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Sur la Route du Cinéma - Page 418

  • CARLOS de Olivier Assayas **

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    En 1973, Ilich Ramirez Sanchez est membre du Front Populaire de Libération de la Palestine, il devient Carlos. La même année à Londres il rate l'assassinat du Président des magasins Marks & Spencer. Il revendique plusieurs attentats à Paris. En décembre 1975 il organise la prise d'otages de 11 ministres de l'OPEP à Vienne qui tournera au fiasco. Mais c'est finalement pour le meurtre de deux inspecteurs de la DST qu'il sera condamné à la prison à perpétuité. Il purge toujours  actuellement sa peine dans une prison française où il a épousé son avocate selon le rite musulman.
    Le Soudan, la Syrie, la Lybie, le Yémen où il a vécu dans la clandestinité se refilent comme une patate chaude l'encombrant terroriste. Finalement c'est le Soudan qui le livrera à la police et à la justice françaises alors qu'il était hospitalisé pour une opération de chirurgie esthétique.
    Je ne sais si l'amputation de ce film qui est passé de plus de 5 heures pour la télévision aux 2 h 45 pour le cinéma (qui m'ont paru bien longues) soit responsable de ma profonde déception, en tout cas, je n'ai pas trouvé "la leçon de cinéma" dont j'ai entendu parler et que j'attendais. Le réalisateur fait sans doute trop confiance aux spectateurs tels que moi qui n'ont pas de diplôme en géo-politique et j'avoue que j'ai eu du mal à comprendre notamment toutes les ramifications qui conduisent Carlos d'un pays à un autre. Trop d'élipses et de raccourcis ont fait que je me suis souvent perdue malgré les indications qui précisent dans quel pays on se trouve. Des personnages apparaissent et disparaissent sans qu'on sache ou comprenne pourquoi. C'est frustrant.
    Pourtant le film se fait beaucoup plus intéressant lorsqu'il s'intéresse de près à la personnalité complexe et énigmatique de Carlos. Tantôt il est présenté comme un bouffon manipulé d'autre fois comme un meneur charismatique qui s'est pris un temps pour le Che. Manipulateur, violent, séducteur et instable, il prétendait parfois être un révolutionnaire et d'autres fois ne pouvait dissimuler son goût de l'argent.
    Malgré une scène magistrale (celle de la prise d'otages de l'OPEP) et un acteur prodigieux Edgar Ramirez (bien plus séduisant que son "modèle"...) ce film dense m'a paru confu et c'est une grosse déception.

  • TAMARA DREW de Stephen Frears °

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    Je m'étais dit que je n'en parlerais pas tant ce film m'est apparu indéfendable et puis... Stephen Frears quand même... J'ai toujours dû mal à déboulonner les idoles. Mais après tout pourquoi pas ? "Tamara Drew" était projeté en clôture du Festival Paris Cinéma, et même si les films japonais  et Xavier Dolan m'avaient bien fait rire, j'étais toute disposée à m'en payer une dernière tranche avant de regagner ma brousse profonde où, heureusement, je ne fréquente pas la même faune d'insatisfaits chroniques qui règnent dans cette histoire assommante.

    Je tiens cependant à dire qu'il y a une chose et une seule à sauver ici et c'est la campagne anglaise, filmée avec délices, amour et volupté. Le réalisateur donne vraiment envie de s'embarquer illico presto vers les white cliffs.

    Que se passe t'il donc dans ce patelin paumé ? ça commence plutôt bien car Beth et Nicholas son auteur à succès de mari, tiennent une résidence pour écrivains. Les premières images sont réjouissantes où l'on voit chacun des résidents imaginer son prochain roman. On fait connaissance de personnage tous plus anglais coincés les uns que les autres et l'on découvre que Nicholas trompe sa très dévouée et indispensable femme qui non seulement s'occupe de tout et de tous les pensionnaires, mais aussi corrige les manuscrits de son époux, le conseille et lui suggère des idées. On rencontre le jardinier, beau gosse serviable et deux ados accros à la presse people qui s'ennuient copieusement dans ce trou.

