourke accepts the guy of the year award at ... (Chris Pizzello / AP)

    Si vous souhaitez voir des vidéos de cette soirée hot glamour, rendez-vous ici.

  • Sans rancune de Yves Hanchar °

     Milan Mauger, Yves Hanchar dans Sans rancune ! (Photo)

    1955 en Belgique – Laurent, orphelin de père (mort lors d’un raid aérien pendant la seconde guerre mondiale), viré de son lycée, intègre une pension pour garçons. Rapidement, il croit que le prof de littérature n’est autre que ce père disparu quand il avait deux ans. Avec un copain, il va tenter de trouver des preuves et par ailleurs poussé par ce même prof, entamer l’écriture de son premier roman.

    Difficile de croire qu’un tel film fût possible. Il faut dire qu’un réalisateur qui ose faire dire à un de ses personnages « Mozart, c’est de la guimauve » ne peut pas être bon. Définitivement. Malgré tout le respect que j'ai pour Schubert.

    Sorte de mixture ratée entre « Le cercle des poètes disparus » et « Les choristes », ce film semble avoir été tourné à l’époque où il se situe (ce qui n’est pas un compliment pour les années 50 qui recèlent évidemment des pépites). Vieillot, daté, naïf, écrit avec les genoux… il faut vainement chercher ce qu’on peut en sauver. Je dirai : de magnifiques paysages et le pauvre et tout jeune Milan Mauger qui mérite mille fois mieux car on a vraiment l’impression que ce beau garçon peut transformer le plomb en or.

    Pour le reste, c’est tellement mauvais qu’on a peine à le croire. Pour une fois, je dirai aussi que le film est à l’image de l’affiche : propre, bien rangé avec un sourire bêbête dessus. Thierry Lhermitte, engoncé dans un rôle de prof présumé fantasque, qui doit faire naître vocations et sentiments de liberté chez des ados, est ridiculement prétentieux et sûr de lui. Rien à voir avec le charismatique professeur Keating ou le gentil pion des Choristes…

    Les dialogues sont d’une pauvreté, d’une indigence rares et les situations d'une bêtise à pleurer.

    Exemples : la grande punition des élèves est "va regarder les vaches" et l'on retrouve le pauvre héros au milieu des près à faire ses devoirs ;

    ou bien,

    lorsque Laurent intègre le pensionnat il doit partager son coin de dortoir avec un couillon, "Boulette" il s'appelle, méchant comme une teigne... par un beau matin de printemps (il fait toujours beau dans ce film ; mais parfois il fait froid alors tout le monde met son manteau et un personnage dit "ferme la fenêtre il fait froid", mais il fait beau quand même), ils deviennent les meilleurs amis du monde sans qu'on sache pourquoi ni comment...  Bref.

    L’histoire prévisible d’un bout à l’autre est absolument sans intérêt. On n’aura pas l’explication du titre quoique… profs et élèves se serrent la main le premier et le dernier jours de l’année en s’appelant par le prénom et en se disant « sans rancune » d'un air entendu.

    Quant à savoir si le prof est vraiment le père de Laurent !!!

    Oui ou non

    ou les deux,

    c’est comme vous voulez.

    On s’en fout.

  • Harry Potter et le Prince de sang mêlé de David Yates **

     Daniel Radcliffe, Emma Watson, Rupert Grint, David Yates dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé (Photo) Bonnie Wright, Daniel Radcliffe, David Yates dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé (Photo) Alan Rickman, Daniel Radcliffe, Emma Watson, Maggie Smith, Rupert Grint, David Yates dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé (Photo)

    L’ombre de la mort et des ténèbres plane sur ces nouvelles aventures du petit sorcier devenu grand. Et comme justement ses copains et lui sont devenus grands (16 ans, c’est pas rien), les hormones et tous les trucs de l’alchimie chabadabadienne commencent sérieusement à les chatouiller. Chez ces ados qui continuent néanmoins à porter des pulls infames droits sortis des seventies ou des chemises de bûcheron, comme chez tous les ados, rien ne peut être simple. Hermione se meurt d’amour pour Ron qui s’amourache de Lavande Brown (une cruche béate et gnangnan qui l’appelle « Ronron » J), tandis qu’Harry, ce nigaud, ne voit pas que Ginny, la sœur de Ron s’étiole d’amour pour lui. On attend réellement le cœur battant que les couples se forment pour de bon, si les garçons se décident enfin à ne plus être aveugles… La sorcellerie ne peut pas tout apparemment…

    Concernant l’intrigue, comme d’habitude, je n’y comprends rien sauf que Harry est « l’élu » qui doit éliminer celui-dont-il-est-le-seul-(avec-moi)-à-oser-prononcer-le-nom : Voldemort qui terrorise sorciers et Moldus aidé par de mystérieux et inquiétants démons tout noirs.

