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Sur la Route du Cinéma - Page 421

  • LES AMOURS IMAGINAIRES de Xavier Dolan ***

    Avec les mêmes + Rob Gordon en pleine restructuration, nous nous sommes rendus dans la salle où était projeté en avant-première également :

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    Les Amours ImaginairesLes Amours Imaginaires

    Le film était présenté par l'actrice Suzanne Clément qui jouait le rôle de la professeur de français dans l'excellent premier film de Xavier Dolan, découvert l'an dernier « J'ai tué ma mère ».

    C'est avec un grand bonheur que je peux affirmer que ce jeune incroyable surdoué prodige québécois (il a 20 ans) confirme tout le bien que tout le monde pense de lui. Il faut dire qu'il avait placé la barre lui-même très haut avec son premier long métrage. Il persiste et signe avec ces amours là plutôt déjantées, absolument hilarantes et pourtant non dénuées d'anxiété.

    Francis et Marie sont amis. Au cours d'une soirée, ils font la connaissance de Nicolas dont ils tombent tous les deux amoureux. Lors de la compétition pour s'attirer les faveurs du bellâtre, tous les coups (bas) sont permis. Qui n'a pas connu ce désespoir amoureux où l'objet de toutes vos pensées s'obstine avec plus ou moins d'innocence à vous envoyer des signaux pas toujours bien identifiés, ces longues minutes/heures d'attente avec le téléphone sur les genoux à attendre en vain qu'il sonne, et puis les erreurs, les quiproquos, les petites hontes, les grosses gaffes, l'obstination à voir un être hors du commun dans un personnage finalement plutôt fade et ordinaire... ne sera peut-être pas sensible aux affres que traversent Francis et Marie ? Mais le film n'est pas que cela et si le fond est indéniablement tourné vers la quête obsessionnelle de l'amour, la forme, sophistiquée, singulière, lumineuse avec des plans travaillés, des ralentis toujours wongkarwaïens, la musique omniprésente et essentielle ajoutent au plaisir constant. Xavier Dolan, à peine 20 ans, est acteur, réalisateur, producteur, monteur de son film. Il s'est également chargé de la conception des costumes. Incontestablement imprégné de la nouvelle vague, du cinéma de Christophe Honoré (et le clin d'œil final de Louis Garrel qui tournera dans le 3ème film du réalisateur et dont l'acteur Niels Schneider qui joue Nicolas ici en est la version blonde est là pour le confirmer), les films de Xavier Dolan sont infiniment personnels, originaux, singuliers et différents.

    Les dialogues imagés mériteraient d'être cultes.

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    Je ne vous raconte le plan « lose totale » de Miss M. et moi-même pour regagner nos pénates mais nous ne sommes pas rentrées avant 2 heures du matin. Paris est une fête, c'est indéniable.

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    Cliquez sur le titre du film pour lire l'article.

    FESTIVAL PARIS CINEMA où je suis membre du Jury des Blogueurs (du 3 au 13 juillet)

    YOU WILL MEET A TALL DARK STRANGER de Woody Allen - FESTIVAL PARIS CINEMA ****

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    A CINQ HEURES DE PARIS de Léon Prudovsky ***

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    THEATRE
    LECON D'ANATOMIE de Larry Tremblay, mise en scène Benoît Gautier
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    MES COUPS DE/AU COEUR
     
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    LE COIN DU COPINAGE
    copié sur le best of big de Jérôme c'est lui.
    Le blog ressuscité, à la recherche d'un titre de folie.
    Et puis le blog de la blogueuse qui mood au Festival Paris Cinéma.
  • FESTIVAL PARIS CINEMA - 2 - (mon) Programme du jour

    (sauf changement de dernière minute)

    14 h : Les amants réguliers de Philippe Garrel - à la filmothèque Quartier Latin (Paris 5ème)

    17 h 30 : MasterClass de Jane Fonda - à la filmothèque du Quartier Latin (Paris 5ème) - Modérée par Fabrice Leclerc, rédacteur en chef de Studio Ciné Live. (Je crois savoir que c'est complet).