    Et alors que tout ce petit monde ronronne gentiment, Tamara Drewe revient dans la maison de son enfance qu'elle souhaite vendre. Elle fut jadis un laideron dont tout le monde se moquait et grâce au joli petit nez qu'elle s'est fait refaire, elle est devenue une bombe que tous les garçons de 7 à 77 ans vont s'arracher. C'est d'une bêtise à pleurer. Des amants dans les placards, des portes qui claquent, des répliques caca prout pas drôles dont Michaël Youn ne rougirait pas "son short est trop petit elle va attraper une mycose !", des rebondissements dignes d'un mauvais vaudeville, de la misogynie à revendre, n'en jetez plus la cour est pleine. Et au bout de ce capharnaüm prétendu gai, cruel et virevoltant, la mort d'un personnage, une fin pour "l'héroïne" qu'on pressentait dès la première bobine, et surtout, surtout la désormais et étonnamment incontournable Gemma Arterton, l'oeil constamment humide... A baffer.

    Rendez-nous Stephen Frears. Merci.

  • 5 X 2 places à gagner pour COPACABANA

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    grâce à Sophie de SortiesCinéma.
     
    J'espère que vous n'avez pas égaré votre loupe ! 

    Retrouvez le titre des films ci-dessous. 

    UNE SEULE REPONSE A LA FOIS JUSQU'A CE QUE JE VALIDE.

    LES 5 GAGNANTS SONT : sopel, Nicole, Marine, marion et manu.

    GAME OVER

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    BOXES trouvé par Nicole

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    VOLVER trouvé par Marion

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    CORALINE trouvé par king72

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    GAMINES trouvé par sopel

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    LA TÊTE DE MAMAN trouvé par Marion

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    MERES ET FILLES trouvé par Marine

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    PARDONNEZ MOI trouvé par marion

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    PRECIOUS trouvé par manu

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    TALONS AIGUILLES trouvé par Marine

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    L'EMPREINTE trouvé par sopel

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  • PARIS CINEMA, suite et fin

    Je suis rentrée dans mes pénates provinciales rassasiée de cinéma, de rencontres et de retrouvailles. C'était bien bon, sans fausse note. J'intègre et savoure ces treize journées parfois trépidantes mais toujours exaltantes. Merci au "staff" qui a permis que je sois là et bravo pour leur présence et leur enthousiasme communicatif. Merci à mes "collègues" jurés si différents, si charmants, certain(e)s plus que d'autres évidemment... Et ceux qui diront encore que les filles ensemble ne peuvent s'entendre... quelle équipe, pas vrai les filles ?

    Et merci à Robichou qui est venu me chercher dans son carrosse, a traîné ma valise et m'a mise dans le train !

    Voici les dernières photos réalisées par Pierre-Antoine Schipman un des photographes du Festival.

    Le jury des étudiants en pleines délibérations.2266.jpg 

    Le jury des blogueurs attendent deux retardataires pour commencer à... délibérer !
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    Le jury des pros. You Hou les pros ??? Z'avez vu ? On était là !
    Ma vue baisse où ils ont eu des trucs à grignoter ???
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    Le jury des étudiants :2267.jpg

    Et puis "nous" :

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    Rob/Thomas, Sandra In the Mood, Benoît, Anne-Soizic (à peine t'as décollé ??? pffff), Joachim the Jumper (comment t'as fait ça ???), Edouard (tu jumpes avec les bras en bas toi ?) et moi-même, bon !

  • PARIS CINEMA - PALMARES - CLÔTURE

    13 jours un peu étourdissants se sont achevés hier soir par la soirée de clôture au MK2 Bibliothèque. Avant la projection du dernier film de Stephen Frears "Tamara Drewe" (qui me laisse sans voix de consternation !), le Palmarès a été présenté par Aude Hesbert, déléguée générale et directrice artistique

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    Anne Barjot, secrétaire générale et directrice de la communication et des partenariats

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    et Charlotte Rampling, actrice cinéphile et Présidente du Festival depuis 5 années, particulièrement attachée à ce festival.
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    Les différents jurys ont récompensé les films suivants :

    La Rivière Tumen de Zhang Lu  

    a reçu le Prix du Jury,

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    Cleveland contre Wall Street de Jean-Stéphane Bron

    a reçu le prix du Public,

    La Rivière Tumen de Zhang Lu 

    a reçu le prix des étudiants,

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    Le Braqueur de Benjamin Heisenberg

    a reçu le Prix des Blogueurs.

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    Et puisque l'heure est aux remerciements et parce que cette 8ème édition du Festival Paris Cinéma inaugurait pour la première fois cette année la participation d'un jury de 7 blogueurs cinéphiles dont j'ai eu le bonheur et la chance de faire partie, je tiens absolument à remercier le plus chaleureusement possible l'équipe du Festival pour son indéfectible passion pour le cinéma et son inaltérable bonne humeur. C'est rien de dire qu'à aucun moment on ne voit peser sur eux la pression que représente la gestion d'un tel événement. Toujours souriants, disponibles, agréables, patients, ce fut un réel bonheur de vous rencontrer et de vous croiser régulièrement tout au long de ces (presque) deux semaines.

