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Cinéma - Page 302

  • Le petit fugitif de Ray Ashley, Morris Engel et Ruth Orkin **

    Le Petit fugitifLe Petit fugitif

    Ça se passe à Brooklyn dans les années 50. Joey 7 ans et Lennie 12 ans vivent seuls avec leur maman dans un petit appartement. C’est l’été mais Lennie considère Joey comme un fardeau car il doit s’en occuper pendant que la mère se rend pendant deux jours au chevet de leur grand-mère. Pour se débarrasser de Joey, Lennie simule un accident. Persuadé d’avoir tué son grand frère, le petit Joey se sauve, saute dans un train et se retrouve à Coney Island qui à l’époque était un immense parc d’attractions au bord d’une plage surpeuplée. Joey va passer une journée et une nuit de rêve et de cauchemar, multipliant les tours de manèges, la dégustation de confiseries, organisant sa fuite devant les policiers, se débrouillant pour gagner les cents qui lui permettent de subsister et se distraire pendant ces 24 heures.

    Entre le bonheur et la culpabilité de Joey la caméra se situe toujours à hauteur du petit garçon qui est une espèce de petit poulbot new-yorkais dont la bouille craquante et le naturel désarmant sont inoubliables. A aucun moment on a l’impression que Joey « joue » mais que toutes ses mimiques, expressions, réactions sont saisies sur le vif.

    Il est incroyable que ce bijou de film soit resté inconnu pendant 56 ans alors qu’il a obtenu un Lion d’Argent à Venise, qu’il était nommé à l’Oscar du meilleur scénario et qu’il est à l’origine de bien des carrières cinématographiques prestigieuses et que François Truffaut en dit :

    "Notre Nouvelle vague n'aurait jamais eu lieu si le jeune Américain Morris Engel ne nous avait pas montré la voie de la production indépendante avec son beau film, Le Petit Fugitif".

  • OSCAR 2009

    Aucun doute, même en chemise, Hugh Jackman est... comment dirais-je ?

    Grand...

    Je ne m'en lasse pas !

    Mon avis sur les Oscar n'ayant aucun intérêt, je ne le donne pas parce que je ne conteste rien... sauf peut-être Penelope Cruz (je ne peux vraiment pas m'empêcher...), car les rôles d'hystérique ne m'ont jamais impressionnée.
    Antoine De Caunes devra lui aussi "mouiller la chemise" pour assurer le show vendredi aux César.
  • The wrestler de Darren Aronofski ****

    The Wrestler - Mickey RourkeThe Wrestler - Evan Rachel Wood et Mickey Rourke

    Il y a une vingtaine d’années Randy Robinson dit “le Bélier” était une star du catch. Aujourd’hui, sans un sou, il vit seul dans un mobil home crasseux, abandonné par sa femme et sa fille qui ne veut plus le voir mais avec qui il tentera de renouer une relation. Pour survivre il se produit dans des salles des fêtes minables, signe des autographes, vend des cassettes vidéo de ses combats et trouve des petits boulots mal payés.

     

    Pour ceux qui comme moi n’y connaissent rien (mais vraiment rien de rien) au monde du catch, ils auront la surprise très inattendue de découvrir, et c’est l’aspect documentaire et manifestement documenté du film, que dans les coulisses ces gros bourrins aux muscles hypertrophiés, dopés aux anabolisants et autres substances chimiques qui se distribuent comme des chewing-gums dans les vestiaires, sont des amis mais aussi de gros nounours adorables qui vivent leur passion au-delà des limites, qui chorégraphient et élaborent leurs matches avant d’entrer en scène. Le but est d’en donner toujours plus à un public survolté qui n’en a jamais assez. Le paroxysme est atteint lorsqu’un adversaire propose un combat où les cordes sont remplacées par des barbelés et où l’on peut faire usage d’une agrafeuse !!!

    Entre les coups feints, ceux qui portent vraiment, les chairs martyrisées, les doses phénoménales quotidiennes de médicaments… le corps et le cœur en prennent un sacré coup. Ici c’est Mickey Rourke I.M.M.E.N.S.E. qui abandonne son corps au cinéma et l’immole au pied de ce film qui lui doit tout ou presque. Evidemment, le talent, le savoir-faire de Darren Aronoski sont à l’œuvre également. Car il n’a pas son pareil pour nous embarquer dans une histoire et ici nous surprendre par son côté hautement réaliste. Il nous plonge littéralement dans ce monde sinistre, sordide malgré les paillettes de certains costumes sans jamais céder au misérabilisme car ces hommes aiment ce qu’ils font et ne savent d’ailleurs rien faire d’autre.