    19 h 30 : Amore de Luca Guadagnino au MK2 Bibliothèque (13ème) - Présentée par le réalisateur et la comédienne Tilda Swinton.

  • FESTIVAL PARIS CINEMA - 1 - WOODY...

    Voilà j'y suis, pour 13 jours... après six éprouvantes heures de route et quelques déboires et difficultés à obtenir une connection qui me permettra de rester en contact avec vous, je pense que je vais pouvoir autant que possible vous relater au jour le jour ce qui se passe dans la capitale pour l'instant accablée de chaleur. Mais qu'importe si le brushing ne tient pas et si le smooky eyes coule, nous sommes quelques uns à être moites de bonheur mais soyez rassurés : on s'hydrate !

    La soirée d'ouverture du Festival Paris Cinéma a donc eu lieu comme prévu au Cinéma Gaumont Capucines près de l'Opéra et en tant que membre du jury des blogueurs (innovation cette année pour cette 8ème édition ; Aude, Anne, Alexandra, "piliers" du Festival, merci et encore merci !), j'étais vraiment très très bien placée... Près de moi Marisa Berenson, Rosanna Arquette (vraiment très jolies toutes les deux), agréables et souriantes  (mon homme est d'ailleurs tombé amoureux de Rosanna qui lui a touché la main et fait le plus beau sourire du monde...), Tom Novembre, Lisa Sednaoui, Eric Reinhardt, Valérie Donzelli...

    J'ai retrouvé Sandra M. qui comme moi fait partie de ce jury, et comme moi est ravie (elle fait tout comme moi en fait) comme si c'était Noël, et fait la connaissance d'Anne-Soizic. Je regrette que les autres membres du jury présents ne se soient pas joints à nous, mais nous aurons très prochainement l'occasion de faire connaissance.

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    Le film projeté en avant première ce soir, qui sortira en salle le 6 octobre prochain est

     "You will meet a tall dark stranger" **** de Woody Allen.

     C'est déjà formidable de pouvoir voir le film d'un de mes réalisateurs préférés si longtemps avant sa sortie dans de si prestigieuses conditions... mais le cadeau inestimable de cette soirée est que Woody en personne était là, cool, souriant, tranquille, drôle... accueilli par Charlotte Rampling, présidente du Festival et Bertrand Delanoë, maire de Paris.

    Un bonheur.

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    LE FILM

    C'est à Londres que se situent les aventures à la fois quotidiennes, ordinaires et extraordinaires de 8 personnages dont les destinées vont se croiser,  converger ou s'éloigner.

    Des histoires de couples, d'amour, de sexe, de désir, d'ambition, de déceptions... des erreurs, des quiproquos, des malentendus, des infidélités, des injustices. Beaucoup d'incertitudes, de tergiversations, de lâcheté, de cruauté. Le tout enrobé, pimenté, entortillé, noyé dans un flot de paroles fiévreuses mais toujours d'une justesse et d'une utilité incontestables. Oui, les personnages de Woody parlent beaucoup. Ils s'expliquent, se justifient. C'est rythmé, nerveux, vigoureux, pétillant avec toujours, au bord de l'éclat de rire, cette inquiétude  propre au petit bonhomme assez génial qu'est ce grand réalisateur. Dans cette frénésie de dialogues, de rebondissements en tout genre dont un ABSOLUMENT GENIAL, véritable pirouette inattendue qui concerne Josh Brolin l'écrivain et un de ses amis victime d'un accident... et cet autre où un mari (Josh Brolin encore) emménage chez une splendeur (la sublime Freida Pinto) qu'il a longuement observée depuis la fenêtre de son appartement et qui se retrouve à observer la femme qu'il a quittée (Naomi Watts) depuis son nouvel appartement. En un plan vraiment astucieux et magistral, sans effet ni parole cette fois, il nous démontre la bêtise des hommes (en tant qu'humanité) qui s'obstinent toujours à imaginer que la vraie vie est ailleurs...

