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Sur la Route du Cinéma - Page 576

  • Jean-Philippe de Laurent Tuel***

    Comment aurait été la vie si Johnny Halliday n'avait pas été chanteur ? Si Fabrice Lucchini n'avait pas été acteur ??? On se sent un peu obligé de se poser la question en voyant ce film et de reconnaître que sans doute ça n'aurait pas changé grand chose au destin. Néanmoins, la première idée de génie (n'ayons pas peur des mots) de ce petit film épatant est d'avoir fait interpréter le rôle de Johnny par Jean-Philippe Smet himself, ou l'inverse, on y perd un peu son latin.

    En tout cas, Fabrice, le plus grand fan de Johnny se réveille un jour, après un choc, dans un monde où Johnny n'a pas existé et, d'abord désespéré, il se ressaisit et part à la recherche de Jean-Philippe Smet dans l'idée de lui raconter son destin. Il le retrouve, patron d'un bowling, le bien nommé Olympia. A partir de là, il faut convaincre Jean-Philippe, à 60 ans passés, de devenir Johnny, l'Idole des Jeunes. Fabrice est convaincant, on s'en doute (c'est Lucchini tout de même) et Jean-Philippe se laisse façonner à la mode Johnny ce qui donne lieu à une succession de scènes cocasses, émouvantes ou carrément enthousiasmantes. Fabrice raconte sa vie à Jean-Philippe qui est vraiment estomaqué d'apprendre qu'il a eu une fille avec Nathalie Baye : "ouah, c'est mon actrice préférée !". Fabrice réécrit en une nuit une cinquantaine des plus grands tubes qui ont fait la gloire de Johnny. Fabrice interprète à la guitare "on a tous en nous quelque chose de Tenessee" puis Jean-Philippe prend la guitare et là, fan ou pas, il se réapproprie la chanson et on a le frisson. Pas de doute : Johnny, c'est le patron.

    On n'aurait pas donné cher de cette histoire abracadabrantesque dont on se demandait où était l'intérêt. Et bien, l'intérêt c'est Johnny et c'est Fabrice et franchement, c'est un régal de les voir. Johnny, bon acteur, gueule de ciné, docile et bien dirigé ou assez malin et humble pour ne pas en faire des caisses est touchant et plus que convaincant. Quant à Fabrice, anesthésié par la star peut-être ou acteur intelligent, il est d'une retenue, d'une discrétion et d'une simplicité plus que bienvenues et totalement en accord avec le personnage. Mais ce qui déconcerte le plus c'est de voir cet homme, d'ordinaire plutôt envahissant et extraverti, complètement subjugué par son idole. Il s'efface tout à fait devant Johnny dès qu'il est à l'écran et les regards énamourés qu'il lui jette, pleins d'audace et d'émotion sont vraiment touchants. Fabrice semble être à la fois le petit garçon ébloui par L'Eternel et le grand frère qui protège et encourage. Cet aspect de leur relation est assez fascinant.