    Le réalisateur n’élude pas l’aspect sentimental de la vie de son héros sans tomber dans un romantisme niais, bien au contraire. Randy essaiera maladroitement, naïvement mais avec une sincérité désarmante de se réconcilier avec sa fille. La scène à Coney Island est à ce titre sublime. Il poursuivra de ses assiduités toutes aussi pures une strip-teaseuse elle aussi fracassée par la vie (Marisa Tomeï dans son énième rôle de brave fille paumée au grand cœur ne m’a pas convaincue mais « énerve » beaucoup les garçons…). Mais c’est le ring, les cordes et les combats qui restent sa raison de vivre.

    Revenons-en à Mickey Rourke ! Je m’étais promis de ne pas faire de parallèle entre le personnage qu’il interprète et ce que tout le monde connaît de sa vraie vie de bad boy, mais il est vrai que la frontière semble tellement mince entre les deux que je suis bien obligée de me résoudre à reconnaître que les deux semblent se confondre parfois. Cela n’empêche nullement Mickey Rourke, ex star sexy glamour des années 80 devenue has-been et indésirable par son acharnement à se détruire, de réussir ici le tour de force de nous émouvoir pendant 1 h 45 sans jamais nous appitoyer. Sa performance d’acteur digne, sensible, chaleureuse, humaine, douce, intelligente, d’une retenue exemplaire où on aurait pu craindre excès et cabotinage est ce qu’il m’a été donné de plus beau et admirable à voir au cinéma depuis longtemps. Sous la longue tignasse filasse jaunâtre dont il soigne particulièrement les racines, le visage presque méconnaissable où l’on retrouve néanmoins encore le doux regard d’ex séducteur sous les traits boursouflés et dans ce corps massif, puissant qui perd peu à peu de sa vigueur, le rare sourire, les larmes de Mickey Rourke sont bouleversants.

    Darren Aronofski conclut son film et nous laisse comme son héros, en apesanteur.

    Mais K.O.

  • Parce qu'

    il n'y aura pas de nouveau film avant plusieurs jours, voici votre petit jeu préféré pour ne pas que vous vous ennuyiez.

    De quels films sont extraits ces morceaux d'affiches ?

    I

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    II

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    III

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    IV

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    V

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    VI

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    VII

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    VIII

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    Et en publiant je m'aperçois que c'est vraiment trop simple... Je ferai mieux une prochaine fois...
  • Eden à l’ouest de Costa-Gavras ***

    Eden à l'Ouest - Riccardo ScamarcioEden à l'Ouest - Riccardo Scamarcio

    Elias vient de l’Est après un voyage dans un rafiot plein d’émigrés comme lui. Pour échapper à la police il plonge et parvient à la nage sur les côtes italiennes dans un club de luxe entouré de barbelés qui propose comme activité à ses riches résidents la chasse nocturne aux clandestins.

    A pied ou en stop, nous suivons le périple d’Elias du sud de l’Italie jusqu’à Paris où il rêve de rejoindre un magicien peu scrupuleux qui lui a fait miroiter un avenir. A cause de, ou plutôt grâce à son irrésistible beauté et à sa grande naïveté, Elias franchira les épreuves et les étapes de ce parcours, toujours entièrement prêt (ou presque) à mettre ses charmes à disposition. Hommes, femmes et enfants tombent immédiatement sous le charme de ce beau jeune homme. La beauté aide manifestement à s’en sortir. Il quittera les bras d’une belle allemande en quête de sensations exotiques pour suivre un temps un illusionniste, faire un bout de route avec deux routiers sympas et « gays » dont il repoussera les avances, un couple de suisses en pleine scène de ménage l’abandonnera en pleine montagne, il s’échappera de chez une paysanne solitaire pas à son goût pour satisfaire son appétit sexuel, il devra semer la police et fera également une halte dans une usine qui exploite les émigrés…

    Il est difficile de reconnaître le style de Costa-Gavras qui nous avait habitués à des charges politiques très sombres et très virulentes. On se demande même s’il ne va pas tenter à la fin de nous faire croire au Père Noël… mais non, quand même pas. Cela dit les aventures picaresques, mouvementées et ensoleillées la plupart du temps d’Elias sont une vraie bonne surprise et il fallait beaucoup de talent pour nous faire vivre à la manière d’une fable à la fois humaniste et humoristique l’itinéraire d’un émigré clandestin. Les aspects plus rugueux comme l’exploitation, l’indifférence ou l’humanisme intéressé ne sont pas éludés mais la plupart du temps traités sur le ton de la comédie. On ne saura jamais d’où vient Elias car le but est sans doute d’en faire un déraciné universel comme le dit lui-même le réalisateur.

    "Eden à l'Ouest tente de faire écho au parcours, à l'errance, à l'histoire de ceux - hier ce fut nous-mêmes ou nos pères et mères - qui traversent la terre, bravent les océans et les uniformes à la recherche d'un toit. L'histoire d'Elias n'est pas celle d'Ulysse, ni celle de Jean-Claude, ni la mienne. Mais je me reconnais dans Elias, cet étranger qui ne m'est pas étranger..."