    Grande et bonne nouvelle, cet épisode est sans aucun doute le plus réussi. Contrairement à tous les autres, même celui considéré comme le meilleur jusqu’ici (le 3…) il ne laisse aucune minute de répit et reste plutôt palpitant d’un bout à l’autre. C’est déjà pas mal, mais c’est encore mieux que ça.

    La scène d’ouverture est prodigieuse et installe un climat assez angoissant dans un Londres que l’on traverse a toute allure en volant comme grimpé sur le dos de Superman. Les décors gothico-kitsch sont somptueux et les effets spéciaux de plus en plus spéciaux et spectaculaires, donc de moins en moins visibles. Même la traditionnelle partie et l’entraînement de Quidditch ressemblent enfin à quelque chose bien qu’il semble se rapprocher de plus en plus d’une espèce de football dans les airs aux règles absconses (mais il est tout aussi possible de survivre sans rien comprendre aux règles du hors-jeu) et aux costumes improbables.

    Ce qui semble faire désormais partie du contrat est qu’il y a une fois encore mort d’homme et non des moindres… On peut donc regretter que ce qui ne change pas du tout est l’absence totale d’émotion.

    L’histoire, toutes les histoires ne semblent être là que pour amener plus ou moins énergiquement au combat final en maintenant un intérêt constant (je le répète, c’est vraiment le cas ici). Il est certain que lorsque l’on verra la dernière image de la dernière bobine d’une saga qui nous aura tenu en haleine pendant 10 ans, on sera comme orphelins d’Harry, de ses amis et de ses ennemis. En attendant ce grand moment, on peut se concentrer sur les changements notables de ce sixième épisode. Le meilleur, j’insiste !

    D’abord, Halleluyah Harry apprend à « transplaner » sans vomir et surtout, surtout, cette espèce de dadais (qui sera bientôt plus grand que Dumbledore) commence à avoir de l’humour, ce qui lui faisait sérieusement défaut jusque là. Oui, pour la toute première, fois toutoute première fois, j’ai ri pendant « Harry Potter… ». J’ai lu de ci de là que Daniel Radcliffe était mauvais acteur alors que je trouve au contraire qu’il s’améliore et que son jeu s’affine de film en film.

    Je n’en dirai pas de même d’Hermione (Emma Watson) qui évidemment a le rôle pas forcément facile de la forte en thème, première de la classe, donneuse de leçon… mais son joli minois exprime peu de choses alors qu’elle se languit pour Ron, rappelons-le.

    Ron (Rupert Grint) est étrangement le tombeur de ces dames et il a complètement abandonné tous ces tics et grimaces qui (me) l’avaient rendu insupportable. Il ne l'est donc plus (insupportable) et même mieux que ça.

    Quant à Ralph Fiennes celui-dont-etc..., sans doute trop occupé à faire la lecture à Kate Winslet, il ne fait qu'une apparition ectoplasmique (surtout ne clignez pas des yeux, vous risqueriez de le rater).

    Les profs et autres piliers de Poudlard assurent toujours sans faillir mais il est évident que c’est toujours Sevenus Rogue (Alan Rickman… je l’aime d’amour !) qui distille nonchalamment, langoureusement et intelligemment l’inquiétude, le trouble et l’ambiguïté…

    Mais les lauriers reviennent étonnamment à celui que le physique et le jeu exécrables ajoutés à son rôle de chanmé sournois avaient jusque là rendus antipathique, Tom Felton allias Drago Malefoy. Malgré son rôle essentiel, ses apparitions sont plutôt réduites dans le film. Néanmoins, il le traverse comme un fantôme en proie aux pires tourments. Il semble d’ailleurs davantage angoissé et suicidaire que réellement animé de sombres desseins. Son air et son comportement mélancoliques sont la grande et bonne révélation de ce chapitre. Il est épatant.

    Foi de Moldue, vivement la suite !

     Alan Rickman, Tom Felton, David Yates dans Harry Potter et le Prince de sang mêlé (Photo)

  • J’ai tué ma mère de Xavier Dolan ****

     Anne Dorval, Xavier Dolan dans J'ai tué ma mère (Photo) Xavier Dolan dans J'ai tué ma mère (Photo)

    Entre Hubert ado de 16 ans et sa mère (épatante Anne Dorval) qui l’a élevé seule, le torchon brûle. Sérieusement, gravement.