  • Firewall de Richard Loncraine*

    Monsieur et Madame "Vive l'Amérique" vivent avec leurs deux rejetons dans une maison à Seattle... la ville où il pleut 360 jours par an ; ça je le savais déjà grâce à certaines nuits blanches... La maison ? Elle est grande comme le Musée du Louvre et pleine de baies vitrées comme la pyramide. Normal, madame est architecte. Monsieur est responsable informatique/superviseur dans une grande banque. Bref, des gens comme vous et moi, enfin, surtout comme vous ! Les rejetons ? Deux têtes à baffes congénitales de 8 et 14 ans (qui en paraissent respectivement 4 et 18) qui passent leur temps à se balancer des noms d'oiseaux : "t'es vraiment qu'une idiote...!!!", "ouais ben c'est plutôt toi qu'est un idiot...!!", sous le regard attendri de la mère qui réplique du tac au tac "y'a pas d'idiot ici, ni d'idiote". Le père, comme tous les pères américains, cherche ses clefs pour partir au boulot en arpentant le musée de long en large et en souhaitant bon courage à la mère qu'il admire au-delà de tout parce que franchement s'occuper de deux enfants et travailler, c'est pas donner à tout le monde et il sait pas comment elle fait. Chapeau bas madame la Marquise. Néanmoins le père est un père très présent et il n'hésite pas à dire en pleine réunion "je rentre chez moi, ce soir c'est soirée pizza". Du coup, on n'a pas droit à : "Oh, Jack non, tu ne vas rater le match de base-ball de "tête à baffes", tu ne peux pas lui faire ça, oh non Jack, non, pas ça !!!". Mais il faut bien qu'il y ait une ombre au tableau idyllique de cet american way of life et donc, l'autre option qui ternit le bonheur des familles dans les films outratlantiqués c'est.... : l'asthme. Le petit est atteint d'asthme... oui mais pas l'asthme à deux balles comme vous avez chez vous (enfin surtout chez moi) non, non l'asthme quatre étoiles, XXL, l'asthme qui fait qu'à chaque contrariété c'est le choc anaphylactique avec seringue d'adrénaline plantée dans le sternum façon Pulp Fiction. C'est un traumas pour la famille qui vit quand même l'épreuve dignement et plus soudée que jamais.

    Well, le décor est planté. Qu'est-ce qui peut bien leur arriver ? Le truc tout con en fait : la prise d'otage ! Surgi un méchant vilain (très classe tout de même, c'est Paul Bettany : miam) avec sa bande de : c'est qui le plus méchant ? Ils veulent, c'est simple comme Oui-Oui, que Monsieur le Banquier pirate le système informatique de la banque pour que les sous des dix clients les plus riches atterrissent sur leurs comptes aux îles Caïman ou un truc comme ça. Ils sont vraiment nuls ces truands, avec leur obsession de l'informatique et des billets verts, ils ont oublié d'aller au cinéma et ils savent pas qu'ils sont devant Indiana Jones en personne !!! Nous dans la salle, on rigole bien en pensant "z'allez voir ce que vous allez voir"... C'est quand même là que plusieurs décennies de cinéphilie s'écroulent parce qu'on est en droit de se dire que même si Harrisson Ford (et oui, c'est lui) peut encore sauver sa famille (bien essoufflé quand même dans les sprints...), comment il va faire pour sauver le monde dans Indi IV le retour ???

    Voilà, je passe sur les astuces et divers suspens scénaristiques qui nous emmènent au milieu de nulle part et où après une belle boucherie, Indiana repart bras dessus bras dessous avec la sainte famille (sans oublier le chien à GPS). Il ne manque que le drapeau et l'hymne américains.

    Pourquoi j'entre dans des salles où l'on passe de tels films : le masochisme.

  • Où vont-ils chercher tout ça ?

    "Jack... J'te jure"

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    "Dans la vie, y'a deux catégories d'hommes : ceux qui ont un flingue et ceux qui creusent. Toi, tu creuses".

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    Lui : "............"

    Elle : "!!!"

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    - "T'as d'beaux yeux tu sais.

    - Embrassez-moi".

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    "Mais moi, les dingues j'les soigne. J'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévère ! J'vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite, j'disperse, j'ventile..."

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    "Vraiment ma chère... vous êtes le cadet de mes soucis"

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    "La vie c'est dur tout le temps ? Ou c'est seulement quand on est petit ?"
    "C'est toujours comme ça."

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    "Je suis ton père, Luke..."

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    "Play "as time goes by",  play it again Sam !"

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    "Nobody's perfect"

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    "Patricia, mon petit... je voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L'homme de la Pampa parfois rude reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu!"

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    "Ce ne sera pas trop dur pour vous, Madame Peel?"
    "Rien n'est jamais trop dur pour moi..."

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    "Certains hommes gagnent le monde, d'autres gagnent d'anciennes filles de joie et un voyage en Arizona. Au revoir."

