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russel crowe

  • LA MOMIE

    d'Alex Kurtzman *

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    Avec Tom Cruise, Russel Crowe, Sofia Boutella, Annabelle Wallis

    Synopsis : Bien qu’elle ait été consciencieusement enterrée dans un tombeau au fin fond d’un insondable désert, une princesse de l’ancienne Égypte, dont le destin lui a été injustement ravi (en fait, de jalousie, elle a zigouillé son père, la femme de son père et leur bébé), revient à la vie et va déverser sur notre monde des siècles de rancœurs accumulées et de terreur dépassant l’entendement humain.

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  • THE NICE GUYS de Shane Black ***

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    Avec : Russel Crowe, Ryan Gosling, Angourie Rice

    Synopsis : Los Angeles. Années 70. Deux détectives privés enquêtent sur le prétendu suicide d’une starlette. Malgré des méthodes pour le moins « originales », leurs investigations vont mettre à jour une conspiration impliquant des personnalités très haut placées…

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  • UN AMOUR D'HIVER de Akiva Goldsman

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    Vous serez surpris je le sais, de ne trouver ni ° ni * au frontispice (dingue non, que ce soit ce mot qui me soit venu en tête ?) de cet article. En effet, il m'est absolument impossible de choisir entre l'une ou l'autre solution tant ce film est un modèle du genre. 

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  • LES TROIS PROCHAINS JOURS de Paul Haggis **

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    Si l'on ne tient pas compte du fait que son père ne lui adresse plus la parole (pourquoi ??? mysère), on peut assurer que John, sa femme et leur petit garçon mènent une vie tranquille et sans histoire pleine de connivence, d'humour et de tendresse. La preuve : chaque matin, maman Lara fait un auto-portrait avec son APN de la sainte trinité. Sauf que ce matin là, à peine le petit déj' englouti et qu'elle ait eu le temps de détacher son manteau d'une trace de sang... la police de Pittsburg (oui, ça se passe à Pittsburg) fait soudainement irruption dans la maison et arrête brutalement Lara pour le meurtre de sa patronne... Stupeur et abattement chez les Brennan, Lara en prend pour 20 ans et commence à purger sa peine. Au bout de deux ans, elle craque, grave et fait une tentative de suicide. Du coup, John relit "Don Quichotte" et se souvient surtout qu'il est Maximus Decimus Meridius, commandant en chef des armées du nord, général des légions Phoenix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurèl, père d'un fils assassiné, époux d'une femme assassinée et qu'il aura sa vengeance dans cette vie ou dans l'autre. Non mais. C'est là que le petit prof de littérature se transforme en machine de guerre prêt à tout et aussi à devenir hors la loi pour sortir sa chérie de prison ! Et il était temps car voir Maximus se faire mettre minable par deux voyous sans broncher, ça énerve !

    Vous l'avez compris, le GRAND intérêt de ce film c'est Russel Crowe, alors si vous faites une allergie, passez votre chemin. Moi j'adore. En plus, le réalisateur nous réserve quelques belles scènes d'action et de poursuites, notamment dans la dernière demi heure qui relancent l'intérêt et provoquent quelques poussées d'adrénaline. Il s'agit donc du remake américain de "Pour elle" de Fred Cavayé. Mais est-ce à cause de l'effet de surprise totalement émoussé (jusqu'ou un homme peut-il aller pour sauver celle qu'il aime ?) ou parce qu'on ne peut imaginer que Russel Crowe puisse perdre, cette copie m'a semblé moins captivante quoique plus musclée que l'original. Et puis, il me semble que le réalisateur français laissait planer le doute quant à la culpabilité de Lara alors que l'américain révèle et explique tout.

    Cela dit, le divertissement reste plaisant et efficace. Deux heures sans la moindre minute d'ennui, et Russel toujours très concerné dès qu'il s'agit de sauver une femme en péril, ce n'est pas rien.

  • Jeux de pouvoir de Kevin Mc Donald *

     Russell Crowe, Ridley Scott dans

    Un jour par une sombre nuit pluvieuse un jeune black aux dents pourrites se fait flinguer en pleine impasse après une course poursuite haletante. Un pauvre pizza livreur au regard insistant qui passait par là se prend une bastos dans la 5ème vertèbre aussi, ça l’apprendra à regarder avec son regard insistant. Le lendemain matin par une belle journée ensoleillée une jolie roukmoute toute pomponette se rend à son travail d’assistante du député Stephen Collins. Avant d’y arriver, elle se jette sous une rame de métro. Sauf que peut-être elle a été poussée à l’insu de son plein gré. On sait pas.