    Ce film lumineux, plein de drames, de folie, de douceur et d'humour est un grand grand cru qui m'a rappelé l'époque bénie des "Annie Hall" et "Manhattan", pas moins. C'est totalement euphorisant de voir qu'un réalisateur de cette trempe et de cet âge puisse encore innover tout en imprimant son incontestable et tellement reconnaissable virtuosité. Et beaucoup d'allégresse aussi, de délicatesse pour démasquer les failles et fêlures humaines et nous démontrer la vanité, la fragilité des illusions, des apparences.

    Quant à la direction d'acteurs, elle est à l'image du reste, virtuose et irréprochable. Woody tire le meilleur de cette toute nouvelle troupe d'acteurs qui se montrent tous à la hauteur de l'honneur et du bonheur de travailler avec lui. L'inconnue Lucy Punch, véritable fantasme ambulant, tout en jambes, en cheveux, en minceur qui a comme son nom l'indique beaucoup de vigueur et de vitalité est LA révélation irrésistible de cette histoire pleine de bruit et de fureur, "much ado about nothing", "très dramatique et très comique ", où il est également question de réincarnation et de vies antérieures... Mais grâce soit encore rendue à Woody de permettre à Anthony Hopkins de redevenir le merveilleux acteur qu'il a su être, sans excès ni cabotinage.

    La musique qui accompagne, dès le générique, est comme toujours un régal permanent...

    Bravo, bravo et encore bravo et une standing ovation !

  • ÇA COMMENCE AUJOURD’HUI : Festival Paris Cinéma

    Et j'y serai car comme je vous l'ai déjà annoncé, je ferai partie du Jury des Blogueurs qui devra permettre au distributeur d'un des huit films en compétition d'obtenir une insertion publicitaire dans Studio Ciné Live lors de la sortie en salles.

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    Demain, lors de la soirée d’ouverture privée, nous pourrons voir en avant-première le dernier film de Woody Allen

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    A partir du samedi 3 et jusqu' au 13 juillet 2010, le Festival Paris Cinéma donne rendez-vous aux spectateurs pour un début d'été cinématographique, populaire et festif. Au tarif exceptionnel de 5€ la séance, le Festival Paris Cinéma investit à nouveau la ville.

    Ne pleurez pas, j'emmène mon ptit machin et je vous tiendrai informés du mieux que je pourrai (j'ai un emploi du temps de ministre) de tous les films que je vois et événements auxquels je participe comme cette première soirée qui réserve déjà des surprises...