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    "Si tu essayes de me cacher quelque chose, je te tue. Si tu déformes les faits ou si je crois que tu déformes les faits, je te tue. Si tu oublies quelque chose, je te tue. En vérité, il va falloir te donner un mal de chien si tu tiens à la vie. Est-ce que tu as saisi ce que je t'ai dit ? Fais un petit effort ou sinon je te tue."

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    "J'ai quoi dans le ventre?  Vous allez me dire ce que j'ai dans le ventre !" 
    "Tu as un monstre au fond de toi. Ces types ont piraté la navette où tu étais. Ils ont vendu ton cryotube à cet homme là. Il t'a mis un alien à l'intérieur de ton corps. Un spécimen très agressif. Il va sortir en te crevant la cage thoracique et tu vas mourir. D'autres questions ?"
    "Qui êtes-vous ?"
    "Je suis la mère du monstre."

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    "J'aime mieux le mal que tu me fais que le bien que me font les autres."

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    ""Tout va comme vous voulez, cher Monsieur ? On prend le frais, c'est ça ? Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais un blanc circulant en plein Harlem avec une pancarte sur laquelle est écrit: "Je hais les nègres", soit il a un grave problème personnel à résoudre, soit il a quelques cases en moins."

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    "C'est pour les enfants que c'est terrible. Heureusement qu'ils n'en ont pas."

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    "100 hommes, quel courage..."
    "Oh, j'ai fait mieux depuis..."

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    "Oh, si, Dominique, amuse toi. Ca empêche de mourir."

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    "Avec Saul, ça fait 10. Ca devrait être assez, t'es d'accord ? Tu crois qu'il en faudrait un de plus ?... Tu crois qu'il en faudrait un de plus ! On en trouvera un de plus."

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    "Vous les humains, vous êtes à votre meilleur quand les choses sont au pire..."

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    "C'est pas que tu sois bon à rien ; tu es mauvais à tout"

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    "Ainsi s'éteint la liberté. Sous des applaudissements."

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    "On ne sent pas le cul quand on connait pas."

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    "Je suis heureux que tu sois ici avec moi. Ici, à la fin de toutes choses, Sam"

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    "Et earello en dorenna utulien. Sinome maruvan zt "Hildinyartenn" ambar metta"


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    Pierre Brochant :Il s'appelle Juste Leblanc
    François Pignon :
    Ah bon, il n'a pas de prénom ?
    Pierre Brochant :
    Je viens de vous le dire : Juste Leblanc. "Leblanc", c'est son nom, et c'est "Juste" son prénom.
    François Pignon :
    ...
    Pierre Brochant :Monsieur Pignon, Votre prénom à vous, c'est François, c'est juste ?

    François Pignon :Oui
    Pierre Brochant :Et bien lui, c'est pareil. C'est Juste !

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    Pierre Mortez : Je n'aime pas dire du mal des gens, mais elle est gentille.

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    Jim Lovell : Houston, on a un problème

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    Jack Dawson :Je suis le roi du monde !!

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    Lieutenant-Colonel Kilgore : J'adore l'odeur du napalm le matin

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    Je vais te faire une proposition que tu pourras pas refuser

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    Elle va marcher moins bien... forcément...

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    "Qui es-tu ? As-tu une femme ? Une petite amie ? Qui qu'elle soit, je vais la trouver. Je vais lui faire très mal. Et puis je te tuerai en face d'elle"


    à suivre...
     

  • El Aura de Fabian Bielinsky**

    El Aura est un film difficile à défendre et difficile à rejeter tant il est à la fois ennuyeux et fascinant.

    Le héros sans nom (l'acteur Ricardo Darin déjà présent dans le très grisant "Les Neuf Reines") promène sa carcasse muette, solitaire, fatiguée et épileptique en rêvant du hold-up parfait. Entre une forêt, un bordel, une cabane et un casino, le réalisateur nous balade, nous appâte et nous séduit, il dégomme la plupart de ses acteurs en insistant encore sur le suspens... puis il nous laisse en plan devant le générique de fin.