    La désarmante fraîcheur de Riccardo Scamarcio dans le rôle d’Elias est pour beaucoup dans la réussite totale et l’immense plaisir qu’on prend à ce film. Dans un rôle quasiment muet, on ne peut que reconnaître à quel point l’acteur évoque Charlie Chaplin ou Buster Keaton tant son physique, son visage et ses yeux n’ont besoin d’aucun mot pour exprimer tous les sentiments et sensations qui traversent son personnage. Il est de quasiment tous les plans, époustouflant et porte le film.

    Eden à l'Ouest

  • Doute de John Patrick Shanley °

    Doute - Meryl StreepDoute - Philip Seymour Hoffman

    Au milieu des années 60 dans le Bronx, la directrice d’une école catholique Sœur Aloysius soupçonne et accuse le Père Flynn de pédophilie sur un élève noir de 12 ans.

    Les discussions interminables sur la foi, l’engagement, la morale, la confession, le pardon, la rumeur s’enflamment. La mère supérieure s’acharne sans preuve réelle à établir la culpabilité du prêtre qui se défend parfois mollement, parfois avec ambiguïté. Philip Seymour Hoffamn joue de son physique et de sa personnalité qu’il peut rendre tour à tour séduisants ou inquiétants. Méryl Streep, sévère, rigide raide dans sa soutane multiple les 24 rictus secondes. Tous deux finissent par éructer, des larmes plein les yeux, Amy Adams disparaît sous la coiffe de Sœur James en pleurnichant beaucoup et la mère du jeune garçon qui l’a peut-être bien cherché pleure aussi en avalant trois kilos de morve.

    Coupable, pas coupable, doute ou pas : on se fiche de ce film qui sent la boule à mites...

    Si les Oscars se méritent au nombre de litres de larmes versées, les trois acteurs principaux l’emportent haut la main.

    Vous me pardonnerez, je profite du fait que des réalisateurs passent parfois ici pour me permettre une annonce personnelle.

     

    P.S. : propriétaire du blog surlarouteducinema.com , passionnée de cinéma depuis avant « La Grande Vadrouille », n’ayant aucun talent pour la comédie, aucun humour mais souffrant de conjonctivite chronique (se réveillant parfois le matin avec des yeux plus rouges qu’un lapin russe albinos) cherche emploi de pleureuse à Hollywood (ÉCONOMIE DE MAQUILLAGE GARANTIE !).

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  • CONCOURS

    Une nouvelle fois ALLOCINE me permet d’offrir une invitation pour deux personnes qui aura lieu à Paris à partir de 19 h 30 au Forum des Images :

    Le mercredi 25 février.

    Il s’agit de la troisième édition de la soirée « AlloCiné Family & Friends » avec au programme :

    • Rencontre avec les équipes d’AlloCiné,
    • Cocktail dînatoire,
    • Projection du film « WatchMen – Les gardiens » de Zack Snyder, réalisateur de l’inénarrable « 300 » avec l'encore plus improbable Gérard Butler (j’en ris encore !).
    • Watchmen - Les Gardiens

    Pour gagner cette invitation, il vous faut répondre à cette question simple.

    Vous constaterez que je reste très « in the mood » en vous demandant :

     

    Quel est le réalisateur ayant reçu une Palme d’Or à Cannes a également reçu le Grand Prix du Festival International du Premier d’Annonay (ce qu’il oublie toujours élégamment de préciser dans ces CV…) ?

     

    Question subsidiaire : serai-je à cette soirée ?

  • FESTIVAL INTERNATIONAL DU 1er FILM - ANNONAY 2009, and MY winner is

    THOMAS de Miika Soini *****

    Finlande

     

    festival international du 1er d'annonay 2009,cinéma,thomas,miika soini

     

    Thomas est un vieil homme de 83 ans. Il vit (très) seul dans un minuscule appartement ni vraiment au rez-de-chaussée ni vraiment au sous-sol. Un petit soupirail par lequel il accède en grimpant sur une caisse en bois lui offre un peu de lumière et lui permet d’observer les mouvements de sa rue très en pente. Parfois il se risque à l’extérieur pour une promenade qui lui donne immédiatement envie de rentrer chez lui retrouver son quotidien monacal entre son jeu d’échecs, la radio qui ne diffuse que de la musique classique et une photo de sa femme.

    Immobile et silencieux, mélancolique et pas très sympathique, un peu absent au monde, c’est grâce à une rencontre inattendue dans un parc où il se promène parfois que Thomas va trouver un sens, l’explication, la reconnaissance de toute son existence et peut-être enfin la paix avec lui-même et ce monde qui l'a exclu...