    Plus un instant de répit n’existe entre eux. Il trouve qu’elle mange salement, porte des vêtements trop voyants, qu’elle oublie tout, qu’elle parle pour ne rien dire, préfère écouter des émissions débiles que de discuter avec lui... En un mot elle « l’écoeure », il ne peut plus la supporter et chaque fois qu’ils cohabitent, en voiture quand elle l’emmène au lycée, à table pour les repas, c’est l’engueulade permanente, virulente, violente.

    Cependant Hubert se souvient, et regrette le temps béni où ils s’aimaient, se parlaient.

    Xavier Dolan est un surdoué : bon acteur, bon réalisateur, bon scénariste, il signe de chaque côté de la caméra et à 20 ans son premier film où il développe la mémoire encore fraîche de son adolescence et de cette période manifestement clé et envahissante où il a cessé d’aimer sa mère, quoique...

    Nombriliste, égocentrique, narcissique, parfois branchouille, un rien poseur et j’en oublie sans doute, « J’ai tué ma mère » avait à peu près tout ce qu'il faut pour déplaire et agacer. Par ailleurs, Xavier Dolan est beau, il le sait, il joue de sa mèche à bouclettes rebelle, filme sous toutes les coutures son joli visage en plans très serrés et son joli corps. Dans ses petits pulls à col en V ou rayés, cela ressemble même parfois à une pub pour Jean-Paul Gauthier.

    Malgré, ou est-ce à cause de tout cela, ce film est tout simplement formidable.

    Formidablement drôle, impitoyable, cruel et parfois cru.

    Outre le fait que Hubert devienne incompatible avec sa mère, qu’il ait des velléités d’indépendance (prendre un appartement à 16 ans !), qu’il s’ennuie en classe (forcément un surdoué…), il doit aussi assumer le fait qu’il est homosexuel et très amoureux. Cela fait beaucoup, d’autant que la mère qui semble dans un premier temps ne pas prendre au sérieux les éclats et insultes de son fils, son « Lou » comme elle l’appelle, continue à jouer (inconsciemment) à la mère poule immature, multipliant les gaffes et chantages affectifs.

    Ce film est épatant et étonnant car manifestement Xavier Dolan ne s’est pas trompé de moyen d’expression et son film foisonne de références insistantes et touchantes à d’illustres aînés tels que Gus Van Sant et Wong Kar-Waï, mais aussi d’abondantes trouvailles personnelles.

    Le délicieux accent québécois et la précision des expressions colorées et imagées que nos « cousins » utilisent, atténuent sans aucun doute la portée agressive des échanges verbaux d’une brutalité parfois sèche et tranchante, nous obligeant à sourire ou à rire franchement.

    Faites un triomphe à ce grand petit film qui au final se révèle être non pas une déclaration de guerre mais le témoignage authentique et attendrissant de l’amour d’un petit garçon pour sa maman…

     

    Je vous ai dit que ce film est formidable ?

  • The reader de Stephen Daldry ****

     David Kross, Kate Winslet, Stephen Daldry dans The Reader (Photo) Ralph Fiennes, Stephen Daldry dans The Reader (Photo)

    Michaël a presque 16 ans en 1958 lorsqu’il rencontre Hanna par hasard dans une petite ville d’Allemagne de l’Ouest. Entre eux va naître une passion secrète et sensuelle qui va se transformer en sentiments profonds. De 20 ans son aînée, Hanna initie le tout jeune homme au plaisir tandis que lui, encore lycéen va l’enchanter en lui faisant la lecture à voix haute.

    Un jour Hanna disparaît. Michaël, devenu étudiant en droit la retrouve des années plus tard en d’étranges circonstances…

    Depuis Gran Torino (de qui vous savez), je n’avais pas autant inondé de mes larmes un fauteuil de cinéma. Avec la dernière demi-heure, je me suis effondrée face aux acteurs, aux personnages, aux thèmes bouleversants et aux questions sans réponse la plupart qui parcourent ce film frémissant à l’image du roman capital et troublant dont il est tiré.

    Traiter dans le même livre de la question délicate des amours entre une adulte et un mineur, de la Shoah, de la responsabilité collective ou individuelle, de la culpabilité d’aimer un monstre… et d’autres choses encore que je ne révèle pas pour laisser quelques surprises à ceux qui n’ont pas lu le livre, pouvait laisser augurer un film des plus scabreux. Il n’en est rien parce que Stephen Daldry a la grande intelligence de ne rien résoudre, de ne rien juger et de faire de son film à la fois froid et déchirant une œuvre particulièrement dramatique et humaine. Il a également l’immense subtilité de laisser son héroïne « raconter » les camps sans montrer les images des horreurs qu’elle évoque.