    La plupart du temps, je n'aime pas que le travail soit mâché par trop d'explications mais là, je me suis réellement perdue dans la forêt !!!

  • OUBLIER CHEYENNE de Valérie Minetto***

     

    Sonia est jeune, belle, elle aime la vie, son métier (prof de chimie), ses élèves et comme elle fait partie de ce monde pourri : elle s'y adapte.

    Chéyenne est jeune, belle, elle aime la vie mais comme ce monde pourri l'a exclue (elle a été licenciée), elle décide de quitter la ville et de s'installer à la campagne et d'y vivre en marginale (sans eau, sans électricité, sans chauffage...).

    Sonia et Chéyenne s'aiment d'amour et de passion mais elles se séparent car elles ne parviennent plus à concilier leur amour et les contraintes de leur engagement sans concession. La vie l'une sans l'autre s'organise mais c'est compter sans la force de leurs sentiments. Elles ne s'écrivent pas mais communiquent par télépathie ce qui peut être envahissant et donner lieu à des scènes à la fois cocasses et fortes qui permettent, mine de rien, de faire avancer l'histoire.

    Sonia fait des rencontres : Pierre (Malek Zidi, positif et radieux) qui tombe illico amoureux d'elle (on le comprend), et Béatrice (Guilaine Londez) qui ne conçoit l'amour que dans la souffrance qu'il procure et qu'on provoque chez l'autre... Chéyenne fait des rencontres : Edith (Laurence Cote, fragile et en colère), marginale comme elle mais encore plus jusqu'au boutiste puisqu'elle va jusqu'à refuser le RMI qui la ferait entrer dans le système et  lui devoir quelquechose.

    Sonia et Chéyenne s'aiment mais elles tentent de s'oublier alors que même la nuit est peuplée de rêves l'une de l'autre. L'oubli est impossible et elles vont se revoir pour chercher une solution, essayer de faire des concessions, comprendre les aspirations et motivations de l'autre, sans se trahir soi-même.

    Ce beau film d'amour absolu n'est absolument pas plombé par les tirades politiques ancrées dans le contexte social, au contraire, même si le discours paraît parfois un peu en-dessous de la maturité des héroïnes.

    Sonia et Chéyenne, ce sont Aurélia Petit et Mila Dekker (dont c'est le 1er film) et les deux actrices sont absolument sublimes, magnifiques, parfaites dans leur rôle respectif, d'une beauté évidente et les scènes où elles apparaissent ensemble sont d'une telle fusion qu'il va être difficile de les dissocier.

  • Ne les ratez pas :

    "Le Secret de Brokeback Mountain" d'Ang Lee

    "Good Night and Good Luck" de Georges Clooney

    "Munich" de Steven Spielberg

    "Le Nouveau Monde" de Terence Malick

    "The Ballad of Jack and Rose" de Rebecca Miller

    "Romanzo Criminale" de Michele Placido

    "Inside man" de Spike Lee

    Sophie Scholl, les derniers jours de Marc Rothemund :

    April snow :

    The Secret Life of Words :

    C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée :

    A BITTERSWEETLIFE de Kim Jeewoon :

    MARIE-ANTOINETTE DE Sofia Coppola :

    LE CAÏMAN de Nanni Moretti :

    The Road to Guantanamo de Michaël Winterbottom :

     Avril de Gérard Hustache-Mathieu

    Paris Je t'aime

     Changement d'adresse d'Emmanuel Mouret

     Meurtrières de Patrick Grandperret

     

    Superman Returns

     La raison du plus faible de Lucas Belvaux

     Arrivederci Ciao Amore de Michele

     La tourneuse de pages de Denis Dercourt

     