    Aude Hesbert, Anne Barjot, Caroline Vautrot, Alexandra Arnal, Dimitri Larcher, Adrien Castelnau, Mathilde Pinçon... c'est vous que j'ai le plus souvent croisés. Alors merci infiniment à vous de m'avoir choisie, moi, pour faire partie de cette équipe et de m'avoir permis de vivre en immersion complète sur la planète cinéma qui est l'un des rares endroits où je comprends à peu près ce qui se passe. J'ai pu voir des films de tous les horizons, de toutes les nationalités (ou presque), des bons, des moins bons, des drôles, des dramatiques. Et puis, retrouver toutes ces personnes qui font partie de ma vie à présent et que j'ai rencontrées grâce à ce blog, certaines depuis plusieurs années déjà et parfois pas uniquement parce que nous partageons la même passion : Sandra M., FredMJG, Osmany, Maan, Bernard Blancan, Emma, Florian, rencontrer enfin Rob GordonJonathan, Pierre-Loup,  Sonia (qui m'a fait boire mon PREMIER Mojito Salade) et Maya De Ben Couscous, et faire la connaissance de la femme de Raoul Anne-Soizic que je suis ravie d'accueillir dans la secte, mais aussi de Vincent membre du jury des étudiants, d'Edouard l'Eugène Green's addict aux pulls fluos, Joachim qui parle beaucoup plus fort après sa 7ème coupe de champagne et Benoît.

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    Le jury blogueurs décontracté !
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    Elia Suleiman en pleine réflexion
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    Joachim à la recherche du buffet
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    Edouard s'illumine en présence de son idole Eugène Green.
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    Vincent et Anne Soizic montrent les dents
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    Les trophées.
  • LE BRAQUEUR de Benjamin Heisenberg*** - PARIS CINEMA

    FILM EN COMPETITION - Autriche-Allemagne

    Johann Retterberger court sans cesse. Dans la cour de la prison et dans sa cellule où un tapis de course lui a été installé, vraisemblablement pour aider à sa reconversion à sa sortie. Mais Retterberger n'est pas très coopératif avec son agent de probation qui lui demande, inquiet, ce qu'il compte faire lorsqu'il sera de nouveau libre. L'inquiétude est d'ailleurs tout à fait justifiée puisque dès sa sortie Retterberger se remet à braquer des banques. Il porte sur le visage un masque mi effrayant mi ridicule et échappe toujours à ses poursuivants grâce à ses talents de coureur . Entre deux hold-up il participe à des marathons qu'il remporte. Aucune de ces deux activités ne semblent lui apporter la moindre satisfaction. Une improbable histoire d'amour viendra un temps l'humaniser et l'ouvrir à des sentiments qu'il découvre...

    Totalement dépouillé de toute psychologie ce film est un choc brutal qui met le spectateur en tension croissante. Ce que j'aime. J'aime les courses effrenées où la musique percutante accélère le rythme cardiaque. J'aime ce personnage froid, totalement individualiste qui emplit des sacs de billets de banque manifestement sans but, sans qu'en tout cas on ait la moindre explication. Il avance, conditionné par un instinct de survie hors du commun ou une addiction irrépressible.

    Beaucoup moins convaincante et réussie est l'histoire d'amour. Néanmoins ce film est littéralement porté par un acteur génial, impassible et glacial, Andreas Lust, dont les comportements sont parfois traversés d'éclats de violence insensés, et qui m'a entraînée dans sa course.

  • LA RIVIERE TUMEN de Zhang Lu *** - FESTIVAL PARIS CINEMA

    FILM EN COMPETITION - COREE DU SUD

    Afficher l'image d'origine

     

    Comme souvent dans les festivals qui survolent une compétition internationale nous parviennent des nouvelles du monde. Et c'est toujours avec stupéfaction qu'on découvre ou plutôt redécouvre à quel point ce qui va très mal n'est pas près d'aller mieux.

     

    Ici, nous sommes à la frontière entre la Chine et la Corée du Nord en plein hiver qui semble s'installer pour ne plus jamais finir. La glace qui recouvre la rivière Tumen et les vastes étendues neigeuses qui l'entourent donnent au paysage un aspect irréel et l'entoure d'un calme infini. Et pourtant tout ce qui se passe dans cet endroit du monde hors du monde est tragique et concerne des gens pauvres et d'autres encore plus pauvres. Chaque jour des coréens passent ou cherchent à passer cette frontière invisible pour tenter de survivre un peu plus décemment. Les rigueurs de ce climat implacable provoquent de nombreuses morts.