    Le scenario suit Hanna et Michaël ensemble ou séparément à travers trois périodes clé : 1958, 1988 et 1995 mais pas forcément de façon linéaire. Là non plus, je ne précise pas pour vous laisser les découvrir quels évènements particuliers marquent ces trois années essentielles précisément. Il fallait beaucoup de finesse et de lucidité pour parvenir à émouvoir sans choquer, trahir ou juger. Le pari est parfaitement réussi je trouve.

    Quant aux acteurs, ils sont tout simplement fabuleux.

    Kate Winslet, très incontestablement récompensée d’un Oscar pour ce rôle, est absolument époustouflante. En peu de mots mais avec une palette d’expressions et d’émotions considérables elle parvient à rendre son personnage énigmatique et équivoque, supportable. Il faut la voir réagir en larmes, en indignation ou en rires face aux lectures de son jeune amant. La démarche lourde et l’inquiétude et la méfiance chevillées au regard, à la fois dure et vulnérable, elle conserve le sourire le plus triste jamais vu. Cette actrice est extraordinaire.

    Face à elle, le tout jeune David Kross, séduisant sans être l’ado lisse et stéréotypé qu’on voit trop souvent, parvient à mêler de façon assez troublante l’enfant qu’il est encore et l’adulte qu’il est en train de devenir. Dans les scènes très osées face à Kate Winslet, il est absolument incroyable tout comme dans les moments où il doit lire. On a très hâte de le retrouver.

    C’est Ralph Fiennes qui incarne Michaël adulte. Il a évidemment tout ce qu’il faut et notamment cette personnalité ombrageuse pour interpréter cet homme déstabilisé par l’amour d’un été qui l’a brisé à jamais le rendant indisponible aux autres.

  • Les actrices aussi perdent la tête !

    Je trouve que les jeux pour les nuls (voir le précédent) ne sont pas dignes de vous.

    Alors 3 énigmes pour ce jeu. TOUT A ETE TROUVé. BRAVO ET MERCI AUX ASSIDUS.

    1) Qui sont ces actrices ?

    2) De quel film est extraite l'image ?

    3) Quel est LEUR point commun ? ELLES SONT TOUTES PARMI MES ACTRICES PRéFéRéES...

    IL MANQUE SANDRINE BONNAIRE ET KATE WINSLET... qu'elles me pardonnent !

    I

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    ASLEY JUD - BUG (Bravo Ro)

    II

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    SCARLETT JOHANSON - LE PRESTIGE (Bravo Osmany)

    III

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    ANGELINA JOLIE - RAISONS D'ETAT (Bravo Rob)

    IV

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    CHARLIZE THERON - DANS LA VALLEE D'ELAH (Bravo Rob)

    V

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    ISABELLE ADJANI - MORTELLE RANDONNéE - BRAVO LA PYRéNéENNE

     VI

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    ISABELLE CARRE - ANNA M. (Rob, bravo)

    VII

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    JOSIANE BALASKO - J'AI VU TUER BEN BARKA (BRAVO MON DADA) et si y'en a des qui veulent jouer... vous lui cliquez dessus, y'a jeu aussi chez le Dada

    VIII

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    MERYL STREEP - SUR LA ROUTE DE MADISON (Bravo La Fiotta)

    IX

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    JULIETTE BINOCHE - TROIS COULEURS BLEU (Bravo Rob, Bravo Dada pour l'inspiration)

    X

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    CATHERINE FROT - L'EMPREINTE DE L'ANGE (Bravo Rob)

    XI

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     Catherine Deneuve, Claude Lelouch dans Si c'était à refaire (Photo)
    CATHERINE DENEUVE - SI C'éTAIT à REFAIRE (Bravo Mon Dada)

    XII

    IRENE JACOB - TROIS COULEURS : ROUGE (Bravo Dada)
  • Affiches de films...

    un peu (!) floues,

    sans lunettes...

    Alors ? Quels sont ces films ?

    Et pour corser l'affaire vraiment trop simple, quel est LEUR point commun ?

    La réponse est : CE SONT LES PREMIERS FILMS DONT J'AI PARLé LORSQUE J'AI COMMENCé CE BLOG LE 27 MARS 2006. Bravo Rob.

     I

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    II

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    III

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    IV

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    V

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    VI

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    VII

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    VIII

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