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hugh jackman

  • THE SON

    de Florian Zeller ****

    THE SON de Florian Zeller, cinéma, Hugh Jackman, Laura Dern, Zen McGrath, Vanessa Kirby

    Avec Hugh Jackman, Laura Dern, Zen McGrath, Vanessa Kirby, Anthony Hopkins

    Nicholas a dix-sept ans et ne sait plus où il en est. Ses parents, Peter et Kate sont divorcés, Nicholas vit avec sa mère, son père s'est remarié avec Beth une femme plus jeune avec qui il vient d'avoir un bébé, Theo.

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  • REAL STEEL de Shawn Levy °

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    Dans un futur proche la boxe et toutes les formes de combats sur ring ont disparu. Dur pour les amateurs. Mais c'est leur faute aussi, ils en voulaient toujours plus. Plus de sang, plus de violence, plus de mort ! Du coup, ce sont des robots spécialement "entraînés" pour combattre qui s'y collent et le rêve est bien sûr de faire participer le sien à la WRB (World Robot chéplus quoi, Box je crois). Alors donc, il y a Charlie qui est un ancien champion boxeur qui traîne sa lose dans son gros camion et trimballe un robot tout pourri qu'il fait participer à des combats dans les foires aux cochons de bouselands. Un jour, des gus viennent lui annoncer que son ex qu'il n'a pas vue depuis dix ans a passé l'arme à gauche et qu'elle lui laisse un moutard qu'il n'a pas revu depuis toutes ces années. Il s'appelle Max le teigneux. Tout le monde sait que Charlie est infoutu de s'occuper d'un rejeton vu qu'il est lui-même pas bien fini dans sa tête sans doute parce qu'il a pris trop de coups dessus. Toujours est-il que c'est quand même lui le père et comme le couple qui accepte d'adopter le casse-burettes doit partir deux mois en vacances et qu'un chiard, ça gêne, Charlie se propose de faire baby-sitter pendant ce laps pour 100 000 dollars. Tout cela est très choupinou, vendre un gosse, se le refiler comme une patate chaude etc, et voilà nos deux gugus partis sur les routes tasuniennes avec plein de mésaventures à l'intérieur. Ils en profiteront pour apprendre à se connaître avant de se tomber dans les bras l'un de l'autre et que l'enquiquineur apprenne à dire "Adriaaaaaaaaaan" euh "papa" et envoyez les violons !

    Ne faites pas vos malins, vous savez très bien pourquoi je me suis fourvoyée dans cette galère sans rame. Mais je ne pensais pas que ce serait à ce point et que mon Hugh Jackman qui doit bien mesurer 2 m 12 et qui a des bras comme mes cuisses (j'ai mesuré) servirait un jour de faire valoir à un mouflet aussi infernal que celui-ci ! Dès sa première apparition, des visions d'apocalypse me sont apparues, j'ai eu envie de rétablir la peine de mort, de légaliser l'euthanasie. C'est le genre de marmot qui justifierait la stérilisation, la torture, le rétablissement du supplice du pal, de la roue, l'exécution par écartèlement  le chevalet, la poire d'angoisse, les brodequins, l'estrapade, le chat à neuf queues, la torture par l'eau  et j'en passe. Un moujingue aussi insupportable ne peut naître que dans l'esprit malade d'un scénariste sadique qui veut faire payer cher au public ses échecs passés. Ce petit cabotin crâneur est le pire singe savant jamais vu sur un écran. Il fait de la boxe, il danse, il surjoue... et tout cela avec une immodestie stupéfiante. Son bagout, son assurance, sa mégalomanie, sa cupidité sont un spectacle absolument ahurissant... Et tous les adultes autour de lui de s'extasier : "ce qu'il est chou. J'adore ce gosse !!!" Comment est-ce possible ? Il enchaîne les scènes, les mimiques avec un aplomb, une assurance et machinalement comme s'il avait 50 ans de carrière et qu'il était totalement désabusé. Ce freluquet bêcheur est déjà tout infatué de lui-même et on a bien du mal à comprendre comment il parvient à séduire ce père qui n'en avait rien à battre quelques jours plus tôt. C'est la magie du cinéma j'imagine qui parfois s'apparente plutôt ici à de la sorcellerie. Que la mère de ce petit morbac détestable soit morte n'est qu'à peine évoqué à la toute fin où il se fend d'un "elle était classe ma mère !"... bel hommage ! Cela dit c'est peut-être le fait que personne veuille de lui qui l'a rendu aussi tache. Il faut voir la façon dont le couple d'adoptants le plante sur le trottoir pour partir en vacances !

    Sinon, ce que ce gosse veut par dessus tout c'est se faire du pognon avec un robot aux jolis yeux bleus qu'il a trouvé au fond d'un trou et qui est mille fois plus émouvant que lui.

    Et Hugh dans tout ça ? Ben il joue les utilités pour cet odieux rase motte à tête à baffes. Et il est très beau, et très musclé.
    Ah oui, dans ce film, il y a aussi une meuf MDR. Evangeline Lilly qu'elle s'appelle. Connais pas. Elle sert à rien. Elle a une face de canard avec la lèvre supérieure qui ressemble à un pneu michelin. Pardon au Bibendum.