  • TOURNEE de Mathieu Amalric **

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    Joachim est un producteur parisien qui est parti aux Etats-Unis et qui en revient accompagné d'une troupe de strip-teaseuses "New Burlesque" à qui il a promis amour, gloire et beauté en France puis à Paris. Le spectacle de ces filles plus très jeunes, pas toutes forcément minces consiste à s'effeuiller de façon humoristique devant un public, hommes et femmes conquis. La tournée débute au Havre, puis viennent Nantes, Bordeaux, Toulon... et toujours l'espoir d'un spectacle parisien. Mais Joachim qui s'est fâché avec tout le monde à Paris, n'y est pas le bienvenu et la chance de trouver une salle est de plus en plus compromise...
    Et bien voilà ce qui arrive parfois quand on attend trop d'un film : la déception à la mesure et proportionnelle à l'attente. Et pourtant, j'ai tout aimé. Mathieu, génial, les filles adorables que j'en veux bien une ou deux comme copines, même si elles boivent trop et que je ne tiendrais pas la route, l'histoire insolite... tout est bien, souvent drôle, parfois émouvant, farfelu, généreux ! Je m'attendais, je sais pas moi, à avoir le coeur qui palpite, des fourmis dans les jambes, des envies d'enlever le haut puis le bas, allez hop, soyons pas vache ! Et puis non rien. J'ai suivi intriguée et intéressée le parcours de ce loser qui triche et ment pour protéger "les filles" qu'il aime et admire. C'est Mathieu Amalric qui est ce Joachim parfois surexcité, parfois abattu, qui dort peu, boit et fume beaucoup. Il est parfait avec son humour, sa loufoquerie et ses excès dans les gestes, dans les paroles, dans les cris et les insultes "je te chie dessus" (j'aime bien, c'est frais !) tout comme dans l'émotion et quand il fait son regard de chien triste et battu, quelle femme peut lui résister ?
    Quant aux filles, elles sont drôles, turbulentes, pittoresques et leur apparence à la limite de la vulgarité (trop de fards, de faux cils, d'imprimés panthère, de cheveux teints...) masquent souvent leur fragilité, leur tendresse, leur besoin d'amour.
    Elles sont loin de chez elles, finissent par avoir le mal du pays, et Joachim ne sait comment s'y prendre avec ses deux fils qui lui sont pratiquement étrangers et qui lui ont été confiés deux jours... Ils ont en commun leur énergie et leurs désillusions.  Chacun a ses problèmes à résoudre alors que le show must go on.
    L'autre aspect intéressant du film est la visite des "coulisses" de ces spectacles itinérants mais aussi les trajets en train, la fatigue, les haltes dans des chaînes d'hôtels très connus où tout est froid, impersonnel et formaté (impossible de diminuer ou même d'arrêter la musique d'ascenceur qui sévit 24 h/24).
    Par contre devant le bordel ambiant, cette tournée qui vire peu à peu au grand porte nawak, le manque d'argent, j'ai ressenti comme une angoisse. J'aime quand c'est bien rangé et bien organisé moi...
    Oui bon, ce film est très bien et alors ?
     
    Et puis si vous trouvez la scène de l'effeuillage du drapeau américain, faites moi signe, moi, je ne l'ai pas vue !!!
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  • LE CAMELEON de Jean-Paul Salomé °

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    Voici le film tiré de l'histoire véridique de Frédéric Bourdin, un homme qui fut condamné à plusieurs reprises pour usurpation d'identité (une trentaine paraît-il). Ici il ne sera question que de l'affaire où le jeune homme alors âgé de 23 ans s'est fait passer pour un adolescent de 16 ans disparu 4 ans plus tôt. Il va prétendre avoir été enlevé, torturé et violé pendant tout ce temps. La famille qu'il choisit va reconnaître le jeune homme sans hésitation mais une femme agent du FBI va toujours douter et s'acharner à prouver qui il est réellement ! Parallèlement à cette enquête, la sordide histoire de famille dans laquelle Frédéric a atterri, va refaire surface.
    Hélas, de ce sujet absolument passionnant, Jean-Paul Salomé tire un film d'un ennui abyssal. Pourtant, l'atmosphère de la Louisianne (post Katrina) toujours accablée de chaleur, l'approche des bayous tellement intrigants, la peinture d'une amérique socialement défavorisée sont plutôt bien vus... mais j'ai eu l'impression que tout était hors sujet pratiquement tout le temps. En effet, c'est assez stupéfiant de voir que le réalisateur abandonne complètement son personnage pour se concentrer sur l'histoire de cette famille désunie, antipathique et qui cache un secret, ainsi que sur celle de l'enquêtrice (très solitaire... et qui se retrouvera enceinte mais toujours aussi seule !) dont on n'a que faire ! Lorsqu'enfin Frédéric est arrêté, un sursaut d'intérêt refait surface mais trop tard, il ne reste plus que 10 minutes de film. Les raisons, les motivations, les intentions du jeune homme sont baclées en une scène où il nous faut admettre que sa maman n'était pas une gentille maman et qu'elle n'avait pas désiré son enfant. Soit. Il aurait été assez fascinant de creuser un peu le cerveau malade de ce garçon. D'autant que Jean-Paul Salomé avait en la personne de Marc André Grondin un joyau capable de semer le trouble comme il le démontre à maintes reprises. La scène où, complètement égaré par ses propres mensonges il se répète à lui-même son vrai nom est assez représentative du tourment qu'il est capable d'exprimer et du vertige qu'il pouvait nous transmettre. Malheureusement l'excellence de son interprétation irréprochable ne parvient pas à sauver le film.
    Et puis, il y a Ellen Barkin qui porte très haut les couleurs du pathétique et du risible (involontaire). Quand on pense à ce que cette fille (de 54 ans) a l'air de se faire subir, j'imagine à quel point son rôle/personnage d'épave, droguée, alcoolique, titubante, éructante out of control, berkinDM_468x602.jpg19426154_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100419_061804.jpgdoit lui sembler être une composition ! A l'écran, ça fait peur et ça met mal à l'aise tellement c'est mauvais et ridicule.