     

    Deux jeunes ados Changho et sa soeur muette Soon-hee deviennent ami avec un jeune coréen, leur oncle fait office de "passeur" pour ses laissés pour compte sans beaucoup d'espoir tandis que leur grand-père n'hésite pas à héberger ou à partager ses repas avec des "clandestins".

     

    Deux drames épouvantables qui resteront bienheureusement hors champs vont changer le destin de toutes ces personnes de chaque côté de la frontière.

     

    D'une beauté fulgurante et d'une noirceur absolue, ce film assez radical consent peu d'espoir et de confiance en l'espèce humaine.

  • FESTIVAL PARIS CINEMA, à quelques heures de la cérémonie de clôture !

    une mise au point s'impose.
    Si. 
    Parce que moi-même je suis un tantinet perdue. 
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    Il y a,

    LES FILMS QUE J'AI VUS ET DONT JE VOUS AI PARLE : 

    Les avant-premières :

    • You will meet a tall dark stranger de Woddy Allen,
    • Amore de Luca Guadagnino,
    • Les amours imaginaires de Xavier Dolan,
    • Inception de Christopher Nolan,
    • Ondine de Neil Jordan.

    Les "vieux films" :

    • Les moissons du ciel de Terrence Malick,
    • Julia de Fred Zinneman.

    Les films de la compétition ;

    • Alamar de Pedro Gonzalez Rubio,
    • If I want to whistle, I whistle de Florin Serban,
    • Mundane History de Anocha Suwichakornpong,
    • Sawako decides de Yuya Ishii,
    • Cleveland contre Wall Street,
    • Sweet little lies de Hitoshi Yazaki,
    • La rivière Tumen de Zhang Lu,
    • Le braqueur de Benjamin Heisenberg.
    Miss In The Mood In ecxtasy !
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    LES FILMS QUE J'AI VUS ET DONT JE VOUS PARLERAI :

    "vieux film" :

    • Les Félins de René Clément,

    avant-premières :

    • Lluvia de Paula Hernandez,
    • Commissariat de Ilan Klipper et Virgil Vernier,
    • Un homme qui crie de Mahamat-Saleh Haroun
    Miss Bretagne 2010 in pamoisy !P7110074.JPG

    LES FILMS QUE JE VERRAI AUJOURD'HUI ET DONT JE VOUS PARLERAI DES QUE POSSIBLE :

    • Le monde vivant d'Eugène Green (pour découvrir son univers si bien "vendu" par Edouard),
    • Tamara Drewe de Stephen Frears.
    Myself in Takeshi
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    Vous en conviendrez ça fait pas mal de films, même si ce n'est pas autant que j'aurais voulu. Et vous l'aurez sans aucun doute remarqué depuis que j'ai rencontré le casting de nez rêve de Christopher Nolan, j'ai un peu perdu le sens commun. Je tâcherai donc d'évoquer tous les films que j'ai vus, le plus rapidement possible, mais comme je sais que vous raffolez de mes tribulations en photos, voici en quelques mots et quelques images ce qui s'est passé...

    ...........................

    Je l'emploie tous les trois mots ce mot, et personne ne s'étonne. Je suis totale parisienne !
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    Qui est-ce ?
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    Anne-Soiz, Aïe,fais gaffe tu vas encore te mordre la joue et te faire très très mal !
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    Edouard, le garçon au pull-over vert, jaune, vert... le garçon au pull over. Il ne fait quand même que 53°.
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    Thomas Rob. Le garçon au t-shirt gratuit assorti au décor. Trop mainstream le gars.
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    Joachim, le garçon à contre-jour.
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    Les membres du jury blogueurs et du jury étudiants.
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    Les membres du jury des blogueurs
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    On ne sait pas. Que peut-ce être ?
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    ........................... 
    Parce qu'elle le vaut bien :
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    C'est pas que je m'ennuie, mais y'a foot là !
    Et j'ai les cheveux secs, faut que je fasse un soin.
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    ........................................
    Soyez sans crainte, mercredi ou jeudi, le jeu du lundi reviendra... avec des places de cinéma à gagner pour "Copacabana", en attendant, à qui appartiennent ses Festival's shoes ?
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    Si je vous dis :
    • j'ai envie que ça s'arrête,
    • je n'ai pas envie que ça s'arrête...
    rayez la mention inutile.
    A suivre...
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