    Next.

  • X-Men Origins : Wolverine de Gavin Hood *

    X-Men Origins: Wolverine - Hugh JackmanX-Men Origins: Wolverine - Hugh Jackman

    Sachez-le, avant d’être un X-Man, Wolverine a été un prequel. Oui. Détendez-vous, retirez votre cagoule, ce n’est pas contagieux. C’est simplement qu’il n’a pas débarqué comme ça, tombé de nulle part en 1963 dans un comic (oui, y’a plein de mots difficiles aujourd’hui, je pourrais aussi vous parler de « spin-off » qui n’est pas une cochonnerie non plus, mais ça serait trop pour un 1er mai) ou en 2000 grâce à Bryan Singer. Non, non, non ! Wolverine, en 1845 s’appelait Logan, j’aime bien Logan comme nom moi. Il était un petit enfant tout transpirant et souffreteux dans son lit et il y avait un autre garçon, son demi-frère Victor avec un regard « par en dessous » qui le matait et le traitait de chiffe molle ou approchant. Un jour, c’est le soir, Logan entend des drôles de bruits dans la maison. Il se lève malgré toute la fièvre et toute la sueur qu’il a et il tue un intrus qui lui dit avant de mourir « j’suis ton père Luke » ou quelque chose du genre. La mère regarde en disant « oh la la la la la ».

    Victor et Logan se sauvent pieds nus dans les bois et ils grandissent avec les problèmes de manucure qu’on sait qu’ils ont. Sauf que Logan c’est encore pire, ses ongles lui poussent directement des phalanges. Parfois ça le gêne pour se gratter le nez. Alors il s’engage dans l’armée avec son frère et d’autres mutants tarés de la tête, dont un ancien Hobbit reconverti (si il croit que je l’ai pas reconnu). Ils font la guerre de Sécession, la guerre 14, la guerre 40, la guerre du Vietnam et Logan est souvent obligé de calmer son frangin un gros sadique (Liev Schrieber : moche bien comme il faut) qui est toujours prêt à violer tout ce qui remue. Bon… bla bla bla…

    Wolverine qui s’appelle toujours Logan, jusqu’à nouvel informé, a le talent de s’arrêter de changer quand il a le physique clintonien d’Hugh Jackman… musclé jusqu’aux clavicules, rarement on voit ça. Un jour, son frère fait une connerie encore pire que les autres : il tue un général. Du coup, tous les deux sont condamnés à mort et passés par les armes, sauf qu’ils sont immortels et que donc, ils survivent. Le commandant Stryker ou un galonné du genre leur dit : « ‘alors c’était comment le peloton ??? », et Wolfie répond « ça fait des guilis ».

    J’ai ri.

    Mais Logan en a ras les baïonnettes de faire la guerre alors il part au Canada vivre avec une fille et il devient bûcheron avec une chemise à carreaux. Parfois, il fait des cauchemars de guerre et il gueule comme un veau, se réveille en hurlant avec tous ses muscles tout brillants et tout sortis, y’en a partout que toi, la fille spectatrice tu dis « aaaaaaaaaah ! ooooooooooh ! pfioooouououououou ! ». La fille, l’autre, elle dit « t’inquiète on va changer les draps », pas farouche qu’elle est de coucher avec un mec qu’a parfois des hachoirs à la place des mains. Bon, faut dire qu’en compensation, son Logan, il sort le matin faire ses salutations au soleil torse poil au sommet des rocheuses et il prend son temps ; ça le détend lui, les filles, ça les énerve.

    Mais le Victor, son demi-frère ne veut pas lui ficher la paix tranquille au Logan. Un jour, il vient le chercher mais comme c’est un fou tordu, il tue la meuf pour bien nous l’énerver encore plus. Avant de mourir elle a la bonne idée de lui raconter une histoire à la con du style « regarde ma lune ça porte chance » et de l’appeler Wolverine. C’est comme ça, qu’après, on va plus trop savoir qu’il s’appelle Logan mais Wolverine…

    Le guss de l’armée le recrute encore pour l’aider à se venger et il lui propose de jouer l’arme fatale en le transformant en Weapon X. L’opération, elle fait hyper mal. Mais lui, il dit « même pas mal » et ça le rend en acier trempé, invincible et tout et à partir de là, il sera toujours en marcel crado avec toute la charpente qui déborde de partout et les griffes qui brillent. Il va tout faire péter, même une centrale nucléaire. Quand ça pète et ça brûle, il marche au ralenti et plissant son front. Il est beau.

    Qu’est-ce que vous voulez faire ? Wolverine c’est mon X préféré. Ah la la, j’allais oublier l’essentiel. A un moment, il s’échappe et on lui a piqué toutes ses fringues, même son marcel… alors il court, il court, il court TOUT NU dans les bois, dans les prés, il saute des barrières, des ruisseaux… malheureusement il croise un péquenaud pudibond qui lui prête des fringues (il meurt le plouc, bien fait !).

    Ce film, il vaut pas une chique, mais je ne me suis pas ennuyée une seconde !