    La police est sur le coup, mais aussi Cal McAffrey journaliste briscard, cracra et rond du bide au « Washington Globe » (MDR !) à qui on ne la fait pas. Il est irlandais et il le prouve : il écoute les Pogues ou les Dubliners à fond la stereo dans sa bagnole pourrave, et il boit du « vin irlandais » (whisky : re-MDR !). Sauf qu’on ne me la fait pas à moi non plus : Maximus est néo-zélandais et boit du jus de kiwy, je ne reviendrai pas là-dessus !

    Quand Stephen, le joli député tout propre sur lui (Ben Affleck, frère du gone baby gone coward lonesome Jim Gerry Casey, aaaaaaaaaaaaaah Casey !!!), apprend que son assistante et néanmoins maîtresse d’amour n’est plus qu’un macchabée en charpie dont on n’a retrouvé que le badge, il pleure en plein devant les caméras. Ça crédibilise la thèse du « je suis triste mais the show must go one ». Sauf que… bon.

    N'allons pas trop vite, l’histoire dure 2 h et 7 minutes quand même.

    Cal se voit attacher à ses basques une jeune journaliste aux dents longues mais au cœur pur « ô my gode, mais il y a des gens qui meurent dans la vraie vie ??? on ne peut pas laisser faire ça ! ». Je t’en foutrais des « ô my gode ! » moi, c’est juste une manœuvre de pintade pour se rouler sur le torse de Gladiateur et lui, bonne pomme se laisse faire comme un gros nounours qui serait là que pour consoler la pucelle effarouchée.

    Ça me flingue les nerfs des naïfs pareils !

    Bref, au début, ils se tapent sur le haricot réciproque et s’envoient des piques bien senties dans la figure à fleuret moucheté. Mais ils sont quand même obligés de coopérer l’un avec l’autre parce que c’est l’ordre de leur chef, Helen Mirren (l’actrice) obligée de parler comme un charretier pour prouver qu’une patronne de presse est une femme qui en a ! A la fin, ils s’aiment bien et même Maximus offre un collier de stylos à la dinde qui se remet à glousser « ôôô, c’est exactement qu’est-ce que je voulais ! ». Si je ne me retenais pas tiens...

    Cal et sa bleubite (Rachel Mac Adams, vraiment très très mauvaise !) mettent en lumière une sombre histoire de complot machin truc muche bidule chouette et finissent par trouver que des sociétés privées (surtout une) vont finir par devenir le bras armé de la Mérique… bref, l’armée deviendrait un repaire de troufions mercenaires bas de plafond limite psychopathes assoiffés de sang impur ! Tu vois le topo.

    Bon, c’est pas le tout de l’affirmer, faut le prouver et la patronne elle veut son papier pour demain matin ! T’inquiètes, Cal et sa bécasse sont sur le coup. Sauf que Cal a été l’ami intime de fac de Stephen le député, ça crée des liens. Mais aussi il a été l’amant de la femme de Stephen, ça crée des tensions. Surtout que la femme est une chaude dépressive qui n’a pas oublié le jour où Maximus a retiré sa tunique de gladiateur en lin grossier devant elle. La femme c’est Robin Wright Penn, l’actrice la plus triste et pleurnicheuse d’Hollywood Planet que je me demande si cette fille a souri un jour. Bon, c’est sûr qu’avec le mari qu’elle a aussi… t’énerve pas Sean, je te vénère, mais c’est pas tous les jours qu’elle doit se taper une barre (façon de parler) la Robin !

    Bref, de rebondissements en péripéties invraisemblables et ron et ron petit patapon… on se dit qu’on l’a déjà vu 100 fois ce film mais que là en plus, on essaie de nous faire le coup de « Les hommes du Président », le journal s’appelle Washington Post, on cite deux ou trois fois le grand méchant mot « watergate », on fait l’apologie de la presse écrite (la bête à abattre c’est les blogs, sachons-le)… sauf que Russel court moins vite que Robert et que la Rachel n’a rien à voir avec Dustin.

    Donc, on ronronne gentiment sous la clim’… jusqu’à ce que le génial Jason Bateman vienne nous sortir de la douce torpeur estivale en (hélas) un seul grand numéro d’acteur, une seule scène absolument formidable et vivifiante. Et puis tout redégringole et pendant la dernière demi-heure le film n’en finit pas de ne pas finir en une succession de dénouements tous plus tarabiscotés les uns que les autres.

    LE THRILLER POLITIQUE DE L’ANNÉE ???

    Ah bon !