  • I LOVE YOU PHILLIP MORRIS de John Requa et Glenn Ficarra**** (DVD)

    Les très gentilles personnes de CINETRAFIC m'ont envoyé ce DVD. Vous pouvez retrouver mon avis sur ce film ici. J'espère qu'il vous donnera l'envie de vous procurer ce DVD édité par EuropaCorp Distribution.

    Affiche du film I Love You Phillip Morris

    C'est bien plus qu'une histoire sur et avec des gays mais bien d'une grande histoire d'amour dont il s'agit, d'un vrai mélo. Les deux acteurs époustouflants parviennent à nous la rendre crédible et touchante en ne jouant pas les "folles" mais simplement et assez génialement deux hommes amoureux qui se rencontrent de la plus étrange façon qui soit.

    Dans les bonus du DVD vous trouverez : un making of, des interviews d'Ewan McGregor, Jim Carrey, John Requa et Glenn Ficarra.

    Après avoir vu ces deux extraits, vous ne résisterez plus. 

  • Leçon d'anatomie de Larry Tremblay, mise en scène Benoît Gautier

    Je vous rappelle que si vos pérégrinations estivales vous mènent jusqu'en Avignon, du 7 au 27 a lieu pour la 64ème édition l'incontournable FESTIVAL. Il s'agit de la plus importante manifestation de théâtre et du spectacle vivant de France. Pour y être allée plusieurs fois, je vous affirme que c'est de la pure magie.

    Devant l'abondance de la programmation de qualité, je me permets de vous aider à choisir :

    la pièce de Larry Tremblay mise en scène par Benoît Gautier avec Micky Sebastian dans le rôle principal sera accueillie au théâtre de :

     La Tache d’Encre du 8 au 31 juillet au Festival OFF d’Avignon 2010.

    1 rue Tarasque
    84000 Avignon
    Tél/Fax : 04.90.85.97.13
    E-mail:
    la.tache.dencre@wanadoo.fr

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    Le monologue LEÇON D’ANATOMIE présenté par la compagnie franco-canadienne BAFDUSKA THEATRE est écrit par l'un des dramaturges les plus célèbres du Québec : Larry Tremblay. Ce spectacle marque le retour sur scène de la comédienne Micky Sebastian (Avocats & associés, Dolmen, Sur le fil, Les semaines de Lucide…). Il est mis en scène par Benoit Gautier (Tu m'aimes-tu ?, Peau d'âMe...) qui retrouve après Le déclic du destin + le problème avec moi l'univers de Larry tremblay.
    Martha, du haut de ses 50 ans, ouvre le corps de son passé. Mutilée dans son coeur au sens propre comme au figuré, elle ausculte son mariage avec un homme politique. Anatomique et implacable, ironique et émouvante, Martha dissèque l’envers du décor. Les confessions d’une femme au-delà de la crise de nerf…
     
    "Performance d’actrice pour Micky Sebastian. C’est toute la souffrance d’une femme mise en scène avec la précision du passionné de cinéma qu’est Benoit Gautier". Sud-Ouest

    Retrouvez les détails sur ma note ici.

    Et jetez un coup d'oeil à cet endroit insolite et pittoresque... vous ne résisterez pas !