    Brick de Rian Johnson

     Nausicaä de la Vallée du Vent

     La Jeune fille de l'eau de M. Night Shyamalan

     Le vent se lève de Ken Loach

    Indigènes de Rachid Bouchareb

    12 and Holding

    A scanner darkly

    Little Miss Sunshine

    Quand j'étais chanteur de Xavier Giannoli

    Je vais bien ne t'en fais pas

    Le Parfum

    Une vérité qui dérange

    The Queen de Stephen Frears

    Les fils de l'homme d'Alfonso Cuaron

    Ne le dis à personne de Guillaume Canet+

    Libero de Kim Rossi Stuard

    Scoop de Woody Allen

    Babel d'Alejandro Gonzales Inarritu

    Le Prestige de Christopher Nolan

    Casino Royale de Martin Campbel

    Je m'appelle Elisabeth de Jean-Pierre Améris

    Azur et Asmar de Michel Ocelot

    Le labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro

    Les Infiltrés de Martin Scorcese

    La Flûte Enchantée de Kenneth Branagh

    Arthur et les Minimoys de Luc Besson

    The Fountain de Darren Aronofski

     

  • En 2005, Il ne fallait pas les rater :

    "Million Dollar Baby" de Clint Eastwood

    "Le Château Ambulant" d'Hayao Miyasaki

    "Tu marcheras sur l'eau" de Eytan Fox

    "The machinist" de Brad Anderson

    "Sideways" d'Alexander Payne

    "Les tortues volent aussi" de Bahman Gobhadi

    "Le cauchemar de Darwyn" d'Hubert Sauper

    "Palindromes" de Todd Solonz

    "Locataires" de Kim Ki-Duk

    "Garden State" de Zach Braff

    "Last days" de Gus Van Sant

    "Star Wars" de Georges Lucas

    "Trois enterrements" de Tommy Lee Jones

    "Narnia" d'Andrew Adamson

    "Charlie et la Chocolaterie" de Tim Burton

    "Paradise now" de Hany Abu-Assad

    "Joyeux Noël" de Christian Carion

    "Les noces funèbres" de Tim Burton

    "Match point" de Woody Allen

    "History of Violence" de David Cronenberg

    "Le temps qui reste" de François Ozon

    "L'enfant" de Jean-Pierre et Luc et Dardenne

    "L'été où j'ai grandi" de Gabriele Salvatore

    "Une belle journée" de Gaby Dellal

     

    "Rize" de David Lachapelle

    "Ray" de Taylor Hackford

     

    "J'ai vu tuer Ben Barka" de Serge Le Péron

    "Avanim" de Raphaël Nadjari

  • Mes meilleurs à moi...

    1) "Sur la Route de Madison" de Clint Eastwood

     

    2) "Autant en emporte le vent" de Victor Fleming

     

    3) "Voyage au bout de l'enfer" de Michaël Cimino

     

    4) "2001 l'Odyssée de l'Espace" de Stanley Kubrick

     

    5) "An affair to remember" de Leo Mc Carey

     

    6) "L'aventure de Mrs Muir" de Joseph Mankiewicz

     

    7) "Le Parrain" , ex aequo "Apocalypse Now" de Francis Ford Coppola,

     8) "Edward aux mains d'argent" de Tim Burton

     

    9) "La sirène du Mississipi" de François Truffaut

     

    10) "Manhattan" de Woody Allen et "Mulholland Drive" de David Lynch

     

     

    Je sais, les ex-aequo c'est pas normal, mais c'est moi qui décide !

    Suivent de très près :

    "Lost in translation" de Sofia Coppola,

    "Donnie Darko" de Richard Kelly,

    "Master and commander" de Peter Weir

    "Fisher king" de Terry Gilliam,

    "Vivre" de Zhang Yimou",

    "Le Docteur Jivago de David Lean,

    "Un après-midi de chien" de Sydney Lumet,

    "Tout sur ma mère" de Pedro Almodovar,

    "Le Prince de New-York" dAbel Ferrara,

    "Le troisième homme" de Carol Reed,

    "The shop around the corner" de Ernst Lubitsch...

    tous les films de : Marilyn Monroe, Al Pacino, Pedro Almodovar, Woody Allen, Clint Eastwood, Jake Gylenhall, Gus Van Sant, Tim Burton, Terry Gilliam...