    Comment vous parler de « Thomas » que peut-être vous ne verrez pas alors qu’il représente pour moi 1 heure et 10 minutes de cinéma parmi les plus vibrantes que j’ai vues dans ce Festival pour ne pas dire 1 heure et 10 minutes de cinéma essentiel ? Car oui, c’est un film qui va à l’essentiel en prenant néanmoins le temps de s’attarder sans jamais s’apesantir. Un miracle de tous les instants, d’une profondeur insensée, où tout s’éclaire peu à peu, où toutes les révélations finales expliquent et justifient la moindre scène, le moindre comportement depuis le début. Un cinéma lumineux où tout se justifie sans peser jamais, de la musique la plus troublante (Mozart) au silence parfait jusqu’au moindre dialogue anodin qui finit par se révéler déterminant.

    Dès l’ouverture du film, on est embarqué et surpris sans jamais être manipulé. Un vieil homme ronchon en reçoit un autre. On sait, en ayant lu le sinopsis qu’il n’en restera qu’un puisqu’on s'attend à suivre l’histoire d’un vieillard seul. Et dès les premières minutes, on est cueilli avec délice car celui qui reste n’est pas celui qu’on attendait. On retrouve donc Thomas à l’enterrement de son frère et l’on rit, comme il arrive parfois aux enterrements. Les surprises ne cesseront jamais dans ce film qui réussit l’exploit d’être à la fois contemplatif et de nous emballer par une histoire, celle de Thomas, dont on VEUT connaître l’issue et l’origine. Par petites scènes cocasses, pitoyables, bouleversantes, pathétiques… (il faudrait TOUTES les citer, ne pas en exclure une seule pour être juste et équitable) le réalisateur colle aux basques de Thomas (même les chaussures ont un « rôle » comique) et nous laisse avec le souvenir inoubliable d’un film, d’un personnage, d’un rôle et d’un acteur hors du commun.

    Gloire aux réalisateurs, de plus en plus rares, qui « posent » leur caméra pour nous raconter une histoire, qui ne poursuivent pas systématiquement leurs acteurs caméra à l’épaule (cela dit Thomas ne va plus très vite mais il marche toujours…) nous donnant des vertiges injustifiés. Ici, tout est calme et mesuré sans que cela nous empêche d’apprécier peu à peu l’ampleur de la tempête qui se joue sous le crâne de « Thomas » et le ronge. Cela donne lieu à des plans d’une beauté rare, à tomber, où tout est parfait, le cadre, la lumière, la durée. Chaque scène est un tableau dans lequel Thomas peut évoluer et se déplacer.

    Thomas c’est aussi un acteur, Lasse Pöysti, une légende vivante en Finlande qui continue d’avoir des projets malgré son grand âge. Il offre à ce rôle sa lourde stature fatiguée et son visage, incroyable masque impassible qui allie comédie et tragédie.

    Gloire également au jury qui a décerné à ce film « Le prix spécial » et surtout au jury des lycéens qui ne se sont pas laisser piéger par d’autres oeuvres plus faciles ou racolleuses et ont accordé leurs voix à « Thomas » malgré les décennies qui les séparent de ce vieil homme et pour un film qui parle de vieillesse, de solitude, de compassion mais surtout comme le revendique sans relâche Miika Soini : d’amour, dont la plus grande preuve reste pour lui de laisser « partir » ceux qu’on aime. Deux tomates d’or pour ce film, c’était le moins.

    Vous l’avez compris Miika n’est donc pas que ce beau jeune homme, sympathique, intelligent, drôle, merveilleux, attirant, chaleureux, charmant, gentil, ouvert, étonnant, spirituel… AIMABLE… c’est aussi un cinéaste. Après avoir été serrurier… il a fait du théâtre pendant des années en Finlande. Il est devenu acteur, mais il souhaitait tout maîtriser. Il a donc d’abord mis en scène des pièces de théâtre et intégré une école nationale de cinéma. Il est très fier d’avoir pu tourner son film « Thomas » en 10 jours avec un budget d’à peine 200 000 €uros. L'histoire est issue d’un recueil de nouvelles qui traitent de la vieillesse et dont il a écrit le scénario. Miika a tenu à plusieurs reprises à insister sur son empathie avec les personnes âgées dans un pays, la Finlande, où une personne de plus de 65 ans sur 2 se suicide…

     

    Ce film est inoubliable et Miika Soini peut en être fier car c’est bien le cinéma qui coule dans ses veines.

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    Et voilà... je vous laisse un peu tranquille avec "mon" cinéma d'Annonay. J'espère que vous pourrez au moins voir les 3 films de mon palmarès... Le film de clôture (une merveille) doit sortir en salle le 4 mars, je vous en parlerai donc à ce moment pour ne pas vous embrouiller et vous rappeler de ne pas le rater le moment venu...